Chaque semaine, Jeune Afrique vous propose de décrypter le portefeuille d’un homme ou d’une femme. Comment il gagne son argent ? Comment il le dépense ? RIches, pauvres, étudiants, cadres, sans emploi, PDG, ministres… Vous saurez tout sur l’argent des Africains. Une série riche en anecdotes locales.
À 29 ans, Aboubaker est kinésithérapeute à Djibouti et gagne 138 000 francs djiboutiens par mois. Pour ce nouvel épisode de la série sur l’Argent des africains, il nous ouvre son portefeuille et nous dit tout sur ses projets d’avenir.
Sofia* est une jeune Algéroise qui travaille dans une agence de communication, vit en colocation et apprécie les sorties culturelles. Après son travail, cette citadine à l’emploi du temps bien rempli, a ouvert son porte-monnaie à Jeune Afrique.
Sylvie Grekoudou, 37 ans, vend des beignets dans le camp des déplacés de l’aéroport de Bangui. Elle a fui les violences de décembre 2013 à Bangui pour se retrouver dans ce camp avec ses sept enfants. Sans soutien, elle a lancé son commerce pour « joindre les deux bouts ». Pour ce nouveau volet de la série sur l’argent des Africains, elle nous dit tout sur ses dépenses mensuelles et ses projets pour le futur.
Yves-Landry, 30 ans, est ingénieur, chargé de superviser la qualité des travaux pour un projet de construction de centrale électrique à Abidjan. Pour ce nouveau volet de la série l’argent des Africains, Yves-Landry nous dit tout sur ses dépenses mensuelles et ses projets pour le futur.
Abderrafie, 51 ans, est assistant de notaire au Maroc. Pour ce nouveau volet de la série l’argent des Africains, ce père de famille pragmatique nous dit tout sur ses dépenses mensuelles.
Yasmina est une jeune retraitée de l’Éducation nationale qui après avoir raccroché sa blouse d’enseignante a enfilé son tablier pour ouvrir une table d’hôtes à Alger. Sous le magnifique citronnier du jardin, elle nous a ouvert son porte-monnaie.
Aïcha, 25 ans, est étudiante en gestion dans la ville de Soa, près de Yaoundé au Cameroun. Sa grand-mère et l’ancien époux de sa mère lui envoient tous les mois de l’argent, ce qui lui permet de vivre avec 110 000 F CFA par mois. Pour notre série, elle nous a ouvert son portefeuille.
Mohamed, 56 ans, tient un salon de thé avec sa femme au cœur de la médina d’Essaouira, une ville côtière du Maroc. Dans le cadre de notre série sur l’argent des Africains, il nous ouvre ses portes et… son portefeuille.
Edite, 36 ans, tient une boutique de vêtements à Yaoundé. Arrondissant ses fins de mois grâce à son activité de juriste et l’aide de sa famille, elle gagne environ 280 000 francs CFA, soit 427 euros par mois. Pour ce nouveau volet de l’argent des Africains, elle nous ouvre son portefeuille.
Alassane* est sage-femme dans la province de Boulgou, au centre-est du Burkina Faso. Pour ce nouvel épisode de notre série sur l’argent des Africains, il nous a ouvert son portefeuille.
Dans ce nouvel épisode de l’argent des Africains, nous sommes allés à la rencontre de Claude*, un ingénieur en génie industriel de 25 ans installé à Ouagadougou. Le jeune homme nous a expliqué comment il dépense son salaire.
Hervé Siabi, 31 ans, termine son master de droit public à l’université de Lomé au Togo. Docker le week-end, il est également volontaire pour les Nations unies la semaine, il gagne environ 420 000 francs CFA, soit près de 640 euros par mois. Pour ce nouveau volet de notre série sur l’argent des Africains, il nous ouvre son portefeuille.
Cette semaine nous partons à N’Djamena au Tchad à la rencontre d’Élise, spécialiste en communication. Pour notre série, elle nous explique comment elle dépense son argent.
Khadija Haddane, 50 ans, enseigne l’arabe dans une école primaire de Tinghir, petite ville berbère du sud-est du Maroc. Elle dispose d’un salaire de 10 658 dirhams par mois, soit 977 euros. Dans ce nouvel épisode de notre série sur l’argent des Africains, elle nous ouvre son portefeuille.
Sarah* est publicitaire. Franco-Béninoise de 45 ans installée à Cotonou, elle gagne entre 800 et 1100 euros par mois. Dans le cadre de notre série, elle nous a ouvert son portefeuille.
Cette fois, nous partons à Lola, en Guinée forestière, à la rencontre de Aissatou Bella Diallo, secrétaire. Découvrez ses dépenses dans notre série hebdomadaire.
Pascal, 28 ans, est professeur de mathématiques et informaticien à Lubumbashi, ville du sud-est de la RD Congo dont il est originaire. Grâce à ses deux activités, il gagne environ 780 euros par mois. Pour ce nouvel épisode de notre série, le jeune Congolais a accepté de nous ouvrir son porte-monnaie.
Grâce à son poste de commercial dans petite entreprise pétrolière nouvellement installée à Dakar, Taos gagne 333 000 F CFA par mois (508 euros), sans compter des primes régulières pouvant aller jusqu’à 150 000 F CFA (230 euros). Pour notre série, il a accepté d’éplucher ses comptes et de partager ses ambitions.
Ropafadzo, 39 ans, est femme de chambre dans un hôtel de Harare, la capitale zimbabwéenne. Grâce à cet emploi, elle gagne 181 euros par mois. Pour Jeune Afrique, elle a accepté de décortiquer ses dépenses.
À 37 ans, Zoumanan Sanogo est un Ivoirien ambitieux qui veut faire de sa vie professionnelle une réussite. Pour ce nouvel épisode de notre série, il a accepté de nous parler de son quotidien et de ses dépenses. Portrait.
Rodrigue* a 24 ans. En plus de ses journées passées à l’université, ce jeune étudiant burkinabè très engagé se démène pour s’offrir un avenir à la mesure de ses ambitions. Pour ce nouvel épisode de notre série sur l’argent des Africains, il nous a ouvert son portefeuille et nous a raconté ses espoirs, pour lui comme pour son pays.
Khadim* est l’un des 127 130 fonctionnaires comptabilisés par l’État du Sénégal en 2014. Salarié pour 300 000 F CFA mensuels (457 euros) du ministère de la Femme, de l’Enfant et de l’Entrepreneuriat féminin à Dakar, il a passé au crible toutes ses dépenses pour notre série sur l’argent des Africains.
Fodé Bokar Bangoura, 25 ans, est assistant juridique à Conakry, au ministère des Mines et de la géologie et a également monté une entreprise de BTP avec son père. Pour notre série, il détaille sa rémunération et la façon dont il la dépense.
Hassane Cissé a 38 ans. Enseignant à Taboye, près de Gao au Mali, il gagne un peu plus de 260 000 francs CFA par mois (398 euros), en arrondissant ses fins de mois grâce à ses activités d’animateur radio et de couturier. Pour notre série, il a détaillé son budget.
Zodwa a 47 ans, elle est femme de ménage dans une université à Johannesburg, une fonction qui lui permet de gagner 2700 rands par mois, soit 152 euros. Pour notre série, elle a accepté de passer ses dépenses en revue.
Carl, 30 ans, travaille dans une ONG internationale spécialisée dans l’aide alimentaire. Il vit à Kalemie, dans l’est de la RDC, dans l’ex-Katanga, au bord du lac Tanganyika, et gagne 980 euros par mois. Comment les dépense-t-il ? Pour ce nouvel épisode notre série, Carl a accepté de décortiquer ses revenus.
Linda* est preneuse de paris à Libreville. Un métier vers lequel la Gabonaise s’est dirigée pour échapper au chômage. Pour ce nouvel épisode de notre série sur l’argent des Africains, elle nous a ouvert son portefeuille.
Abenah, 32 ans est enseignante dans une école privée à Kumasi, ville située au centre sud du Ghana à 200 km d’Accra. Elle gagne 760 cedis – soit 185 euro – par mois. Comment le gagne-t-elle et comment le dépense-t-elle ? Vous saurez tout dans ce nouvel épisode de notre série.
Seydou* a 30 ans. Depuis 10 ans, ce journaliste malien s’est installé au Sénégal, où il vit chichement avec sa femme et sa fille. Chaque fin de mois est pour lui une bataille. Pour ce nouvel épisode de notre série sur l’argent des Africains, il nous a ouvert son portefeuille.
Francis, 30 ans, combine ses études à l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville et la vente de cartes téléphoniques prépayées. Une astuce qui lui permet de gagner jusqu’à 25 000 francs CFA (38 euros) certains mois. Pour ce nouveau volet de notre série, Francis raconte comment il parvient à s’en sortir et même à épargner un peu d’argent.