Le procès des « biens mal-acquis », dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait mercredi. Et il a été question, entre autres, de « sentiments ».
Alors que, le 19 juin, à Paris, s’est ouvert le procès des biens mal acquis (BMA), dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue (« Teodorín »), vice-président de la Guinée équatoriale, est accusé de détournement de fonds publics, de blanchiment et d’abus de confiance, la cour provinciale de Malabo a rendu, le 12 juin, un jugement dans cette même affaire.
Le procès dit des biens mal acquis, dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait lundi, avec l’audition, tant attendue, des témoins. Récit.
Selon l’AFP, la fille et le gendre du président congolais Denis Sassou-Nguesso ont été mis en examen cette semaine dans l’enquête sur l’origine du patrimoine de l’entourage de dirigeants africains en France.
Jeudi 22 juin, au troisième jour d’audience du procès dit des biens mal acquis, dans lequel le vice-président équato-guinéen Teodoro Nguema Obiang Mangue est accusé de détournement de fonds publics, de blanchiment et d’abus de confiance, la défense était à pied d’œuvre, tout en pensant déjà à l’étape cruciale de l’audition des témoins. Compte-rendu.
Le procès des « biens mal acquis », dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit Teodorín, est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait ce mercredi à Paris. Jeune Afrique y était.
Le procès du vice-président de Guinée équatoriale, Teodoro Nguema Obiang Mangue (appelé Teodorín ), s’est ouvert à Paris ce lundi 19 juin. Les arguments soulevés par la défense pour faire reporter cette procédure historique ont été retoqués par les juges. Les débats ont été vifs. Chronique.
Le procès dit des « biens mal acquis » n’est pas encore ouvert mais le bras de fer est bien lancé. Vendredi, la Guinée équatoriale a fustigé, dans une conférence de presse, un « tribunal médiatique » et « une volonté de nuire à [ses] dirigeants », évoquant notamment Teodoro Nguema Obiang Mangue, le fils du président.
À quelques jours de l’ouverture du procès des Biens mal acquis à Paris, Human Rights Watch (HRW) a publié jeudi un rapport à charge sur les budgets alloués par Malabo à la santé et à l’éducation. Pour l’ONG, affairisme et gaspillages guident les choix gouvernementaux. Ce dont se défendent les autorités équato-guinéennes.
Entre le 19 juin et le 6 juillet, neuf audiences sont prévues au tribunal correctionnel de Paris pour le procès des « biens mal acquis ». Teodoro Nguema Obiang Mangue, vice-président de la Guinée équatoriale, est accusé de s’être enrichi avec l’argent du Trésor public.
Jeudi 11 mai, Gabriel Nse Obiang Obono, un leader de l’opposition en Guinée équatoriale, a été condamné à six mois de prison pour « injures graves » envers le parti du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Ce dernier est au pouvoir depuis 37 ans.
Dans une lettre adressée à l’ambassade de Guinée équatoriale datée du 2 mars, le Quai d’Orsay assure que, si « la France ne considère pas l’immeuble situé 42, avenue Foch Paris 16e comme faisant partie des locaux de la mission diplomatique de la Guinée équatoriale en France », elle se conformera néanmoins à l’ordonnance rendue par la Cour internationale de justice (CIJ) le 7 décembre 2016.
Le neveu de Denis Sassou Nguesso, Wilfrid Nguesso, 50 ans, a été mis en examen en France le 9 mars dernier pour « blanchiment de détournement de fonds publics » dans le cadre de l’affaire dite des « biens mal acquis ».
Le procès du fils du président de Guinée équatoriale, soupçonné de s’être frauduleusement bâti un patrimoine considérable en France, a été reporté au 19 juin 2017, a-t-on appris mercredi via l’AFP.
La justice française va-t-elle reporter à une date ultérieure le premier procès de l’affaire des biens mal acquis ? Réponse mercredi pour le fils du président de Guinée équatoriale, Teodorín Obiang, accusé de s’être frauduleusement bâti un patrimoine considérable en France.
Le fils du président de Guinée équatoriale, soupçonné de s’être frauduleusement bâti un patrimoine considérable en France, doit être jugé à partir de lundi à Paris. C’est le premier procès en France dans l’affaire dite des Biens mal acquis.
Trois collaborateurs d’une filiale de la Société générale sont auditionnés depuis vendredi par les autorités équato-guinéennes, dans une enquête sur le transfert aux autorités judiciaires françaises « d’informations bancaires confidentielles » concernant Teodoro Nguema Obiang Mangue.
La Cour internationale de justice décidera le 7 décembre si oui, ou non, Teodoro Nguema Obiang Mangue est protégé par son immunité diplomatique dans l’affaire des biens mal acquis (BMA).
Mardi, les représentants français devant la CIJ (Cour internationale de justice) ont dénoncé une « tentative de maquillage juridique » de la part de la Guinée équatoriale, qui a sollicité la plus haute juridiction de l’ONU pour qu’elle empêche la justice française de poursuivre Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit Teodorin, le vice-président équato-guinéen, dans l’affaire des biens mal acquis.
La Guinée équatoriale réclame auprès de la Cour Internationale de Justice (CIJ) la suspension des poursuites engagées contre Téodorin Obiang par la justice française, dans le cadre de l’affaire des « biens mal acquis ». Si elle venait à avoir gain de cause après les audiences publiques ouvertes ce lundi, le vice-président pourrait échapper aux sanctions judiciaires qui le menacent.
L’annonce, début septembre, du renvoi de Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit Teodorín, devant le tribunal correctionnel de Paris dans l’affaire des biens mal acquis a fait long feu.
Friand des coups d’éclat, l’homme d’affaires Rachid Nekkaz mène une croisade contre certains hauts responsables du pays qu’il accuse de posséder à l’étranger des biens mal acquis. Enquête sur un chevalier blanc… pas très clair.
Teodorin Obiang, le fils du président de Guinée équatoriale, soupçonné de s’être frauduleusement bâti un patrimoine considérable en France, a été renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris, a appris l’AFP mercredi de source proche de l’enquête.
Priorité du régime de Macky Sall, la traque des biens mal acquis s’essouffle. Dernier rebondissement en date : la libération, le 24 juin, de Karim Wade, à la faveur d’une grâce présidentielle. Quatre ans après le début de l’enquête, le bilan laisse perplexe…
Au pouvoir depuis près de quarante ans, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo a remporté la présidentielle d’avril sans difficulté. Et promet d’en rester là après ce mandat.
Présidence de la Commission de l’Union africaine, circulation dans la zone Cemac, affaire dite des biens mal acquis… L’ancien fonctionnaire de l’Unesco répond sans détour aux questions de J.A.
Le frère de l’ancien président syrien Hafez al-Assad, écarté du pouvoir dans les années 1980, a été mis en examen à Paris dans l’enquête dite de « biens mal acquis », a indiqué mardi une source judiciaire. Il est soupçonné d’avoir détourné massivement de l’argent public pour bâtir sa fortune immobilière en France.
Selon une annonce du ministère de l’Information, le gouvernement nigérian a récupéré environ 8 milliards d’euros d’avoirs détournés, depuis l’arrivée au pouvoir du président Buhari, en mai 2015.
Le parquet français demande l’ouverture d’un procès en France dans l’enquête dite des « biens mal acquis » qui implique Teodoro Nguema Obiang Mangue dit Teodorín, le fils du président équato-guinéen, a-t-on appris jeudi.
Visé depuis 2009 par l’enquête de deux juges parisiens sur les conditions d’acquisition d’un très important patrimoine immobilier et mobilier en France, le président congolais a décidé de contre-attaquer.