Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) est un groupe terroriste islamiste. Il est reconnu comme tel par le Conseil de sécurité des Nations unies. La zone d’opération du mouvement, d’origine algérienne, se situe dans la région du Sahel.
Najem Gharsalli, ministre tunisien de l’Intérieur, a annoncé dimanche soir que trois dirigeants du principal groupe extrémiste armé tunisien, lié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), figurent parmi les cinq jihadistes abattus vendredi par la police.
Le Kenya a récemment brandi la menace de combattants européens, susceptibles de rentrer « dans leur pays d’origine afin d’y poursuivre leurs brutales activités ». Y a-t-il beaucoup d’Européens qui rejoignent les rangs des shebab et des autres groupes terroristes africains, à l’image de ceux de l’État islamique ?
Mohamed Ali ag Wadoussène, l’un des responsables opérationnels d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a été tué dimanche lors d’une opération des forces spéciales françaises au Mali. Le terroriste était l’un des ravisseurs du Français Serge Lazarevic.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a diffusé une vidéo qui semble avoir été tournée début avril montrant deux otages enlevés au Mali en 2011, un Sud-Africain et un Suédois.
Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, a effectué lundi un déplacement à Gao et Bamako pour afficher le soutien de France à la Minusma et aux autorités maliennes après la signature de l’accord de paix.
Le Français de 60 ans est poursuivi pour avoir rejoint les rangs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) au Mali en 2012 et 2013. Le tribunal rendra sa décision le 15 mai.
Un communiqué audio d’Abdelmalek Droukdel, l’émir d’Aqmi, a été posté jeudi sur Twitter. Il y félicite les jihadistes d’Al-Qaïda pour leurs victoires en Syrie mais ne dit rien sur ses zones d’influence habituelles, le Maghreb et la bande sahélo-saharienne.
L’attraction du groupe terroriste de l’État islamique sur les jihadistes africains se fait de plus en plus forte. Décryptage des conséquences de ce phénomène avec l’islamologue Mathieu Guidère.
Des combattants d’Aqmi ont tué par balle puis décapité jeudi un civil qu’ils accusaient de travailler pour les forces françaises au Mali. L’exécution s’est déroulée en plein marché, dans un village à 120 kilomètres au nord de Tombouctou.
Alors que l’intervention internationale au Mali a débuté il y a précisément deux ans, le 11 janvier 2013, le redéploiement des jihadistes d’Aqmi au nord de Tombouctou est de plus en plus sensible. Avec un nombre croissant d’attaques à la clé.
Pour répondre aux attaques répétées contre la Minusma, l’armée française a détruit jeudi, dans le nord du Niger, un convoi de véhicules armés d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui transportait des armes de la Libye vers le Mali.
Les conditions de libération des otages français constituent un casse-tête sahélien. La France se serait bien passée d’une récente enquête du « New York Times ». L’article accuse tout simplement Paris de payer les terroristes.
Dans un communiqué publié sur un forum jihadiste dans la nuit de jeudi à vendredi, Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) a annoncé être responsable de l’attaque ayant visé fin mai le domicile de Lotfi Ben Jeddou, le ministre tunisien de l’Intérieur.
Un communiqué d’Al-Qaïda au Maghreb islamique a revendiqué l’attaque commise en Kabylie contre un convoi de l’armée, le 19 avril. Celle-ci avait officiellement tué 11 soldats.
Avant de réduire dans quelques semaines ses effectifs dans le pays, l’armée française a décidé de renforcer sa stratégie de « contre-terrorisme » dans le nord du Mali, où elle traque les combattants d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). C’est la nouvelle priorité de l’opération Serval.
Durement frappé durant l’opération Serval au Mali, Aqmi a revu son organisation interne. Promotions, nouveaux lieutenants, personnages clés : découvrez le nouvel organigramme de la filiale maghrébine d’Al-Qaïda.
L’assaut mené mercredi par des jihadistes contre des positions de l’armée tchadienne à Tessalit, qui a fait au moins trois morts et plusieurs blessés, a été revendiqué par Sultan Ould Bady, chef d’un petit groupe islamiste radical lié à Aqmi. Cet attentat est le dernier d’une série d’attaques terroristes en cours dans le vaste Nord malien depuis près de trois semaines.
Un porte-parole non identifié d’Aqmi au Sahara a affirmé, lundi, que l’organisation terroriste était à l’origine de l’attaque suicide de samedi à Tombouctou. Toujours selon cette source, 16 personnes aurait perdu la vie après l’explosion.
Aqmi a nommé l’Algérien Saïd Abou Moughatil pour remplacer son compatriote Abdelhamid Abou Zeïd, tué lors de l’intervention militaire franco-africaine dans le nord du Mali.
Ali Anouzla, le directeur de la version arabophone du site d’information Lakome, a été interpellé, mardi à Rabat, après la diffusion d’une vidéo d’Aqmi incitant « à commettre des actes terroristes » dans le royaume. Les locaux de la rédaction ont été perquisitionnés.
Robert Fowler a été enlevé par Aqmi, au Niger, en 2008. Libéré après quatre mois de captivité au fin fond du Sahara, l’ancien diplomate canadien a écrit un livre, « Ma saison en enfer », pour raconter sa terrible expérience. Interview.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a confirmé pour la première fois qu’un de ses chefs, l’Algérien Abdelhamid Abou Zeïd, a été tué lors de combats dans le nord du Mali, sans préciser de date, dans un communiqué diffusé, le 15 juin, par l’agence privée mauritanienne en ligne ANI.
Premiers destinataires des communiqués d’Aqmi, les deux groupes de presse ne se privent pas de les publier. Une proximité qui assure leur audience, mais les place sous le feu des critiques.
L’organisation terroriste Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) a officialisé l’ouverture de son compte Twitter, le 28 mars. Elle y menace la France et évoque le sort des otages français retenus dans la région du Sahel.
Selon plusieurs sources non officielles, l’un des principaux émirs d’Aqmi, Abou Zeid, aurait été tué au cours de frappes de l’aviation française au nord du Mali. Une information à prendre avec précaution.