Les institutions internationales prévoient, non sans réserve, une croissance économique à deux chiffres pour le pays, grâce à la mise en service, à la fin de 2023, d’un oléoduc devant permettre de multiplier les exportations de l’or noir par sept.
Le Nigeria est sur le point de voter la Petroleum Industry Bill, une grande réforme du secteur des hydrocarbures. Mais celle-ci ne paraît en mesure ni de relancer sa compétitivité ni de réduire les tensions dans le delta du Niger.
Avec près de deux enlèvements par jour depuis l’an dernier, le kidnapping est un fléau pour les résidents du pays. Et une véritable industrie pour les criminels.
Un gazoduc a explosé samedi dans le sud-est du Nigeria, région volatile qui a été frappée l’année dernière par de nombreuses attaques menées par des groupes armés, a annoncé mardi Violin Antaih, le porte-parole de la compagnie nationale des hydrocarbures. Pour lui, il s’agit à n’en pas douter d’un sabotage.
Malgré le cessez-le-feu signé avec le principal groupe des Vengeurs du Delta du Niger (NDA), les pourparlers entre le gouvernement et les groupes rebelles n’avancent guère et les attaques sur les installations pétrolières continuent. Une menace persistante sur un secteur déjà miné par les cours du brut.
Le groupe rebelle des Vengeurs du Delta du Niger (NDA) a revendiqué mardi la destruction d’un oléoduc de la compagnie américaine Chevron dans le sud du pays, qui concentre l’industrie du pétrole.
Un groupe rebelle nigérian a revendiqué jeudi une nouvelle attaque d’oléoduc dans l’État du Delta, alors que le pays souffre d’une grave crise économique et énergétique.
La compagnie pétrolière Shell a coupé lundi les vannes d’un important oléoduc-gazoduc dans la région pétrolifère du Delta, dans le sud du Nigeria, en raison d’un incendie sur les conduits d’approvisionnements, a annoncé un porte-parole de la compagnie.
Le groupe armé « Niger Delta Greenland Justice Mandate » (NDGJM), récemment créé, a revendiqué mardi une nouvelle attaque, dans l’État du Delta, au sud du pays.
Les rebelles du groupe Niger Delta Greenland Justice Mandate (NDGJM) ont revendiqué dans un communiqué ce mardi 30 août le sabotage d’un oléoduc appartenant à la Compagnie nationale nigériane des hydrocarbures (NPDC).
Henry Okah, un ressortissant nigérian condamné en Afrique du Sud à 24 ans de prison pour avoir organisé une série d’attentats terroristes dans son pays natal, a fait appel mercredi devant la Cour Suprême.
Les Vengeurs du Delta du Niger (NDA) ont lancé un ultimatum jeudi à l’attention d’Abuja : le groupe armé indépendantiste a menacé de déclarer l’indépendance de cette région pétrolifère du Nigeria le 1er octobre prochain, date de la fête d’indépendance du Nigeria.
Des centaines de riverains ont envahi mercredi 10 août un parc de stockage pétrolier de la compagnie américaine Chevron pour réclamer de meilleures retombées économiques pour la communauté, provoquant l’évacuation par les airs d’une partie des salariés.
Depuis le début de l’année, les attaques contre les infrastructures pétrolières se sont multipliées dans le delta du Niger, dans le sud-est du Nigeria. Symptôme du regain de tension, l’émergence des Vengeurs du delta du Niger, un nouveau groupe rebelle, inquiète les autorités.
Des rebelles ont fait exploser dimanche un oléoduc appartenant au groupe anglo-néerlandais Shell dans le sud pétrolifère du Nigeria, a-t-on appris auprès de plusieurs habitants. L’acte n’a pas été revendiqué.
Dans le Delta du Niger, coeur de la production pétrolière du Nigeria, la population s’inquiète du déploiement d’une force spéciale de l’armée pour mater une nouvelle rébellion qui attaque plateformes et gazoducs.
Des rebelles ont revendiqué jeudi une nouvelle attaque contre des infrastructures pétrolières dans le sud du Nigeria, la troisième en moins d’une semaine.
Un oléoduc de la compagnie pétrolière nationale du Nigeria (NNPC) situé dans le sud du pays a explosé jeudi à quatre heures du matin. Les Vengeurs du delta du Niger ont revendiqué l’attaque, ce que réfute la police, selon laquelle il s’agirait d’un un accident.
Dans un communiqué publié lundi sur leur site, les rebelles auteurs de sabotages d’installations pétrolières dans le sud du Nigeria se sont dits prêts à certaines conditions à l’ouverture d’un dialogue avec le gouvernement tout en menaçant de s’attaquer à l’avenir aux personnes.
Les pourparlers de paix proposés par le gouvernement du Nigeria ont été rejetés ce mercredi par les Vengeurs du delta du Niger (NDA), dans un message sur leur compte Twitter.
Le vice-président nigérian Yemi Osinbajo a lancé jeudi la plus vaste opération de nettoyage jamais entreprise dans le Delta du Niger, région de production de pétrole et théâtre de violences, où le président Muhammadu Buhari a finalement renoncé à se rendre.
Sur Twitter, le groupe rebelle nigérian dénommé « Vengeurs du delta du Niger » (NDA) a revendiqué mercredi des attaques contre des installations du géant pétrolier américain Chevron au sud du pays, où se concentre la production d’or noir de la première économie africaine.
Le président nigérian, Muhammadu Buhari, a annoncé dimanche qu’il allait relancer le programme d’amnistie pour les militants du delta du Niger en vue de mettre un terme aux attaques qui frappent les infrastructures pétrolières et menacent la production d’or noir.
Une nouvelle installation pétrolière du géant américain Chevron a été attaquée par un groupe rebelle dans le delta du Niger, où se concentre la production d’or noir du Nigeria, a indiqué le 26 mai un expert en sécurité maritime.
Cinq policiers et trois soldats nigérians ont été tués cette semaine lors d’attaques dans des régions pétrolifères du sud du Nigeria, où des rebelles avaient déjà ciblé la semaine dernière une plateforme offshore du géant Chevron, ont indiqué mercredi 11 mai des responsables locaux.
Un rapport publié mardi par des organisations de défense des droits de l’Homme et de protection de l’environnement dénonce les « fausses affirmations » du géant pétrolier anglo-néerlandais Shell sur l’étendue de ses activités de dépollution dans le delta du Niger (sud du Nigeria).
Les forces de l’ordre nigérianes ont déclaré mardi que quatre policiers avaient été tués dans la région pétrolifère du Delta du Niger, dans le sud du pays. Six employés de la compagnie pétrolière Agip ont également été enlevés.
Amnesty International a accusé lundi le Nigeria et Shell de n’avoir pratiquement rien fait contre la pollution pétrolière dans l’Ogoniland, au cœur du delta du Niger, trois ans après un retentissant rapport de l’ONU.
C’est historique. Pour la première fois, la multinationale Shell a été condamnée, mercredi 30 janvier, à verser des indemnités à des pêcheurs nigérians du Delta du Niger. Ceux-ci accusaient la société anglo-néerlandaise d’avoir provoqué la pollution de leur environnement. Ils n’ont pourtant pas totalement obtenu gain de cause : pour le tribunal néerlandais, le pétrolier n’est pas responsable de la situation. Explications.