L’État islamique, appelé également « Daesh » en arabe, est un mouvement terroriste d’idéologie salafiste et jihadiste. Le 29 juin 2014, par la voix de son chef Abou Bakr al-Baghdadi, elle annonçait le rétablissement d’un califat dans les territoires sous son contrôle, en Syrie et en Irak. Certains groupes terroristes en Afrique lui ont fait allégeance.
Les forces du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) se sont emparées mercredi du centre de commandement de l’État islamique à Syrte, fief du groupe jihadiste, a annoncé leur centre de presse dans un communiqué.
Le leader de Boko Haram, Abubakar Shekau, a promis d’intensifier son combat jihadiste dans une vidéo diffusée dans la soirée de dimanche, balayant les divisions internes du groupe islamiste nigérian révélées la semaine dernière.
Le groupe État islamique (EI) a revendiqué dimanche une attaque à la machette dans laquelle deux policières ont été blessées la veille à Charleroi en Belgique, selon Amaq, un organe de propagande de l’organisation jihadiste.
L’armée égyptienne a annoncé jeudi avoir tué le chef de la branche locale du groupe jihadiste État islamique (EI) dans la péninsule du Sinaï à l’est du pays et qui mène depuis plus de trois ans des attaques visant essentiellement les forces de sécurité.
Interviewé par Jeune Afrique, le ministre nigérien de la Défense, Hassoumi Massaoudou, estime que la fin de Boko Haram approche. Reconnaissant envers la France et les États-Unis pour leur apport en matière de renseignement, il déplore néanmoins une aide financière selon lui insuffisante de la part de l’Union européenne.
Dans un message audio diffusé mardi, Abubakar Shekau a réagi la nomination d’Abou Mosab Al Barnaoui à la tête de la section de l’État islamique en Afrique de l’Ouest et affirme être toujours « présent ».
Dans la dernière parution de son hebdomadaire en langue arabe, l’État islamique propose une interview de Abou Mosab Al Barnaoui, présenté comme le nouveau responsable de sa « province en Afrique de l’Ouest ». Il remplacerait donc Abubakar Shekau, dont la dernière apparition remonte à mars 2016.
Les forces progouvernementales ont repris un quartier important du centre de la ville de Syrte, fief de l’organisation État islamique, acculant davantage les jihadistes, cibles la veille de frappes américaines, ont annoncé mardi les autorités.
Le chef du gouvernement libyen d’union nationale (GNA), Fayez al-Sarraj, a annoncé que les États-Unis avaient, à sa demande, mené des frappes aériennes contre des positions du groupe État islamique (EI) dans son fief de Syrte.
Après trois jours de combats meurtriers, les forces des autorités libyennes non reconnues ont repris jeudi aux jihadistes un quartier de Benghazi, deuxième ville de Libye.
52 personnes ont été placées en détention provisoire dans la foulée d’une opération antiterroriste lancée le 19 juillet par les autorités marocaines, a indiqué mercredi le ministère marocain de l’Intérieur.
Mardi matin, deux hommes ont attaqué une église et égorgé le prêtre alors qu’il débutait son office. Les deux assaillants ont été tués. L’un d’eux avait tenté de rejoindre la Syrie à deux reprises. Déjà condamné, il portait un bracelet électronique.
L’un des auteurs de l’attaque mardi d’une église à Saint-Etienne-du-Rouvray, dans l’agglomération de Rouen, au cours de laquelle un prêtre a été égorgé, avait été inculpé pour lien avec le terrorisme et placé en détention avant de bénéficier d’une liberté conditionnelle, selon une source proche de l’enquête.
En marge d’un sommet de la Ligue arabe à Nouakchott, le chef du gouvernement d’union nationale (GNA) a convoqué l’ambassadeur de France en Libye pour lui demander des explications officielles sur la présence de militaires français sur le territoire.
« Les statistiques récemment publiées par le ministère libyen de l’Éducation donnent une image alarmante de l’accès au système éducatif », a indiqué le Bureau de coordination des Affaires humanitaires (BCAH) de l’ONU dans un rapport publié lundi.
Cinq jours après la mort de trois militaires français dans le Nord à proximité de Benghazi, qui avait forcé Paris à reconnaître que des troupes évoluaient dans le pays, le chef du groupe jihadiste Al-Mourabitoune a dénoncé dans un communiqué, relayé lundi 25 juillet par le site Al-Akhbar, la présence des « renseignements français » dans le Sud.
Le gouvernement libyen a accusé mercredi la France de violer le territoire national après l’annonce de la mort de trois soldats français en Libye. Des manifestations de protestation ont eu lieu dans plusieurs villes du pays.
L’État islamique (EI) a diffusé, mardi 19 juillet, une vidéo dans laquelle l’auteur de l’attaque annonce ses intentions et profère des menaces contre les pays « infidèles ». Il est parvenu a blesser quatre voyageurs dans le train assurant la liaison entre deux villes bavaroises.
Un jeune réfugié afghan de 17 ans a blessé quatre personnes lundi soir en les attaquant à la hache et au couteau dans un train régional allemand. L’organisation terroriste État islamique a indiqué qu’il s’agissait d’un de ses combattants.
Au fur et à mesure que l’enquête progresse, la personnalité complexe du tueur de Nice se précise. Les premiers éléments mettent en évidence « un intérêt certain mais récent pour la mouvance islamiste ».
Des familles en vacances, des touristes étrangers, un commissaire de police, mais aussi dix enfants et adolescents: voici des éléments collectés par l’AFP sur les vies fauchées par l’attentat qui a fait 84 morts jeudi soir à Nice.
Le groupe État islamique (EI) a revendiqué la tuerie ayant fait 84 morts lors des célébrations de la fête nationale le 14 juillet dans la ville française de Nice, rapporte samedi l’agence Amaq liée au groupe jihadiste.
Le groupe Etat islamique (EI) a perdu 12% du territoire qu’il contrôle en Irak et en Syrie au cours des six premiers mois de 2016, selon une analyse du cabinet britannique spécialisé IHS Jane’s publiée dimanche.
L’Irak entame lundi trois jours de deuil national en hommage aux victimes de l’attentat-suicide perpétré à Bagdad dimanche. Revendiqué par l’État islamique, celui-ci a fait plus de 200 morts dans un quartier commerçant de la capitale.
Alors qu’il essayait de ramener son fils en Tunisie, Fathi Bayoudh, colonel-major et chef du service pédiatrique de l’hôpital militaire de Tunis, a perdu la vie lors d’un triple attentat-suicide en Turquie. Sa femme Saïda, meurtrie, raconte l’histoire de ce père prêt à tout pour sauver son enfant, parti rejoindre le groupe État islamique.
La branche égyptienne du groupe jihadiste État islamique (EI) a revendiqué l’attaque contre un prêtre copte égyptien tué par balle jeudi dans le nord de la péninsule du Sinaï, dans l’est de l’Égypte.
Les forces irakiennes ont totalement libéré dimanche Fallouja, une ville de l’ouest de l’Irak aux mains des jihadistes du groupe Etat islamique (EI) depuis janvier 2014.
La connivence objective, que l’on soupçonnait depuis longtemps, est désormais flagrante : par les attentats qu’il ordonne ou inspire, le terrorisme islamiste, celui de Daesh plus encore que celui d’Al-Qaïda, favorise l’extrême droite européenne et le populisme américain.