L’État islamique, appelé également « Daesh » en arabe, est un mouvement terroriste d’idéologie salafiste et jihadiste. Le 29 juin 2014, par la voix de son chef Abou Bakr al-Baghdadi, elle annonçait le rétablissement d’un califat dans les territoires sous son contrôle, en Syrie et en Irak. Certains groupes terroristes en Afrique lui ont fait allégeance.
Suite aux affrontements meurtriers qui ont eu lieu ce matin à Ben Guerdane près de la frontière avec la Libye, le président tunisien Béji Caïd Essebsi a condamné « une attaque jihadiste sans précédent et coordonnée ».
Deux Italiens enlevés en juillet en Libye et libérés vendredi sont arrivés dimanche en Italie, un retour entouré de silence alors que des questions demeurent sur la mort de deux autres otages kidnappés en même temps qu’eux.
Deux employés italiens d’une société de construction qui avaient été enlevés en juillet en Libye ont été libérés vendredi après une opération de milices libyennes contre des djihadistes du groupe État islamique dans la région de Sabrata, dans l’ouest du pays.
Le ministre de la Défense britannique Michael Fallon a annoncé lundi le déploiement de formateurs militaires britanniques en Tunisie afin d’empêcher des djihadistes de l’État islamique présents en Libye de passer la frontière tunisienne.
Une mauvaise communication du ministère de l’Économie et des Finances tunisien est à l’origine de la mise en état d’alerte maximale des forces algériennes à la frontière avec la Libye.
Pour stopper Daesh, l’option d’une intervention militaire internationale est de plus en plus envisagée mais fait débat, notamment chez des voisins maghrébins inquiets des probables conséquences.
Un rapport d’enquête d’une centaine de pages publié jeudi par le Haut commissariat aux droits de l’homme des Nations unies fait état des abus commis en Libye entre 2014 et 2015. Et le constat est accablant.
Le chef de l’organisation terroriste État islamique (EI) pour la ville de Sabrata, près de Tripoli, a été capturé avec deux de ses compagnons, a annoncé jeudi le ministère de l’Intérieur du gouvernement libyen non reconnu par la communauté internationale.
Environ 200 jihadistes du groupe État islamique (EI) ont réussi à occuper mardi pendant plusieurs heures le centre de Sabrata près de Tripoli, avant d’en être chassés par des miliciens membres de la coalition Fajr Libya.
Le démantèlement d’une cellule terroriste, le cent cinquante-deuxième depuis 2002, le 18 février, a confirmé le nouveau mode opératoire de l’État islamique au Maroc. Les dix personnes arrêtées à Essaouira, El Jadida, Meknès et Sidi Kacem ont entre 16 ans et 40 ans, et n’ont suivi aucun entraînement en Syrie ou en Irak.
Terrorisme, intervention en Libye, Bachar al-Assad, droits de l’homme, Frères musulmans… Le président égyptien a reçu Jeune Afrique et répond sans ambages à toutes les questions.
L’Allemagne envisage d’envoyer des soldats en Tunisie former l’armée tunisienne puis éventuellement libyenne à lutter contre l’organisation de l’État islamique (EI), implantée en Libye et qui constitue une menace régionale, a rapporté dimanche l’hebdomadaire Bild am Sonntag.
Deux ressortissants serbes qui avaient été enlevés en novembre dernier en Libye ont péri lors de la frappe aérienne américaine contre un camp d’entraînement du groupe Etat islamique, a annoncé samedi le ministre Serbes des Affaires étrangères Ivica Dacic.
Depuis que l’Iran, naguère segment majeur d’un supposé « Axe du Mal » s’est vu réhabilité au rang de nation fréquentable par les Occidentaux, un vent de panique souffle à Riyad, qui fait feu de tout bois. Julien Théron, conseiller en géopolitique des conflits basé au Liban, analyse la politique internationale de l’Arabie saoudite.
La ministère de l’Intérieur a annoncé jeudi le démantèlement d’une importante cellule jihadiste comptait mettre à exécution les récentes menaces de Daesh à l’encontre du royaume. Dix personnes dont un Franco-Marocain ont été arrêtées.
Je maintiens mon pronostic de la semaine dernière : il y a des « lueurs d’espoir » à moyen terme pour le monde arabo-musulman. Mais l’horizon immédiat du Moyen-Orient est lourd de menaces, et les braises incandescentes de cette malheureuse région pourraient retomber sur le sol africain dès les prochaines semaines. L’engrenage me paraît devoir être le suivant.
Une campagne de bombardements aériens visant les sites et les arsenaux de l’État islamique en Libye, sur le modèle de celle menée en Syrie et en Irak ?
Réorganisation des services de renseignements, coopération plus étroite avec les partenaires étrangers, coups de filet antiterroristes… Cela fait des mois que le pays se prépare à affronter l’hydre jihadiste. A fortiori depuis l’attentat qui a endeuillé le voisin burkinabè.
Selon la police allemande, trois Algériens, soupçonnés de préparer un attentat à Berlin en lien avec l’organisation État islamique, ont été arrêtés jeudi lors d’une opération d’envergure dans des centres de réfugiés dans l’ouest et le nord du pays.
Des responsables de l’administration américaine ont fait état jeudi d’une présence « de l’ordre de 5 000 combattants en Libye. Un nombre qui s’est multiplié par deux par rapport aux précédentes estimations.
Après l’Irak et la Syrie, la communauté internationale doit-elle intervenir en Libye ? Les États-Unis et d’autres pays, réunis mardi à Rome, envisagent sérieusement cette hypothèse. Dans quelles conditions ? Explication en six questions.
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a démenti mardi 2 février toute velléité de la France d’intervenir militairement contre l’État Islamique (EI) en Libye.
Cinq ans après avoir écrasé sous les bombes le régime psychopathe de Mouammar Kadhafi, les stratèges de l’Otan s’apprêtent à remettre le couvert pour « finir le travail » – à moins que ce ne soit pour réparer leur coupable imprévoyance.
Le parlement de Tobrouk-Baïda, reconnu par la communauté internationale, a rejeté lundi le gouvernement d’union nationale formé sous l’égide les Nations Unies.
Un imam rwandais, soupçonné d’être impliqué dans le recrutement de jeunes pour aller combattre en Syrie dans les rangs du groupe jihadiste État islamique (EI) a été abattu samedi par la police rwandaise, a-t-elle indiqué, dans un communiqué.