À l’heure où la fièvre hémorragique Ebola sévit en République démocratique du Congo (RDC), une enquête révèle qu’une proportion élevée de Congolais doute de l’existence de la maladie.
L’épidémie de fièvre à virus Ebola, qui sévit dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a tué plus de 600 personnes depuis qu’elle a été déclarée le 1er août, a indiqué lundi le ministère congolais de la Santé.
Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a prévenu jeudi qu’en « finir » avec l’épidémie d’Ebola en République démocratique du Congo (RDC) prendrait encore six mois, mais a mis en garde contre une aggravation de l’insécurité.
L’ONG Médecins sans frontières impute cet échec à la militarisation de la réponse et au manque de confiance des communautés affectées, dans un communiqué, jeudi 7 mars.
Un nouveau malade du virus Ebola a été découvert à Beni après vingt-trois jours sans nouveau cas, remettant en cause l’optimisme des autorités qui estimaient mercredi avoir maîtrisé l’épidémie dans cette ville de l’est de la République démocratique du Congo, a-t-on appris samedi de source sanitaire.
Un risque de reprise de l’épidémie à Béni persiste en raison des déplacements fréquents vers des zones voisines affectées par la maladie à virus Ebola, a toutefois averti le ministère de la Santé.
L’épidémie de fièvre à virus Ebola a tué 502 personnes en six mois dans l’Est de la République démocratique du Congo, a indiqué le ministère de la Santé vendredi soir.
L’épidémie d’Ebola, qui sévit depuis le mois d’août dernier dans deux provinces de la RDC, a fait 443 morts, selon un dernier décompte des autorités sanitaires congolaises.
Zones géographiquement difficiles d’accès, augmentation des prix, problèmes de disponibilité et de conservation… Si la vaccination est un pilier historique de la lutte contre les maladies infectieuses, elle reste confrontée à de nombreux défis sur le continent.
Sept nouveaux cas de fièvre hémorragique ont été enregistrés dans l’est de la République démocratique du Congo où l’épidémie de la maladie à virus Ebola a déjà fait 222 morts depuis le début de l’épidémie, selon le ministère congolais de la Santé dans un bulletin publié jeudi 22 novembre.
L’armée congolaise et la force des Nations unies au Congo mènent depuis deux jours une opération militaire conjointe, avec des frappes aériennes, contre les rebelles ougandais du groupe armé ADF qui sème la terreur dans l’est de la République démocratique du Congo à l’approche des élections du 23 décembre.
L’Union européenne a alloué 7,2 millions d’euros supplémentaires afin d’intensifier la lutte contre le virus Ebola, qui a déjà fait au moins 153 morts depuis août en République démocratique du Congo.
L’épidémie d’Ebola qui sévit dans l’est de la République démocratique du Congo a atteint le cap des 200 cas, dont 125 morts, a annoncé vendredi l’OMS, inquiète de la persistance de l’insécurité dans la région.
Le virus Ebola en RDC ou le choléra en Algérie sont autant d’épidémies évitables sur le continent africain, selon le professeur Ali Benmakhlouf, pour qui les grandes inégalités de santé sont d’abord des inégalités d’accès à la prévention.
Les autorités sanitaires ont estimé samedi à Kinshasa que l’évolution de la maladie à virus Ebola était maîtrisée dans « l’épicentre », cinq semaines après la déclaration de l’épidémie qui a déjà fait 89 décès dans l’est de la République démocratique du Congo.
Le bilan de l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola est monté à 88 morts dans l’est de la République démocratique du Congo, où deux décès ont été enregistrés pour la première fois à Butembo, grand carrefour commercial d’environ un million d’habitants.
L’épidémie de fièvre hémorragique Ebola, qui sévit dans l’est de la République démocratique du Congo, a fait 55 morts selon les autorités. Le gouvernement a décrété la gratuité des soins pendant trois mois dans les zones touchées.
Avec 49 morts et plus de 2 000 personnes suivies, le bilan de l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola s’élève graduellement depuis 18 jours dans l’est de la République démocratique du Congo, fragilisé par la violence et les déplacements de population.
« Nous sommes entre le marteau et l’enclume ». Déjà sous la menace d’une multitude de groupes armés, les habitants de Mangina se retrouvent désormais en première ligne de la nouvelle épidémie de fièvre hémorragique Ebola qui frappe l’est de la RDC.
Confrontée à deux nouvelles flambées du virus, la RD Congo utilise un antidote élaboré lors de l’épidémie ouest-africaine. Et ceux qui l’ont reçu ont été épargnés.
Un nouveau décès parmi les cas confirmés de la maladie à virus Ebola a été enregistré dans la province du Nord-Kivu, portant à onze le nombre de morts parmi ces cas, a indiqué samedi le ministère de la Santé de la RD Congo.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a averti vendredi que les difficultés allaient être maximales pour enrayer la nouvelle épidémie d’Ebola en RDC, qui sévit dans le Nord-Kivu, une « zone de guerre » où les humanitaires ne se déplacent pas sans « escorte armée ».
Oly Ilunga, ministre congolais de la Santé, s’est rendu jeudi à Beni dans l’est de la RDC, touché par une nouvelle épidémie d’Ebola avec déjà 20 décès probables ces dernières semaines, a-t-on appris d’un responsable local.
Une nouvelle épidémie de fièvre Ebola s’est déclarée dans la province tourmentée du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo. Il s’agit de la dixième en RDC depuis l’apparition de cette maladie.
À peine libérée de sa neuvième épidémie d’Ebola, une « fièvre » suspecte a été identifiée dans l’est de la RDC, rapportent des sources sanitaires. Un médecin fait état de quinze morts, tandis que le ministère de la Santé n’évoque aucun décès.
En moins de trois mois, l’OMS et ses partenaires ont réussi à endiguer l’épidémie d’Ebola qui s’était déclarée début mai en République démocratique du Congo (RDC). Interview de son directeur général, Tedros Ghebreyesus.
Afin de lutter contre la menace du virus Ebola en RDC, qui fait face à une épidémie depuis début mai, le Japon a octroyé le 21 juin un montant de 700 000 dollars au Fonds des Nations unies pour l’enfance.
Le numéro deux de la puissante Église catholique congolaise s’est inquiété dimanche d’un possible « pic de nouveaux cas » de fièvre Ebola dans l’épidémie qui touche le nord-ouest de la République démocratique du Congo.
La panique s’est emparée de la population de Wangata, ville du nord-ouest de la RDC où un cas d’Ebola a été confirmé jeudi par les autorités. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a parlé d’une « situation très préoccupante » jeudi.