Décembre 2013. Dans un village de la Guinée rurale, un enfant joue dans son jardin. Il tombe malade, et décède quelques jours plus tard. Cet enfant est la première personne à avoir contracté le virus Ebola. C’est le début d’une épidémie sans précédent. 28 000 personnes contaminées dans 10 pays, 11 000 morts.
La Côte d’Ivoire a annoncé jeudi la réouverture officielle de ses frontières terrestres avec la Guinée et le Liberia, fermées il y a deux ans, en raison de l’épidémie d’Ebola qui sévissait chez ses deux voisins.
Les guérisseurs traditionnels disent ne pas avoir bénéficié des fonds de l’OMS visant à les former à la lutte contre Ebola. L’affaire est devant la justice.
Après le Liberia et le Maroc fin juin, la première dame des États-Unis terminera son périple en Espagne, où elle prononcera un discours sur le thème « Let Girls Learn » (« Laissons les filles apprendre ») avant de s’entretenir avec la reine Letizia, a annoncé la Maison Blanche mercredi.
C’en est terminé de d’Ebola au Liberia. Le ministère libérien de la Santé a déclaré jeudi que la dernière résurgence de la maladie était terminée, dans l’ultime territoire touché par l’épidémie ravageuse en Afrique de l’Ouest.
L’épisode d’Ebola en Guinée est terminé, ont annoncé (pour la deuxième fois) mercredi des responsables guinéen et de l’OMS, qui préviennent cependant de la possibilité d’une « résurgence » de la maladie.
Réélu au premier tour de la présidentielle en octobre 2015, Alpha Condé n’a connu depuis aucun répit. Après deux années de crise sanitaire, la situation économique et sociale est tendue. Comment va-t-il y répondre ?
Une malade d’Ebola est décédée dimanche en Guinée, portant à huit le nombre de morts sur neuf cas recensés depuis la réapparition du virus dans le pays, a annoncé mardi la Coordination nationale de lutte contre l’épidémie.
La nouvelle victime d’Ebola au Liberia, une femme âgée d’une trentaine d’années, décédée la semaine dernière après avoir été admise dans un hôpital de Monrovia, était originaire de Guinée, a-t-on appris dimanche auprès du ministère de la Santé.
Si le virus Ebola responsable de la mort de plus de 11 300 personnes a clairement faibli et n’est plus considéré comme une « urgence de santé publique » mondiale, il n’a pas totalement disparu d’Afrique de l’Ouest.
Cinq morts ont été recensés depuis la réapparition du virus en Guinée, a annoncé mardi un porte-parole de la Coordination nationale de lutte contre Ebola. Le Liberia a annoncé avoir fermé ses frontières avec le pays.
La dernière patiente connue atteinte d’Ebola en Sierra Leone, la tante d’une jeune femme décédée du virus au mois de janvier, est officiellement guérie, ont annoncé mardi les autorités sanitaires.
Quelques heures après que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé la fin de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, un nouveau cas a été confirmé en Sierra Leone. « Une coïncidence malheureuse », a expliqué à Jeune Afrique Andrea Bussotti, porte-parole de Médecins sans frontières (MSF).
L’organisation mondiale de la santé (OMS) a confirmé les craintes : un nouveau cas d’Ebola a bien été détecté en Sierra Leone, quelques heures après que l’OMS a annoncé la fin de la transmission d’Ebola au Liberia.
Quelques heures après la proclamation officielle de la fin de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, la Sierra Leone a annoncé enquêter sur un décès suspect après un prélèvement positif dans le nord du pays jeudi 14 janvier.
Alors que l’Organisation mondiale de la santé a annoncé jeudi la fin de la crise d’Ebola en Afrique de l’Ouest, Jeune Afrique a réalisé un bilan chiffré de l’épidémie la plus grave depuis l’identification du virus il y a 40 ans.
Un antipaludéen a nettement réduit la mortalité chez les patients atteints d’Ebola, révèle une étude menée dans un centre de traitement de l’ONG Médecins sans Frontière (MSF) au Liberia en 2014 dont les résultats ont été publiés mercredi aux Etats-Unis.
Deux ans après la mort de la première personne atteinte d’Ebola en Afrique de l’Ouest, un bébé d’un an, la Guinée est désormais considérée comme officiellement débarrassée de l’épidémie.
Catastrophes naturelles, dépendance économique, faiblesse de l’État… Votre pays est-il capable de répondre aux menaces ? C’est une des questions à laquelle a tenté de répondre le Fonds des Nations unies pour la population, dans un rapport rendu public jeudi. Le point en infographies.
À l’issue de l’Atelier scientifique international de Conakry, consacré aux maladies hémorragiques virales, les participants ont appelé dimanche la communauté scientifique mondiale à aider la Guinée dans la production d’un vaccin anti-Ebola d’ici la fin du premier trimestre 2016.
Lors d’un Atelier scientifique international sur les vaccins contre les fièvres hémorragiques et autres épidémies ouverts ce vendredi, la Guinée a réaffirmé ses ambitions en matière de production de vaccins. Un objectif qui nécessitera un transfert d’expériences en matière de recherche médicale.
Un nouveau cas d’Ebola a été confirmé au Liberia qui était jusque-là déclaré exempt de contagion, a annoncé un porte-parole de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) vendredi.
Si aucun cas n’est signalé d’ici fin décembre, la fin de l’épidémie pourra être déclarée en Guinée et peut-être en Afrique de l’Ouest, ont informé l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et Médecins sans Frontières (MSF).
Par crainte d’Ebola, l’interdiction de la viande de brousse est en vigueur depuis avril 2014 en Côte d’Ivoire. Mais elle est de moins en moins respectée, et les aficionados sont prêt à risquer cinq ans de prison pour déguster leur plat préféré…
La France va consacrer 174 millions d’euros à la Guinée. L’aide au renforcement du système de santé après l’épidémie du virus Ebola en Afrique de l’Ouest figure parmi les objectifs fixés, a-t-on appris jeudi soir de source officielle.
Les dernières statistiques de l’Unesco rappellent que l’Afrique ne produit que 1% des connaissances scientifiques mondiales. Les chercheurs formés sur le continent sont rares et cherchent plutôt… refuge dans des contrées qui consacrent, à la recherche, des budgets conséquents.
Le virus Ebola pourrait rester présent dans le sperme de certains survivants de l’épidémie pendant au moins neuf mois. C’est ce que démontre une recherche publiée mercredi 14 octobre, qui souligne donc la nécessité d’un plus long suivi médical.