Les autorités saoudiennes ont annoncé avoir déjoué un attentat d’envergure contre la Grande mosquée de La Mecque, qui aurait pu causer de nombreuses pertes humaines.
Quelques États africains ont entrepris des actions de médiation entre Riyad et Doha, alors même que le conflit entre les deux pays ne les concerne pas. Sans grand résultat jusqu’à maintenant…
Sur fond de crise du Golfe, le prince Mohammed Ben Salmane est devenu le numéro deux de la monarchie saoudienne. Le trône est désormais accessible à la deuxième génération de la dynastie des Al Saoud.
Le Parlement égyptien a approuvé ce mercredi un accord controversé, prévoyant la rétrocession de deux îles de la mer Rouge à l’Arabie saoudite : Tiran et Sanafir.
Une commission parlementaire égyptienne a approuvé ce mardi un accord controversé, prévoyant la rétrocession de deux îlots de la mer Rouge à l’Arabie saoudite, une procédure qui ouvre la voie à un vote des députés sur le sujet.
Le Maroc va envoyer de l’aide alimentaire au Qatar, un geste de « solidarité » qui « n’a pas de lien avec les aspects politiques » de la crise diplomatique actuelle dans le Golfe, a indiqué lundi le ministère des Affaires étrangères.
Dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères diffusé dimanche, Rabat se dit grandement « préoccupé » par la crise actuelle dans le Golfe, et « disposé à offrir ses bons offices » pour aider à la résoudre.
La nouvelle crise entre l’Arabie saoudite et le Qatar a donné lieu à une série de réactions dans certains pays africains. Le vôtre a-t-il réagi, et si oui, comment ? Jeune Afrique fait le point, avec une carte interactive.
Pour le politologue Hasni Abidi, la crise entre Riyad et Doha n’est pas nouvelle, bien au contraire. Mais elle met leurs soutiens maghrébins de plus en plus dans l’embarras, notamment le Maroc.
En visite en Arabie saoudite, Donald Trump a appelé le 21 mai les pays musulmans à lutter avec détermination contre l’extrémisme. Le président américain voit dans la lutte contre le terrorisme une bataille entre « le bien et le mal ».
Le président soudanais Omar el-Béchir a finalement décidé de ne pas se rendre au sommet des dirigeants arabes et musulmans de dimanche prochain à Riyad, en Arabie Saoudite. Le président américain Donald Trump doit en revanche y assister.
Le président soudanais Omar el-Béchir, sous le coup d’un mandat d’arrêt de la CPI pour génocide, a été invité au sommet qui doit se tenir dimanche à Riyad, en Arabie saoudite, en présence du président américain Donald Trump et d’une cinquantaine de dirigeants arabes et musulmans.
L’Arabie saoudite a été élue membre de la Commission de la condition des femmes à l’ONU le 19 avril. L’information, révélée en fin de semaine dernière a provoqué l’embarras des services diplomatiques des pays membres du Conseil économique et social de l’ONU.
Pendant des décennies, les réformistes wahhabites maliens ont concurrencé l’islam traditionaliste confrérique et se sont imposés sur la scène religieuse. Avant de s’inviter dans la vie politique nationale, avec succès.
On étiquette vite les intellectuels en Algérie. Comme des bœufs récalcitrants, on les vend au rabais. Quand ils écrivent en français, on les qualifie de Hizb frança, le Parti de la France. Autrement dit : des vendus à l’empire de Napoléon.
Les chiffres venant d’être publiés, on a une idée précise de ce que les États dépensent pour leurs forces armées. Les trois graphiques ci-dessous sont éloquents, puisqu’ils détaillent les budgets défense en pourcentage du PIB et en montrent l’évolution.
L’Égypte a reçu durant ces dernières 48 heures les deux premières livraisons de pétrole du géant saoudien Aramco, après une suspension de plusieurs mois, a annoncé dimanche à l’AFP un porte-parole du ministère du Pétrole.
En 2014, elle devenait la première Saoudienne à diriger une banque. Aujourd’hui, Sarah al-Souhaimi a franchi un nouveau palier en prenant la tête de la Bourse de Riyad. Portrait.
Le géant pétrolier Aramco va reprendre ses livraisons de produits pétroliers à destination de l’Égypte, suspendues depuis octobre en raison d’un différend géopolitique sur la Syrie.
Le mot fait peur, et il fut un temps où, à Jeune Afrique, on s’interdisait de l’employer : trop connoté, trop réducteur, trop « colonisé », aussi malsain en soi que le mode d’organisation sociale auquel il renvoie, fondé sur le sentiment d’appartenance exclusive à une ethnie.
Déjà positionnés en Érythrée, les Émirats arabes unis ont reçu le feu vert du Somaliland pour y installer une base militaire. Une nouvelle implantation qui fait monter la tension dans la région.
Je commenterai, ci-dessous, deux informations qui me sont parvenues cette semaine et qui me paraissent importantes ou significatives. La seconde n’est pas encore dans les médias.
Rapprochement avec l’Égypte, tentative de réconciliation avec le Fatah, clins d’œil à l’ex-allié iranien… Le parti islamiste change de tactique avec ses voisins, sans que l’on puisse pour autant, selon les analystes, parler de « nouvelle diplomatie du Hamas ».
Après un grand froid diplomatique, c’est la coopération qui semble désormais l’emporter. Depuis les élections de 2014, l’engagement saoudien va s’accentuant. À tous les niveaux…
Plus que jamais concurrencé régionalement, ébranlé économiquement, le royaume wahhabite s’est résolu à prendre des mesures radicales. Souvent avec brutalité. Mais la dynastie régnante, fer de lance des contre-révolutions arabes, tient bon.
La plus grande juridiction administrative égyptienne a confirmé que les îlots de Tiran et Sanafir étaient bel et bien égyptiens, alors qu’il y a quelques mois le président Abdel Fattah al-Sissi comptait les rétrocéder à Riyad. Un couac supplémentaire dans les relations entre les deux pays.