L’État islamique, appelé également « Daesh » en arabe, est un mouvement terroriste d’idéologie salafiste et jihadiste. Le 29 juin 2014, par la voix de son chef Abou Bakr al-Baghdadi, elle annonçait le rétablissement d’un califat dans les territoires sous son contrôle, en Syrie et en Irak. Certains groupes terroristes en Afrique lui ont fait allégeance.
Dix militants islamistes présumés ont été tués dimanche lors d’un raid des forces de sécurité égyptiennes près du Caire, ont indiqué des sources de sécurité.
Trois semaines après les attentats en Catalogne, les autorités marocaines et espagnoles ont annoncé l’arrestation d’un nouveau groupe de terroristes présumés au terme d’une opération menée conjointement. Six personnes ont été interpellées à Melilla et dans la banlieue de Nador, dans le nord du Maroc.
Le 29 juillet, le Sud-Africain Stephen McGown était libéré des griffes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), après six années de détention au Mali. Comme lui, nombreux sont les civils à avoir fait les frais du business, fort lucratif, de la prise d’otages.
Nés au cœur du royaume marocain, mais radicalisés en Europe et recrutés par Daesh : de M’rirt à Barcelone, enquête sur les soldats tueurs du jihad qui ont endeuillé l’Espagne.
L’organisation jhadiste Daesh (État islamique) semble remettre un pied dans la région de Syrte, ville côtière libyenne qu’elle a occupée plusieurs mois avant d’en être délogée en décembre 2016.
Les forces irakiennes sont désormais en passe de reconquérir la ville de Tal Afar, l’un des derniers bastions jihadistes en Irak pilonné depuis des semaines par les avions irakiens et de la coalition internationale anti-EI emmenée par les Etats-Unis.
Après Mossoul, l’hydre jihadiste est sur le point de perdre Raqqa, sa dernière tête. Mais, en Irak comme en Syrie, les territoires libérés risquent de basculer dans un autre cauchemar, celui des milices.
Connu entre autres pour ses attaques envers toutes les religions, le journal satirique Charlie Hebdo a publié en couverture mercredi 23 août un dessin provocateur sur les attentats islamistes qui ont endeuillé l’Espagne il y a moins d’une semaine.
Les victimes ont été décapitées lors d’une attaque mercredi 23 août à l’aube contre une position de l’Armée nationale libyenne (ANL), loyale au maréchal Khalifa Haftar, dans le sud-est du pays, a annoncé le même jour un porte-parole de cette force.
Alors que le bilan des attentats de Barcelone et de Cambrils s’élève désormais à 15 victimes, l’enquête a mis au jour une filière terroriste marocaine d’une douzaine de personnes. Parmi elles, quatre fratries originaires du royaume chérifien.
Younès Abouyaaqoub, auteur présumé de l’attentat de Barcelone, a été abattu lundi à Subirats. Le Marocain portait une ceinture d’explosifs factice lors de sa localisation par la police, qui a confirmé l’information en fin de journée.
Dans la bourgade sans histoire de Melouiya au Maroc, le père de Driss et Moussa Oukabir se dit « effondré » depuis l’annonce de l’implication présumée de ses fils dans les attentats en Espagne. « Ils n’avaient montré aucun signe de radicalisation », dit-il à l’AFP.
Les auteurs du double attentat meurtrier avec des véhicules-bélier commis en Catalogne pourraient avoir créé une cellule en partie formée dans un village proche des Pyrénées, et qui semblait décidée à mener des attaques très meurtrières, selon les premiers éléments de l’enquête.
Les forces égyptiennes ont tué 30 extrémistes dans la péninsule du Sinaï au cours d’opérations de sécurité menées ces quatre derniers jours, a annoncé l’armée samedi.
Le chef du groupe État islamique (EI) Abou Bakr al-Baghdadi est mort, a annoncé ce mardi l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), au lendemain de la proclamation par le gouvernement irakien de sa victoire à Mossoul, bastion de l’organisation jihadiste.
Le Premier ministre irakien Haider al-Abadi a proclamé dimanche la victoire dans Mossoul « libérée » à l’issue d’une bataille de près de neuf mois contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI), a indiqué son bureau dans un communiqué.
En proclamant, mercredi 5 juillet, la libération « totale » de Benghazi, le maréchal Khalifa Haftar s’est imposé comme l’homme fort de la Libye. Pour Hélène Bravin, chercheuse associée à l’Institut Prospective et sécurité en Europe, spécialiste de la Libye, celui qui avait été exclu de l’accord politique de 2015 devient un acteur incontournable, disposant d’une crédibilité propre à lui permettre d’exiger son intégration au sein du gouvernement d’union nationale.
Trois chercheurs en sciences sociales, dont deux anciens militants marocains du Mouvement du 20 Février, dénoncent les exécutions extrajudiciaires de Français partis se battre dans les rangs des jihadistes qui seraient, selon le Wall Street Journal, commanditées par les autorités françaises auprès de l’armée irakienne.
Après plus de trois ans de combats meurtriers, le maréchal Khalifa Haftar, homme fort de l’Est libyen, a annoncé mercredi soir la « libération totale » de la ville de Benghazi des jihadistes.
Les autorités marocaines affirment avoir démantelé une cellule terroriste liée à l’État islamique à Essaouira, dans le sud du pays, jeudi 22 juin. Les quatre personnes arrêtées préparaient des attaques contre des « installations sensibles et des sites touristiques d’Essaouira ».
Le patron du football saoudien s’est excusé vendredi après que l’équipe nationale a snobé une minute de silence pour les victimes de l’attentat de Londres lors du match de qualification pour le Mondial 2018 qui l’opposait à l’équipe australienne, à Adelaïde, dans le sud de l’Australie.
Les auteurs des attaques quasi-simultanées qui ont frappé la capitale iranienne mercredi, faisant 13 morts, sont des nationaux iraniens qui avaient rallié le groupe terroriste État islamique (EI), selon un haut responsable iranien.
Pour le politologue Hasni Abidi, la crise entre Riyad et Doha n’est pas nouvelle, bien au contraire. Mais elle met leurs soutiens maghrébins de plus en plus dans l’embarras, notamment le Maroc.
La police britannique a révélé mardi l’identité du dernier des trois assaillants qui ont semé la terreur dans le centre de Londres, samedi 3 juin, faisant sept morts et une cinquantaine de blessés. Selon les autorités, deux des terroristes seraient d’origine marocaine.
L’opération, menée par les autorités dans l’ouest de la Tunisie, a conduit à l’arrestation de six membres présumés de l’organisation Jund al-Khilafa mardi 30 mai, au lendemain de la mort d’un dirigeant jihadiste.
Le Groupe islamique du combat en Libye (GICL) d’Abdelhakim Belhadj est-il derrière l’attentat de Manchester (22 morts, le 22 mai) ? C’est la question que se posent les enquêteurs britanniques.
Un dirigeant de l’organisation État islamique (EI) en Tunisie, qui préparait des opérations durant le ramadan, a été tué par les forces de sécurité dimanche soir près de Kasserine, dans l’ouest, ont annoncé lundi les autorités.
Le frère du kamikaze de Manchester a été arrêté par une milice loyale au gouvernement de Fayez al-Sarraj. Mais ces combattants présentent un visage qui inquiète beaucoup de Libyens.