L’État islamique, appelé également « Daesh » en arabe, est un mouvement terroriste d’idéologie salafiste et jihadiste. Le 29 juin 2014, par la voix de son chef Abou Bakr al-Baghdadi, elle annonçait le rétablissement d’un califat dans les territoires sous son contrôle, en Syrie et en Irak. Certains groupes terroristes en Afrique lui ont fait allégeance.
Si pour l’ancien ambassadeur, il est difficile de tirer des conclusions générales des Printemps arabes, tant les situations sont diverses, les ressorts des révolutions n’ont pas disparu et déboucheront, à terme, sur plus de démocratie et d’État de droit.
Smail Chergui, Commissaire de l’Union Africaine pour la paix et la sécurité, a mis en garde les pays africains contre le retour des jihadistes de l’EI et préconisé une collaboration dans la lutte contre le terrorisme.
L’attentat le plus meurtrier de l’histoire de la Somalie a fait jusqu’à 512 morts, le 14 octobre dernier, lorsqu’un camion piégé a explosé à Mogadiscio, a annoncé samedi un comité travaillant sur les victimes de cette attaque.
Une foule considérable de fidèles musulmans, dont des figures religieuses et officiers de l’armée égyptienne, ont assisté vendredi à la prière hebdomadaire dans une mosquée où une attaque imputée au groupe Etat islamique (EI) a fait 305 morts il y a une semaine.
Ahmad Al Faqi Al Mahdi a été reconnu coupable par la Cour pénale internationale (CPI) de crime de guerre pour avoir dirigé, en juin et juillet 2012, la destruction de dix monuments à Tombouctou. Le Courrier de l’Unesco l’a interviewé, dans sa prison à La Haye. Jeune Afrique retranscrit cet entretien exceptionnel.
Après les revers subis par l’État islamique (EI) en Irak et en Syrie, des combattants étrangers du groupe terroriste pourraient être tentés de se rendre en Afrique du nord, alerte le ministre algérien des Affaires étrangères Abdelkader Messahel.
Devant les députés, le ministre Abdelouafi Laftit a indiqué que 1669 Marocains avaient rejoint les organisations jihadistes au Moyen-Orient. Mais que faire de ceux qui sont rentrés au royaume ?
Les États-Unis ont annoncé lundi avoir tué 40 « islamistes shebab » et « combattants de l’EI » en Somalie au terme de cinq frappes menées en fin de semaine dernière.
Ce vendredi, la présidence a annoncé une énième prolongation de l’état d’urgence, cette fois-ci pour trois mois. Une mesure exceptionnelle qui se poursuit depuis 2015 suite aux attentats jihadistes perpétrés dans le pays.
La mission américaine en Somalie a demandé samedi à tous ses membres non essentiels de quitter Mogadiscio immédiatement, à la suite d’une menace contre eux à l’aéroport de la la capitale somalienne.
Les États-Unis ont annoncé vendredi avoir mené deux frappes contre le groupe État islamique (EI) en Somalie, la première opération contre l’EI dans ce pays où agissent déjà les islamistes somaliens shebabs, affiliés à Al-Qaïda.
Des éléments de l’embuscade ayant causé la mort de quatre militaires américains au Niger contredisent la version officielle, selon un récit publié jeudi par la chaîne américaine ABC. Le média cite des sources nigériennes et des services de renseignement américain.
Les élus du Congrès commencent à s’inquiéter de la présence militaire américaine en Afrique, un continent qu’ils connaissent peu et où ils craignent que les Etats-Unis mènent une guerre secrète et perpétuelle contre un ennemi en mutation permanente.
Pour sa première visite officielle hors Union européenne, le président du Parlement européen, Antonio Tajani, s’est rendu les 30 et 31 octobre à Tunis. Il y a parlé d’avenir, mais aussi des inquiétudes du moment.
Les États-Unis ont annoncé ce 30 octobre une aide financière aux pays du Sahel engagés dans la lutte contre les jihadistes, mais sans passer par les Nations unies comme l’espérait notamment la France.
Emmanuel Macron a insisté mardi sur « le combat commun » de la France et de l’Égypte en matière de lutte antiterroriste, refusant de « donner des leçons » sur la question des droits de l’homme à son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi, en visite officielle à Paris.
Les États-Unis envisagent de renforcer leur action militaire en Afrique contre l’État islamique qui cherchent à se repositionner après la chute de son « califat » aux confins de la Syrie et l’Irak, craignant un redéploiement des jihadistes sur le continent. L’Afrique est déjà la deuxième zone d’intervention dans le monde des forces spéciales américaines, après le Proche-Orient.
La justice française soupçonne un Marocain lié au jihadiste Abdelhamid Abaaoud, donneur d’ordre présumé de l’attaque d’un train Thalys en août 2015, d’avoir participé à « la préparation de l’attentat ».
Ici même, la semaine dernière, j’ai attiré votre attention sur le tandem France-Allemagne. Le pays d’Angela Merkel, qui se porte bien depuis plus de dix ans, n’a cessé de creuser l’écart avec la France. Mais, réveillée de sa torpeur, cette dernière a des atouts et les moyens de rattraper une grande partie du retard qu’elle a pris.
À Raqqa, la dernière poche de résistance des combattants de l’État islamique (EI) a été vaincue mardi par un alliance antijihadistes, soutenue par les Américains.
Véritable fief jihadiste, le nord du Sinaï a été le théâtre lundi d’une attaque de banque à Al-Arish, qui a coûté la vie à trois policiers et deux civils. L’État islamique a pour sa part revendiqué le tir de deux roquettes tombées dimanche soir dans le sud d’Israël, sans faire de victimes.
La sœur et un frère du Tunisien Ahmed Hanachi, qui a tué avec un couteau deux jeunes filles à Marseille, sont en détention préventive depuis vendredi en Tunisie. Ils ont été entendus par le pôle judiciaire antiterroriste, a indiqué lundi 9 octobre son porte-parole Sofiène Sliti.
Les dépouilles de 21 chrétiens coptes exécutés en Libye par le groupe Etat islamique (EI) en 2015 ont été découvertes dans un charnier près de Syrte, l’ancien bastion des jihadistes.
C’est en lisant un article de presse parlant d’un énième attentat islamiste que cette vieille question m’a rattrapé : « À qui le tour ? » Elle m’a verglacé le dos.
Le ministre des Affaires étrangères britannique Boris Johnson se trouvait sous le feu des critiques mardi après avoir déclaré que la Libye pourrait devenir attractive pour les touristes et les investisseurs si toutefois elle parvenait à « se débarrasser des cadavres ».
Le procès de l’attentat de Sousse en Tunisie, qui avait coûté la vie à 38 touristes étrangers en 2015, a été une nouvelle fois ajourné pour laisser le temps aux avocats de monter leurs dossiers.
L’auteur de l’attaque au couteau, qui a coûté la vie dimanche à deux jeunes femmes sur le parvis de la gare de Marseille, a été formellement identifié par les autorités françaises comme étant Ahmed Hanachi, un Tunisien âgé de 29 ans.
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a dénoncé dimanche 1er octobre un attentat terroriste à Edmonton, dans l’ouest du pays, où un Somalien, en attente du statut de réfugié, a agressé à l’arme blanche un policier avant de blesser quatre piétons avec une camionnette-bélier.
Une des principales zones d’activité de Daesh dans le monde se situe en Afrique, dans le désert du Sinaï. Dans le nord de la péninsule, Daesh fait sa loi.
La justice égyptienne a condamné à mort samedi sept personnes pour leur appartenance au groupe jihadiste État islamique (EI) ou leur implication dans la décapitation de 21 chrétiens dont 20 Égyptiens en Libye, ont indiqué des responsables.