L’État islamique, appelé également « Daesh » en arabe, est un mouvement terroriste d’idéologie salafiste et jihadiste. Le 29 juin 2014, par la voix de son chef Abou Bakr al-Baghdadi, elle annonçait le rétablissement d’un califat dans les territoires sous son contrôle, en Syrie et en Irak. Certains groupes terroristes en Afrique lui ont fait allégeance.
Les forces du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont affirmé lundi avoir tué dimanche 80 jihadistes au cours de leur offensive pour reprendre la ville portuaire de Syrte, bastion du groupe État islamique (EI).
Huit soldats des forces loyalistes et au moins dix jihadistes ont été tués dimanche dans des combats à Syrte, bastion du groupe État islamique (EI) que tente de reprendre depuis cinq mois le gouvernement libyen d’union nationale. Un journaliste néerlandais a également été tué.
L’Observatoire Syrien des Droits de l’Homme (OSDH) a affirmé vendredi que les frappes de l’aviation russe ont coûté la vie à plus de 3800 civils et blessé 20 000 d’entre eux en un an.
Il ne se passe plus de quinzaine sans que les agents du Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ) procèdent au démantèlement de cellules pro-Daesh au Maroc.
Un écrivain jordanien controversé, Nahed Hattar, a été assassiné dimanche devant un tribunal d’Amman, la capitale, où il devait passer devant les juges pour avoir publié une caricature considérée comme offensante envers l’islam. Un assassinat qualifié de « crime odieux » par le gouvernement.
Neuf soldats progouvernementaux et dix jihadistes ont été tués jeudi dans des combats à Syrte, le bastion du groupe État islamique (EI) en Libye, que tente de reprendre depuis quatre mois le gouvernement d’union nationale (GNA), selon des sources médicales et militaires.
La communauté somalienne du Minnesota exprimait sa crainte de représailles après l’attaque au couteau sur neuf personnes samedi dans un centre commercial très fréquenté. Cet acte a été revendiqué dans la foulée par le groupe État islamique, qui a déclaré que l’individu de 22 ans, d’origine somalienne, était l’un de ses « soldats ».
La police fédérale américaine (FBI) a déclaré dimanche enquêter sur une attaque à l’arme blanche samedi dans un centre commercial du Minnesota, qu’elle considère comme « un potentiel acte de terrorisme », un journal local identifiant l’assaillant comme un Américain d’origine somalienne. L’EI a pour sa part revendiqué la paternité des faits.
Les combats contre les jihadistes du groupe État islamique (EI) retranchés à Syrte ont repris dimanche après deux semaines d’accalmie, ont annoncé les forces du gouvernement libyen d’union qui tentent depuis quatre mois de reprendre cette ville. De son côté, l’Italie a prévu d’envoyer 300 militaires dans la ville de Misrata.
Le groupe État islamique a revendiqué pour la première fois une attaque sur le sol kényan après l’attentat dans le commissariat de Mombasa survenu dimanche.
Les États-Unis ont confirmé lundi avoir tué dans un bombardement aérien en Syrie le numéro deux du groupe jihadiste État islamique, Abou Mohammed al-Adnani. Une élimination qui avait été également revendiquée par la Russie.
Trois femmes ont été interpellées jeudi 8 septembre après la découverte d’une voiture contenant des bonbonnes de gaz en plein Paris le week-end dernier. La principale suspecte avait prêté allégeance à l’État islamique.
Les autorités marocaines ont annoncé mercredi avoir démantelé une cellule terroriste liée au groupe État islamique (EI) qui préparait des attentats dans le nord du pays.
Farhat Horchani, le ministre tunisien de la Défense, a estimé mardi qu’un millier de Tunisiens combattaient au côté du groupe État islamiste (EI) en Libye et qu’ils constituaient une « menace » pour la Tunisie.
Le fils du fondateur d’Al-Qaïda revient sur le devant de la scène en appelant les Saoudiens à renverser la monarchie. Mais le « prince héritier de la terreur » saura-t‑il prendre la tête de l’organisation terroriste ?
Les forces du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont lancé samedi une nouvelle offensive contre le dernier réduit du groupe Etat islamique (EI) dans la ville de Syrte, selon un communiqué et un de leurs combattants.
Les deux Marocains expulsés de France le 26 août pour « menace grave à l’ordre public » ont été cueillis par les services de sécurité marocains. Selon le ministère de l’Intérieur, les deux partisans de l’État Islamique préparaient des « opérations d’envergure » visant le royaume.
Entamée il y a tout juste un mois, la campagne américaine de bombardements contre le groupe État islamique en Libye se poursuit à un rythme « régulier », a indiqué jeudi une porte-parole militaire américaine.
Du Congo au Yémen, des Émirats au Niger, de la Côte d’Ivoire à la Centrafrique, en treillis ou sous Casques bleus, les Forces armées royales exportent leur savoir-faire. Enquête sur des fauteurs de paix.
Les dernières armes chimiques, en route vers l’Europe pour leur destruction, auraient été expédiées hors du pays via un navire danois. Ce dernier aurait quitté samedi le port de Misrata, à 200 km à l’est de Tripoli en direction de l’Allemagne. Le but de la manœuvre est simple : éviter que ces armes ne tombent entre les mains de l’État islamique.
Une dizaine de chars turcs sont entrés en territoire syrien ce mercredi 24 août à l’aube. D’une ampleur inédite, l’opération, menée par l’armée turque et soutenue par les forces de la coalition internationale, vise le groupe État islamique mais aussi les milices kurdes avec pour but de « mettre un terme » aux problèmes à la frontière turque, a déclaré le président Recep Tayyip Erdogan.
Malgré les dissensions internes apparues au grand jour, le groupe jihadiste est loin d’être éradiqué. Pillages, raids meurtriers, expéditions punitives… Face à l’offensive des armées de la sous-région, l’ancienne secte s’est changée en monstre sanguinaire, semant la désolation au Nigeria, au Niger, au Cameroun et au Tchad.
Les forces du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont indiqué mercredi que le groupe jihadiste État islamique (EI) avait mené, mardi, neuf attentats suicide pour tenter de maintenir ses positions dans un quartier qu’il a finalement perdu.
Les autorités marocaines ont annoncé ce mardi avoir arrêté quatre sympathisants présumés du groupe jihadiste État islamique (EI), accusés de planifier des attentats contre des « sites vitaux » à Casablanca.
Le groupe Etat islamique a libéré des centaines de civils qu’il avait emmenés comme boucliers humains en se retirant de son fief stratégique de Minbej, dans le nord de la Syrie, après avoir été mis en déroute par des combattants soutenus par Washington.
Des combattants du groupe jihadiste État islamique ont enlevé vendredi environ 2000 civils qu’ils ont utilisés comme boucliers humains en fuyant la ville de Minbej dans le nord de la Syrie, a-t-on appris de sources indépendantes.
Depuis le début des bombardements de la coalition dirigée par les États-Unis contre l’État islamique, près de 45 000 combattants du groupe jihadiste ont été éliminés en Irak et en Syrie, d’après le général américain au commande des opérations.