Chaque semaine, Jeune Afrique vous propose de décrypter le portefeuille d’un homme ou d’une femme. Comment il gagne son argent ? Comment il le dépense ? RIches, pauvres, étudiants, cadres, sans emploi, PDG, ministres… Vous saurez tout sur l’argent des Africains. Une série riche en anecdotes locales.
Banques, administrations et spécialistes du transfert d’argent rivalisent d’annonces destinées à booster la solidarité à travers le Royaume et les envois de fonds de la diaspora.
Au Togo, Crépin, 20 ans, jongle entre ses études de droit et différents petits boulots en ligne, notamment le minage et le trading de bitcoins. Ses revenus sont irréguliers, mais il peut compter en moyenne sur 374 206 francs CFA (570 euros) par mois.
À Johannesburg, Adam, un Zimbabwéen de vingt-quatre ans, rameute les passants dans un grand magasin de vêtements et vend aussi des cigarettes à la pièce, un travail qui lui rapporte 2 843 rands sud-africains par mois, soit 173 euros.
Ndomita Zola a 29 ans. Il est médecin dans un hôpital spécialisé dans la malnutrition infantile à N’Djamena. Pour ce nouveau numéro de notre série l’argent des Africains, il a accepté de nous parler de lui et de ses dépenses.
Originaire de Moanda, au Gabon, Juste-Sylvain est chef du département réassurance au sein d’une compagnie d’assurance filiale d’un grand groupe bancaire gabonais. Pour notre série d’articles « l’argent des Africains », il a accepté de nous parler de son quotidien, de ses dépenses mensuelles et de ses projets d’avenir.
Issia, 25 ans et quatre petits frères à charge, rêve de propager la paix dans le monde. Il nous explique comment il gère son argent au quotidien et nous fait part de ses ambitions en tant qu’employé d’ONG dans son pays, le Niger.
Cette semaine nous nous rendons au Burundi, à la rencontre de d’Éric. À 33 ans, ce professeur de physique et mathématiques dans un lycée communal mène une vie proche de la nature. Comment dépense-t-il son argent ? Il nous a ouvert son portefeuille.
Denis a 31 ans. Il travaille comme employé d’assurance à Ouagadougou depuis 2012. Pour ce nouveau numéro de notre série l’argent des Africains, il a accepté de nous ouvrir son portefeuille.
Brice a 28 ans. En attendant de trouver un travail stable dans l’informatique, il multiplie les petits boulots dans l’espoir d’emménager avec sa fiancée et de se marier. Pour ce nouveau numéro de notre série l’argent des Africains, il a accepté de nous ouvrir son portefeuille.
Né en Côte d’Ivoire, Joachim réside au Burkina Faso où il est chargé d’étude. Pour notre série d’articles intitulée l’argent des Africains, ce jeune père de famille a accepté de nous parler de son quotidien, de ses dépenses et de ses projets.
À 26 ans, Antoine* est assistant en administration dans une agence des Nations unies, dans la ville de Bukavu, capitale de la province du Sud-Kivu. Pour notre série sur l’argent des Africains, il a accepté de nous faire le détail de ses dépenses mensuelles.
Né au Burundi de parents Congolais, Issa, jeune trentenaire, tient une épicerie à Johannesburg, en Afrique du Sud. Pour la série l’argent des Africains, Jeune Afrique est parti à sa rencontre.
Cette semaine, la série l’argent des Africains part pour la Côte d’Ivoire à la rencontre de Benjamin, 29 ans. Ce jeune père passionné d’informatique a bien voulu nous parler de son quotidien, de ses obligations mais aussi de ses projets.
Berthier a 26 ans. Il travaille comme photographe de presse à Bujumbura depuis 2015, année marquée par un vaste mouvement d’opposition à un troisième mandat présidentiel de Pierre Nkurunziza. Pour ce nouveau numéro de notre série l’argent des Africains, il a accepté de nous ouvrir son portefeuille.
À 26 ans seulement, Heri est directeur exécutif du Centre de recherche sur la lutte contre la corruption basé à Uvira, dans la province du Sud-Kivu. Pour notre série l’argent des Africains, il a accepté de nous parler de son quotidien et de ses dépenses.
« C’est bien d’enseigner, de vouloir transmettre, mais ça ne paye pas ! » Blaise est un homme tiraillé. S’il aime son métier d’enseignant, il considère que son salaire ne lui permet pas de vivre décemment. Pour y remédier, il aimerait travailler dans une institution internationale. Pour notre série l’argent des Africains, il nous explique comment il gère ses finances au quotidien.
Roméo est un homme passionné. Informaticien – analyste programmeur, plus précisément -, il passe ses journées et parfois ses nuits à créer des sites internet fournis clé en main à des entrepreneurs d’Abidjan. Depuis qu’il a quitté l’entreprise où il a travaillé pendant presque deux ans, ses revenus sont irréguliers. Pour notre série l’Argent des Africains, il nous explique comment il gère ses finances.
Cette semaine l’argent des Africains embarque pour Lomé à la rencontre de Jean, un Béninois peintre en bâtiment installé au Togo depuis huit ans. Pour Jeune Afrique, il a accepté de parler de son quotidien et de ses dépenses.
La série l’argent des Africains s’intéresse cette semaine à Nadav, jeune Burundais de 25 ans qui partage son temps entre son métier de webmaster dans un groupe de presse et ses études d’informatique. Son ambition ? Créer une entreprise consacrée aux nouvelles technologies.
Jean-Christian* a 28 ans. Sans bourse, cet étudiant abidjanais s’inquiète pour la poursuite de ses études. Pour ce nouvel épisode de notre série sur l’argent des Africains, il nous a ouvert son portefeuille.
Dans l’argent des Africains de cette semaine, nous disséquons le train de vie de Babacar, qui mène plusieurs activités au Sénégal : d’un côté son métier de cœur, journaliste, et de l’autre son investissement pour l’avenir, un petit atelier de réparation mécanique.
Cette semaine, notre série l’argent des Africains part à la rencontre de Maître Samy, un batteur de cuivre de Kinshasa, capitale de la RDC, qui a accepté de passer ses revenus sous notre rayon X.
C’est dans le monde de la couture sénégalaise que la série l’argent des Africains vous plonge cette semaine. À 30 ans, Birane est couturier à Dakar. En cumulant tous ses revenus, il parvient à toucher chaque mois 340 euros (150 000 francs CFA).
Cette semaine, la série l’Argent des Africains s’envole pour Matadi, à la rencontre de Pierre André. Originaire de Kinshasa, cet informaticien archiviste de 43 ans nous a ouvert les portes de son quotidien et expliqué comment il répartissait ses dépenses.
Meité exerce le métier de comptable dans la ville de Bouaké. Âgé de 24 ans, il émarge à 595 euros par mois. Pour notre série d’articles sur l’argent des Africains, il a accepté de nous ouvrir son portefeuille. Portrait.
Cette semaine, l’argent des Africains part à la rencontre d’Alain-Majesté, journaliste à la radio CCIB fm+, à Bujumbura. Ce jeune Burundais de 27 ans a accepté de nous raconter son quotidien et de nous ouvrir son porte-feuille.
Molende a 27 ans. Il travaille comme secrétaire et enseignant dans une école privée de Kinshasa. Pour ce nouveau numéro de notre série l’argent des Africains, il a accepté de nous ouvrir son portefeuille.
Cette semaine l’argent des Africains met le cap sur Johannesburg, où Jeune Afrique a rencontré Lucas, 29 ans, laveur de vitres aux carrefours. Combien gagne-t-il, comment dépense-t-il son argent et où vit-il ? Il a accepté de répondre à nos questions.
Cette semaine, dans le cadre de notre série l’argent des Africains, nous mettons le cap sur Pointe-Noire, à la rencontre de David. Ce Congolais de 25 ans a créé son entreprise de conseil et réparation de matériel informatique il y a deux ans. Comment dépense-t-il son argent ? Il a accepté de faire le point avec nous.
Cette semaine, l’argent des Africains vous emmène à Conakry, à la rencontre de Yacine Diallo. Chef d’une entreprise de gardiennage qu’il a lui-même créée, il complète son salaire en enseignant à l’université Kofi Annan. Comment dépense-t-il son argent chaque mois ? Il a bien voulu nous en parler.