Un hôtel à Boumerdès qui appartenait à Ali Haddad, des usines des frères Kouninef… Depuis le début d’août, l’État algérien prend possession de biens saisis aux hommes d’affaires détenus dans le cadre d’affaires de corruption survenues sous la présidence de Bouteflika.
Mardi 16 janvier, la cour d’appel de Paris a rejeté les recours de trois des enfants de l’ancien président gabonais Omar Bongo Ondimba à l’encontre de leur mise en examen dans l’information judiciaire des « biens mal acquis » africains en France.
Le 20 janvier à Paris s’est tenue la vente aux enchères des biens mobiliers saisis par la justice de Teodorín Obiang, vice-président de la Guinée équatoriale. Un cas d’école dans la restitution aux populations des avoirs confisqués.
L’actrice franco-rwandaise est poursuivie à Paris pour recel de détournement de fonds publics, de corruption et d’abus de bien sociaux. En cause, un appartement dans le XVIe arrondissement de Paris offert en 2003 par l’ancien président gabonais Omar Bongo Ondimba.
Le 28 juillet, la Cour de cassation française a condamné le vice-président équato-guinéen, Teodoro Nguema Obiang Mangue, dans l’affaire des « biens mal acquis ». Son père menace désormais la France de représailles économiques et diplomatiques.
Denis Christel Sassou Nguesso, fils du président congolais Denis Sassou Nguesso, n’a pas été mis en examen dans l’affaire des biens mal acquis, contrairement à ce qu’avait annoncé l’Agence France Presse le 7 février. C’est ce qu’affirme son avocat, qui dénonce une « volonté de nuire ».
Trois ans de prison avec sursis, 30 millions d’euros d’amende et des confiscations : la justice française a aggravé lundi 10 février en appel la condamnation du vice-président de Guinée équatoriale Teodoro Nguema Obiang Mangue, jugé coupable de s’être frauduleusement bâti un patrimoine considérable en France.
L’Union africaine a inauguré le 9 janvier le siège du Comité des services de renseignement et de sécurité en Afrique (Cissa), en marge de la première journée de son sommet des chefs d’État. L’occasion pour Teodoro Obiang Nguema Mbasogo de livrer un réquisitoire contre « les ingérences étrangères ».
Un an après la remise du rapport Sarr-Savoy au président français Emmanuel Macron, le retour des œuvres et des objets pillés pendant la période coloniale n’est pas encore à l’ordre du jour. La porte n’aura été qu’entrebâillée.
Alors que le procès devant la cour d’appel de Paris de Teodoro Obiang Nguema Mangue, vice-président de Guinée équatoriale, poursuivi dans l’affaire des biens mal acquis, approche de sa conclusion, le père de l’accusé et président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo sollicite le soutien de différents chefs d’État étrangers.
L’ouvrage très pédagogique du journaliste Xavier Harel et du dessinateur Julien Solé revient à la source de l’affaire des biens mal acquis, en décryptant un système instauré dès les indépendances sur le continent, dans les années 1960.
Le fils du président Teodoro Obiang s’impose de plus en plus au sommet de l’État en Guinée équatoriale à mesure que s’efface son père. Et n’hésite pas, pour asseoir son autorité, à écarter un à un ses adversaires.
Le fils du président équato-guinéen, qui est également vice-président du pays, poursuit un opposant devant la justice française pour un texte publié sur un blog décrivant les conditions de détention d’un homme d’affaires italiens dépossédés de ses biens en Guinée équatoriale.
Candidat de la « Plateforme pour une Nouvelle République » pour la présidentielle d’octobre 2018, l’avocat était en Allemagne fin mars, à l’invitation de la direction de Transparency International.
L’État du Sénégal ne pourra pas saisir les biens de Karim Wade et Bibo Bourgi se trouvant sur le sol français. La Cour d’appel de Paris a confirmé mercredi le jugement rendu en première instance en septembre 2016, qui rejetait la demande formulée par le parquet national financier français.
La France a remis en cause ce lundi l’implication de la Cour internationale de justice (CIJ), saisie par la Guinée équatoriale dans l’affaire des « biens mal acquis », alors que s’y ouvre cette semaine de nouvelles audiences publiques.
Combien la « traque aux biens mal acquis » a-t-elle rapporté à l’État sénégalais : 50, 150 ou 250 milliards de francs CFA ? Depuis la sortie fracassante de l’ex-Première ministre Aminata Touré, fin décembre, les spéculations vont bon train quant-à la réalité des sommes recouvrées depuis 2012…
Mandaté par Denis Sassou Nguesso, dont il est le conseiller spécial chargé des affaires politiques, Juste Désiré Mondélé a discrètement séjourné à Paris mi-novembre.
Le vice-président de Guinée équatoriale, Teodoro Nguema Obiang Mangue, a été condamné vendredi par la justice française à trois ans de prison et 30 millions d’amende avec sursis, dans le procès dits des « biens mal acquis ».
Le verdict du procès dit des « biens mal acquis », dans lequel est accusé le vice-président équato-guinéen Teodoro Nguema Obiang Mangue – dit Teodorín -, doit être rendu ce vendredi 27 octobre. Le tribunal devrait trancher entre une défense qui dénonce une « farce politique » et des parties civiles qui espèrent « un moment de justice historique ».
La justice française accélère le pas contre le clan du président congolais Denis Sassou-Nguesso : son neveu et son ex-belle-sœur ont été à leur tour mis en examen dans l’enquête sur le patrimoine de dirigeants africains en France.
Dans le procès des « biens mal acquis » (BMA), qui implique notamment Teodoro Nguema Obiang Mangue, le vice-président de la Guinée équatoriale, le jugement ne sera rendu que le 27 octobre. Mais les Équato-Guinéens s’activent en coulisses, notamment sous la houlette de leur ambassadeur en France, Miguel Oyono Ndong Mifumu.
Le procès des biens-mal-acquis se poursuivait jeudi à la 32e chambre correctionnelle du tribunal de Paris. Alors que le procureur a requis trois ans de prison et 30 millions d’euros d’amende contre Teodoro Nguema Obiang Mangue, la défense jouait ses dernières cartes avant le jugement, que le tribunal prononcera le 27 octobre. Récit.
Le procureur du parquet national financier a requis 3 ans de prison et 30 millions d’euros d’amende, mercredi, à l’encontre de Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit Teodorín, jugé à Paris dans le cadre du procès des « biens mal acquis ».
Le procès des «biens mal acquis» devrait livrer son verdict le 6 juillet prochain, sauf retournement de situation ou mise en délibéré. L’aboutissement de dix ans de procédures que Jeune Afrique se propose de vous résumer en une infographie.
Les poursuites annoncées à la suite d’un incident d’audience par William Bourdon, avocat de Transparency International, partie civile au procès du vice-président de Guinée équatoriale dans l’affaire des « biens mal acquis », procèdent d’une « gesticulation médiatique », a dénoncé dimanche le conseil de Teodorin Obiang.
Le procès des « biens mal-acquis », dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait jeudi. Au programme : l’examen d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), qui a donné lieu à des passes d’armes entre juristes chevronnés.