La dépouille d’Anis Amri, auteur présumé de l’attentat du marché de Noël à Berlin, et celle de Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, auteur de l’attentat de Nice, ont toutes deux été rapatriées vendredi dernier en Tunisie pour y être inhumées.
Hanane Charrihi, dont la mère a été fauchée lors de l’attentat de Nice, raconte le calvaire subi par sa famille, à la fois cible des intégristes et du racisme ordinaire.
Lors du discours d’hommage aux victimes de l’attentat de Nice, le Président français, François Hollande, a salué la mémoire de ceux qui sont morts pour que nous soyons vivants et libres. Or cette analyse, aussi belle soit-elle, ne peut être que contredite par les mesures politiques qui ont suivi les différents attentats en France.
Le match amical entre l’ES Sahel et l’OGC Nice prévu vendredi soir à Sousse revêt désormais une tout autre dimension, quelques jours seulement après l’attentat terroriste qui a frappé la Promenade des Anglais le 14 juillet.
Le Tunisien Mohamed Lahouaiej Bouhlel, auteur de l’attentat de Nice le 14 juillet, a bénéficié de soutiens et de complicités, et semble avoir projeté son acte il y a plusieurs mois, a annoncé, jeudi 21 juillet, le procureur chargé de l’enquête, François Molins.
Les dépouilles de trois des quatre Tunisiens tués le 14 juillet dans l’attentat de Nice ont été rapatriées mardi soir à Tunis et accueillies dans la douleur et la tristesse par des proches et des responsables gouvernementaux.
Cinq jours après la tuerie perpétrée par Mohamed Lahouaiej Bouhlel dans la soirée du 14 juillet, l’identité des victimes se précise. Parmi les 84 personnes ayant trouvé la mort, on compte au moins treize Maghrébins, dont trois enfants.
Au fur et à mesure que l’enquête progresse, la personnalité complexe du tueur de Nice se précise. Les premiers éléments mettent en évidence « un intérêt certain mais récent pour la mouvance islamiste ».
Quatre jours après l’attaque terroriste qui a fait 84 morts dans la soirée du 14 juillet, les investigations se poursuivent sur le tueur de Nice, dont le profil demeure flou.
Que faire face à l’horreur qui frappe chaque jour ? Notre monde a définitivement basculé, s’il fallait s’en convaincre, dans une nouvelle ère : celle de la terreur qui peut surgir, partout, à n’importe quel moment, emportant dans son sillage indistinctement policiers, militaires, citoyens lambda, femmes et enfants, nationaux ou étrangers.
Le feu d’artifice du 14-Juillet à Nice vient de se terminer. Un appel radio signale qu’un camion a percuté des passants. La foule court « dans tous les sens », des corps gisent au sol. Voici l’intervention des forces de l’ordre racontée par un des trois policiers de la Brigade spécialisée de terrain, qui ont abattu le tueur.
Des familles en vacances, des touristes étrangers, un commissaire de police, mais aussi dix enfants et adolescents: voici des éléments collectés par l’AFP sur les vies fauchées par l’attentat qui a fait 84 morts jeudi soir à Nice.
Le groupe État islamique (EI) a revendiqué la tuerie ayant fait 84 morts lors des célébrations de la fête nationale le 14 juillet dans la ville française de Nice, rapporte samedi l’agence Amaq liée au groupe jihadiste.
Le feu d’artifice du 14 juillet à Nice a attiré environ 30 000 personnes, dont de nombreux étrangers en visite ou vivant sur place. Au moins trois ressortissants de Tunisie et du Maroc ont trouvé la mort dans l’attaque terroriste, dont le bilan provisoire s’élève à 84 victimes.
Le procureur de la République, François Molins, a confirmé l’identité du chauffeur de camion auteur de l’attaque terroriste qui a fait au moins 84 morts à Nice dans la soirée du 14 juillet, lors d’une conférence de presse vendredi à 17 heures. Il a également livré les derniers éléments d’enquête.
En Afrique et au Moyen-Orient, deux parties du monde confrontées au terrorisme, de nombreux chefs d’État et de gouvernement ont réagi à cette attaque ayant fait au moins 84 morts jeudi soir en France, jour de fête nationale.
Le chauffeur qui a foncé dans la foule jeudi 14 juillet à Nice a été formellement identifié selon des sources policières citées par l’AFP. Il s’agit bien du propriétaire des papiers d’identité retrouvés à bord du véhicule.
Le couple exécutif s’est rendu vendredi, à la mi-journée, à Nice, frappée la veille dans la soirée par une attaque terroriste qui a fait au moins 84 morts. Des dizaines de blessés sont à déplorer et « une cinquantaine de personnes (sont) entre la vie et la mort », selon François Hollande.