Le 17 août, la cérémonie du tirage au sort de la CAN prévue en janvier 2022 à peine achevée, le président de la CAF a rapidement quitté le Cameroun. « Jeune Afrique » explique ce départ précipité.
La nouvelle direction de la Confédération africaine de Football (CAF), présidée par le milliardaire sud-africain Patrice Motsepe, a décidé de procéder à plusieurs licenciements. Dans un style jugé brutal.
C’est un homme richissime, mais qui n’avait jamais eu de responsabilité dans l’administration du football africain qui vient d’être porté à la tête de la CAF. Ses liens avec la FIFA et sa capacité à évoluer en milieu méconnu seront surveillés de près.
Professionnalisation du football africain, amélioration de l’image de l’institution, modernisation des infrastructures, réforme de la CAN… Les défis du nouveau président de la Confédération africaine de football sont nombreux.
Gianni Infantino, le président de la Fifa, multiplie les initiatives pour que le Sud-Africain Patrice Motsepe, son favori, soit élu président de la Confédération africaine de football, le 12 mars à Rabat.
À seulement deux semaines de l’élection pour la présidence de la confédération, l’homme d’affaires sud-africain a dévoilé un programme ambitieux : faire du football africain une entreprise prospère.
Ancien président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), Jacques Anouma est l’un des candidats à la présidence de la Confédération africaine de football (CAF), dont l’élection aura lieu le 12 mars à Rabat.
Le 12 mars à Rabat, l’homme d’affaires briguera la présidence de la Confédération africaine de football. Voici les piliers de sa stratégie de campagne.
La Confédération africaine de football (CAF) connaîtra son nouveau président le 12 mars. Dernier rebondissement dans une campagne qui n’en manque pas : le retour d’Ahmad Ahmad, un temps écarté pour des soupçons de détournements de fonds.
Si la Fifa intervient dans les scandales qui éclaboussent la CAF, c’est d’abord parce que les Africains ne parviennent pas à gérer leurs propres affaires. Et discréditent ainsi l’ensemble du continent.
Confrontées à la menace des milices séparatistes, les autorités camerounaises ont renforcé leur dispositif sécuritaire dans les provinces du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
La Commission de gouvernance de la Confédération africaine de football a estimé, le 7 janvier, que le Malgache était inéligible et qu’il ne pouvait pas briguer sa propre succession à la tête de l’instance.
Ahmad Ahmad a décidé de faire appel de sa suspension par la Fifa devant le Tribunal arbitral du sport. Le Malgache ne compte pas renoncer à se présenter à un second mandat à la tête de la CAF, malgré sa condamnation pour détournement de fonds.
Suspendu le 23 novembre par la Commission d’éthique indépendante de la Fifa, le patron de la CAF a tenté, pendant plusieurs mois, de déjouer les manœuvres du président de la Fédération, Gianni Infantino, visant à lui trouver un successeur.
Le président de la Confédération africaine de football sera candidat à sa propre succession en mars prochain. Il devra affronter l’Ivoirien Jacques Anouma, le Sud-Africain Patrice Motsepe et le Mauritanien Ahmed Yahya. Mais aussi le Sénégalais Augustin Senghor, qui vient tout juste de se déclarer.
Dirigeants de clubs, joueurs, présidents de fédérations ou hommes d’affaires contribuent à faire tourner le ballon rond dans le continent. Sélection de dix figures incontournables du jeu footballistique africain.
Opérations financières douteuses, virements en Estonie ou en Pologne, paiements en liquide, subventions de la Fifa difficiles ou impossibles à tracer, problèmes de gouvernance… L’audit du cabinet britannique PwC n’est pas tendre pour la Confédération africaine de football (CAF).
Le président de la Fifa multiplie les interventions à propos du football africain, qu’il veut placer au centre de l’échiquier mondial. Mais sur le continent, la stratégie de l’Italo-Suisse intrigue, quand elle n’agace pas franchement.
La capacité du Cameroun à accueillir la Coupe d’Afrique des nations en 2021 suscite toujours des interrogations. Une délégation de la Confédération africaine de football (CAF) est arrivée à Yaoundé lundi pour évaluer la situation.
Sacré meilleur joueur africain de l’année, Sadio Mané ne s’est pas rendu Sénégal, où l’attendaient ses admirateurs mercredi. Son club Liverpool évoque des « perturbations dans le voyage » de l’attaquant, qui est rentré directement en Angleterre depuis l’Égypte.
L’ex secrétaire général de la Confédération africaine de football (CAF) Amr Fahmy a décidé de se porter candidat à la présidence de l’instance sportive. Limogé en 2019, sur fond de scandale à la CAF, l’Égyptien vient de démarrer sa campagne pour une élection en 2021.
Le Camerounais Grégoire Ndjaka, directeur général de l’Union africaine de radiodiffusion (UAR), suit de près les bouleversements audiovisuels sur le continent. Il rappelle que l’organisation qu’il dirige entend veiller au réalisme des droits de transmission TV des matchs de la CAN et du CHAN.
De nombreux acteurs de la scène publique camerounaise ont exprimé leur déception après la présentation, le 14 décembre, de « Tara », la mascotte du prochain championnat d’Afrique des nations (CHAN 2020). Le comité d’organisation se défend mais ses arguments peinent à convaincre au sein de l’opinion.
Fondateur de l’Observatoire du sport business, le Français Vincent Chaudel revient sur la rupture par la Confédération africaine de football (CAF) du contrat médias et marketing qui liait cette dernière à Lagardère. Pour ce spécialiste, l’instance n’a pas agi sans avoir préparé ses arrières.
La Confédération africaine de football (CAF) a répondu à Lagardère, qui avait fustigé la décision de l’instance de rompre le contrat qui liait les deux parties jusqu’en 2028.
Physiquement face à face sur la pelouse du stade de Radès, le 31 mai, après l’interruption de la finale retour de la Ligue des champions africaine de football, Hamdi Meddeb et Saïd Naciri, présidents respectivement de l’Espérance de Tunis et du Wydad Casablanca, poursuivent depuis leur match par médias et instances disciplinaires interposés.
Réunie mercredi 7 août au Caire, la commission de discipline de la CAF a finalement déclaré le Wydad Casablanca « perdant par forfait » de la finale retour de la Ligue des champions africaine qui l’opposait fin mai à l’Espérance de Tunis. Le match avait été interrompu prématurément à cause d’un problème d’assistance vidéo à l’arbitrage.
Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rendu mercredi 31 juillet une « décision partielle » sur le choix de la CAF de faire rejouer la finale retour de Ligue des champions entre le Wydad Casablanca et l’Espérance sportive de Tunis (EST) : il a estimé que le comité exécutif de l’instance n’avait pas le pouvoir de le faire et appelé les « organes compétents » de cette dernière à se prononcer.