Le détail des contrats gaziers que Bassirou Diomaye Faye veut renégocier, les tensions entre Samuel Eto’o et les autorités camerounaises, l’arrivée du géant chinois Temu à Rabat… Notre Brief hebdomadaire sur les infos qu’il ne fallait pas manquer cette semaine.
Présent dans une soixantaine de pays, le géant chinois aux millions d’utilisateurs devra rivaliser avec des groupes bien implantés au sein du royaume, dont Jumia.
Très expérimentée, l’entrepreneure sénégalaise a vécu vingt-six ans aux États-Unis avant de retourner au Sénégal, en 2019, pour valoriser les produits africains auprès du marché américain.
La société espagnole, dont les boutiques sont de retour au Maroc, a étendu ses services de vente en ligne à 17 pays africains, dont certains représentent de nouveaux marchés.
La start-up ivoirienne Anka vient de réussir une levée de fonds de 5 millions d’euros. De quoi accélérer encore le développement du site Afrikrea qui veut contribuer à l’essor de l’exportation du « made in Africa » auprès des diasporas.
Ce qu’elle n’est pas parvenue à faire en zone Uemoa, la start-up kényane tente de le concrétiser au sein de la Communauté d’Afrique de l’Est, dont Kinshasa fait partie.
Déjà bien implantée au Sénégal, la marque a récemment ouvert un magasin à Abidjan et souhaite développer sa vente en ligne. Son design inspiré du continent séduit une clientèle d’affaires.
Depuis vingt ans, Strive Masiyiwa bâtit un empire du numérique qui n’a rien à envier aux géants américains ou chinois du web. Il doit désormais trouver comment monétiser les milliards de données captées par les différentes filiales de son groupe.
Plutôt que d’ouvrir dans de nouveaux pays, la plateforme panafricaine d’e-commerce table désormais sur des villes de 20 000 à 150 000 habitants. Une stratégie de rupture qui doit encore convaincre Wall Street, où la start-up est cotée.
Fintech, logistique, e-commerce… Sur quelles jeunes pousses du continent les principaux investisseurs misent-ils ? Au terme de notre enquête sur un écosystème aussi foisonnant qu’innovant, Jeune Afrique vous dévoile les noms de vingt entreprises à suivre absolument en 2023.
Secteur traditionnel des start-up africaines, le e-commerce figure en bonne place parmi nos 20 futurs champions de la tech, avec cinq représentants. Particularité de notre sélection : la majorité de ces jeunes pousses s’adresse au marché des professionnels.
Relations avec les entreprises chinoises et russes, tensions entre la France et le Maroc, inflation, financement des start-up… Le fondateur de la plateforme d’e-commerce marocaine invite les entrepreneurs du continent à envisager toutes les opportunités pour leur développement.
Fermeture de magasins à l’étranger et accent mis sur le marché intérieur… Toujours dans le top 10 de notre classement des 500 Champions africains, le plus grand détaillant du continent voit ses ventes bondir.
Parmi les dix plus importants tours de table réalisés en 2022 par les jeunes pousses du continent, sept ont atteint ou dépassé les 100 millions de dollars. Une première.
Naturalisé ivoirien et « très enraciné » à Abidjan, Francis Dufay, directeur général par intérim du groupe d’e-commerce met un point d’honneur à assainir Jumia et à rapprocher les activités de la plateforme du continent.
Sous la pression d’investisseurs, la plateforme d’e-commerce a acté le départ de ses deux fondateurs. Elle procède désormais à un recentrage sur le continent et sur son cœur de métier, en visant la rentabilité à tout prix.
Développement dans les pays africains francophones, concurrence avec le géant américain, inflation… Daniel Yu, fondateur de Wasoko, start-up valorisée à plus de 600 millions dollars, a répondu aux questions de Jeune Afrique depuis le Nigeria, dont il prospecte le marché.
L’opérateur télécoms et le fonds d’investissement du réseau mondial d’entrepreneurs intègrent le tour de table du champion marocain des centrales d’achat. Endeavor débloque 1 million de dollars dans cette transaction.
En quête de nouveaux leviers de croissance, le géant mondial de la tech créé par Jeff Bezos a décidé de lancer en 2023 sa plateforme d’e-commerce au Nigeria et en Afrique du Sud. Sur place, la concurrence peine à trouver l’équilibre.
Depuis deux ans, les plateformes de vente en ligne destinées aux professionnels ont éveillé l’intérêt des investisseurs, séduits par leur nouvelle lecture de ce que doit être l’e-commerce africain. Quant aux fintech, elles ne sont pas en reste et tentent également l’aventure.
Malgré les pertes qui s’accumulent depuis sa création en 2012, la première plateforme de e-commerce panafricaine de l’histoire demeure un modèle de résistance et inspire de nombreux jeunes entrepreneurs. Quelle est sa recette ?
Lancée il y a près de deux ans, la plateforme d’achat et de vente en ligne Wiikko a réussi à se faire une bonne place à Kinshasa en adaptant ses services aux particularités de la capitale congolaise.
Covid aidant, le commerce électronique a connu une nette progression en Tunisie, mais des législations obsolètes empêchent l’éclosion réelle de cette industrie.
Avec sa plateforme digitale au service des magasins de proximité, la centrale d’achats réussit à séduire de grands fonds d’investissement… et de plus en plus de petits commerçants.
La licorne africaine du e-commerce confirme une trajectoire solide. Confiants, ses fondateurs souhaitent la lancer en RDC, en Éthiopie et en Angola, trois marchés réputés difficiles.