Sur fond de promotion du développement durable et de lutte contre le réchauffement climatique, l’Agence française de développement fête son anniversaire en doublant ses fonds propres.
La mondialisation (que les Anglo-Saxons appellent globalisation) est-elle une nouvelle révolution économique ? Elle a commencé il y a un quart de siècle, s’identifie avec le XXIe siècle, est en train de modifier les équilibres mondiaux, lentement mais sûrement.
La Caisse des dépôts (CDC) et l’Agence française de développement (AFD) vont créer un fonds commun doté de 500 millions d’euros pour financer des infrastructures en Afrique.
Après avoir démontré sa capacité de résilience politique suite aux événements d’octobre 2014, le Burkina Faso s’est doté d’un nouveau référentiel de développement à travers lequel seront fédérées toutes les interventions de l’Etat, des partenaires techniques et financiers, du secteur privé pour la période 2016-2020.
Au siège de Jeune Afrique, ce 25 octobre, on attendait avec un brin de curiosité le nouveau patron de l’Agence française de développement (AFD). Rémy Rioux, 47 ans, a hérité le 2 juin de l’AFD, de ses 8,3 milliards d’euros d’engagements annuels et de ses 2 100 salariés.
L’exécutif burkinabè espère mobiliser plus de 8,5 milliards d’euros de souscriptions pour le financement du Plan national de développement économique et social (PNDES), estimé à quelque 23,5 milliards d’euros (15 395 milliards de francs CFA), lors de la Conférence des bailleurs prévue à Paris les 7 et 8 décembre prochains, a déclaré lundi le Premier ministre Paul Kaba Thieba. Les deux tiers de ce plan seront financés par les investissements publics et privés burkinabè, avait déjà indiqué la ministre de l’Économie et des Finances, Rosine Sori-Coulibaly, le 8 juin dernier.
Paris, siège du Conseil national économique, social et environnemental (Cese), place d’Iéna, le 22 septembre. La Fondation AfricaFrance de l’ex-Premier ministre béninois et financier Lionel Zinsou organise les rencontres Africa 2016, destinées à promouvoir et à dynamiser les relations économiques entre Paris et le continent, mises à mal par la concurrence chinoise, indienne, turque, japonaise…
Le pape François a reçu lundi 29 août le jeune milliardaire fondateur de Facebook Mark Zuckerberg, ainsi que son épouse Priscilla Chan, pour discuter de la manière d’aider les plus pauvres, a annoncé le Vatican dans un communiqué.
Sur une colline aux abords de Dakar s’élève le Monument de la Renaissance Africaine, inauguré en 2010. Cette massive statue de bronze d’une cinquantaine de mètres représente un homme, une femme et un enfant, regardant vers la mer.
À l’occasion de la sixième Journée internationale des veuves, qui a lieu chaque année le 23 juin, Sylvia Bongo Ondimba et Jeannette Kagame, respectivement premières dames du Gabon et du Rwanda, mettent en garde contre la stigmatisation et les abus dont sont trop souvent l’objet les femmes ayant perdu leur époux.
Lors des assemblées générales annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) à Lusaka, le nouveau président de l’institution a affirmé son style. Et dévoilé ses cinq priorités pour le continent.
Élu en mai 2015 à la tête de la Banque africaine de développement, le Nigérian nourrit de grandes ambitions pour le continent. Ses priorités : l’énergie et l’agriculture.
Présidente d’honneur du courtier d’assurances Ascoma, Patricia Husson préside le Club des entrepreneurs monégasques en Afrique (Cema) depuis sa création, en mai 2014.
Le Club des entrepreneurs monégasques en Afrique compte 14 membres qui, réunis, affichent un chiffre d’affaires sur le continent de plus de 1,5 milliard d’euros. Portraits des cinq fondateurs du Cema et de quelques-uns des patrons qui les ont rejoints.
Crise des vocations, offre pédagogique mal adaptée … L’Afrique ne produit pas assez d’ingénieurs, au risque de ralentir son développement économique. Focus sur l’Institut national polytechnique Félix-Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro.
Vingt ans après la déclaration fondatrice de Barcelone, le secrétaire général de l’Union pour la Méditerranée fait le point sur un partenariat régional très ambitieux.
La démocratie fait-elle parfois obstacle au développement ? La question, volontairement polémique, était au centre des rencontres organisées par le mensuel anglophone du groupe « Jeune Afrique », le 20 novembre, à Accra.
En attendant la validation, le 9 décembre, du Programme national de développement (PND) pour la période 2016-2020, Alassane Ouattara met la pression sur ses équipes.
La réalisation des Objectifs de développement durable dépendra de l’éradication de la pauvreté dans les zones rurales des pays les moins avancés. Pour cela, il faudra aussi investir dans les activités rurales non-agricoles, indique un nouveau rapport de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED).
Organisé par l’institut Amadeus sous le haut patronage du roi Mohammed VI, le Forum du Sud, ou MEDays, est une véritable institution pour le dialogue Nord-Sud de haut niveau. La 8e édition de ces rencontres internationales se tient à Tanger, du 11 au 14 novembre.
Gilles Pison est directeur de recherche à l’Institut national d’études démographiques (Ined) à Paris et revient pour Jeune Afrique sur les avantages et les inconvénients que la croissance démographique du continent peuvent présenter.
Lors d’une rencontre en juin dernier au siège de SOS racisme à Paris autour de la question des migrants, un vieux sage, responsable d’une ancienne association de la diaspora africaine dans le quartier de la Goutte-d’Or ( XVIIIe arrondissement de Paris) fit part de son étonnement : au moment ou les Chinois, Américains, Français et autres se bagarrent dans leur ruée vers l’Afrique, des Africains veulent, eux, partir de leur continent.
La réalité sait se rappeler au souvenir de ceux qui l’ignorent. Nestlé a annoncé il y a peu la suppression de 15 % de ses effectifs dans 21 pays d’Afrique.