Boko Haram est un groupe terroriste salafiste et jihadiste présent en Afrique de l’Ouest. Le mouvement a été créé dans le nord-est du Nigeria, à Maiduguri, en 2002, par Mohamed Yusuf. D’abord qualifié de secte prônant un islam radical et rigoriste, il s’est ensuite rapproché d’Al-Qaïda puis de l’État islamique. Depuis 2009, il est dirigé par Abubakar Shekau.
L’Unicef tire la sonnette d’alarme : près de 1,4 million d’enfants sont menacés par la famine cette année au Nigeria, en Somalie, au Soudan du sud et au Yémen.
Depuis les premières attaques régulières de Boko Haram en février 2015, les habitants nigériens de la zone frontalière avec le Nigeria ne sont plus les mêmes. État d’urgence, déplacements de population, effondrement du tissu économique… Voici, en quelques chiffres, comment les jihadistes ont changé la vie des habitants de la région de Diffa.
Sept soldats ont été tués et dix-neuf blessés jeudi dans une embuscade du groupe jihadiste nigérian Boko Haram dans le nord-est du Nigeria, a annoncé vendredi l’armée nigériane.
Le président tchadien Idriss Déby Itno a annoncé ce jeudi lors d’une conférence de presse le report des élections législatives à une date inconnue. Le chef d’Etat a justifié cette décision par un manque de moyens pour les organiser.
Plus de deux semaines après le bombardement accidentel d’un camp de déplacés ayant fui les violence de Boko Haram dans le nord-est du Nigéria, le bilan humain est à nouveau revu à la hausse. Le dernier bilan officiel de Médecins sans frontières faisait état de 90 morts.
Un groupe armé a pris d’assaut une équipe de l’ONU mardi dans le nord du Cameroun, a-t-on appris mercredi soir par un communiqué du bureau de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS).
Des jihadistes du groupe islamiste nigérian Boko Haram ont pris d’assaut et ouvert le feu sur un convoi de camions placés sous escorte militaire dans l’Etat du Borno, au nord-est du Nigéria. Quinze personnes au moins y auraient perdu la vie, selon un bilan non officiel.
Un membre d’un comité de vigilance a été tué et deux personnes blessées mercredi par des kamikazes qui se sont fait exploser à l’entrée d’une mosquée de Maiduguri.
Une femme kamikaze portait un bébé sur son dos lorsqu’elle s’est fait exploser le 13 janvier dans le nord-est du pays, où sévit le groupe islamiste Boko Haram, ont annoncé mardi les autorités nigérianes.
Quatre militaires camerounais, dont un général, ont trouvé la mort ce dimanche dans un crash d’hélicoptère. Ils survolaient le parc de Waza, à l’extrême nord du pays, dans le cadre d’une opération de lutte contre Boko Haram.
Selon un dernier bilan de l’ONG Médecins sans frontières (MSF), le bombardement du camps de déplacés mardi, dans la ville de Rann (nord-est), par l’armée nigériane s’élève à 90 morts. Pour la plupart des femmes et des enfants.
L’armée de l’air nigériane a bombardé par erreur un camp du nord-est du pays ce mardi. Le CICR, présent sur place, déplore 70 morts au lendemain de l’attaque.
Au moins trois personnes ont été tuées et 15 blessées dans un attentat-suicide sur un campus universitaire de Maiduguri, capitale de l’État du Borno (nord-est), attribué au groupe terroriste Boko Haram par la police ce lundi.
Le Conseil de sécurité des Nations unies doit se rendre dans les prochaines semaines au Nigeria, au Cameroun et au Tchad. Trois pays frappés le groupe terroriste Boko Haram.
Près de trois mois après une attaque revendiquée par les islamistes de Boko Haram, les corps de seize soldats ont été retrouvés dans le nord-est du Nigeria, a indiqué l’armée mercredi.
Depuis le 27 décembre, une cinquantaine de combattants de Boko Haram, dont deux émirs, se sont rendus aux autorités nigériennes, à la frontière avec le Nigeria. Ils ont été regroupés dans un site de cantonnement à Diffa.
Deux attentats ont été évités de justesse dans l’Extrême-Nord du Cameroun, une région régulièrement ciblée par les terroristes nigérians de Boko Haram. Quatre jeunes kamikazes ont été interceptés mercredi lors de contrôles avant de pouvoir passer à l’acte. Tous sont morts sans faire de victimes.
D’après des responsables militaires, au moins cinq soldats ont péri durant le weekend lors de l’attaque d’une base militaire dans le nord-est du Nigeria par des islamistes de Boko Haram.
Alors que le pays commémorait les 1000 jours de leur captivité, le président nigérian a déclaré dimanche espérer que les 195 lycéennes de Chibok toujours détenues par le groupe terroriste Boko Haram, seraient libérées prochainement.
L’armée nigériane a annoncé jeudi 05 décembre avoir retrouvé une lycéenne de Chibok, enlevée il y a presque trois ans avec 275 autres par le groupe jihadiste Boko Haram, dont le président nigérian prédit la fin depuis plusieurs semaines.
Le ministre de l’Intérieur Bazoum Mohamed a annoncé mercredi la reddition d’une vingtaine de combattants nigériens du groupe jihadiste Boko Haram, dans la région de Diffa (sud-est du pays).
Au moins deux soldats ont été tués dans la nuit de samedi à dimanche lors d’une attaque du groupe Boko Haram contre l’armée nigérienne dans le sud-est du pays, a-t-on appris ce lundi. Cette attaque intervient une semaine après la reddition d’une trentaine de combattants islamistes.
Une fillette de 10 ans s’est tuée samedi soir dans une attentat suicide qui a fait plusieurs blessés, dont un grave, à Maiduguri, le berceau du groupe islamiste Boko Haram, dans le nord-est du Nigeria, selon des témoins.
Le 23 décembre, le président nigérian Muhammadu Buhari a annoncé que son armée avait repris le contrôle de la forêt de Sambissa, bastion historique de Boko Haram. Mais cela signifie-t-il pour autant la fin du groupe islamiste ? Jeune Afrique fait le point.
Le leader historique de Boko Haram, Abubakar Shekau, a fait circuler jeudi une nouvelle vidéo dans laquelle il conteste les affirmations du gouvernement nigérian selon lesquelles son groupe a été chassé de la forêt de Sambisa.
Une trentaine de combattants de Boko Haram de la région de Diffa, dans le sud du Niger, ont déposé les armes, a annoncé mardi Mohamed Bazoum, le ministre nigérien de l’Intérieur.
En 2016, c’est tout un continent qui a définitivement pris conscience du danger que fait peser sur lui la radicalisation de sa jeunesse. De quelle manière l’Afrique a-t-elle entrepris de protéger ses enfants de l’extrémisme ? Enquête.
L’armée nigériane a libéré 1 880 civils qui se trouvaient aux mains de Boko Haram et capturé plus de 500 combattants au cours de la semaine écoulée dans la forêt de Sambisa, bastion du groupe islamiste dans le nord-est du pays, a déclaré mercredi un haut responsable militaire.
Le régulateur sénégalais des télécoms avait donné six mois aux trois principaux opérateurs du pays pour identifier tous leurs abonnés. La date butoir dépassée, près d’un tiers des lignes téléphoniques mobiles du pays ont été suspendues.
Selon un premier bilan du porte-parole de l’armée nigériane, trente personnes ont péri vendredi matin dans un attentat mené par deux femmes kamikazes, présumées appartenir au groupe terroriste Boko Haram.