Le financement de 200 millions d’euros accordé à la Côte d’Ivoire par l’Union Européenne a notamment pour objectif de diminuer le poids des énergies fossiles, dont le gaz, dans le mix énergétique du pays.
Désormais alimentés à l’énergie solaire, les mini-grids éclairent les villages les plus reculés. Un marché dominé par de grands groupes, seuls capables de répondre à leurs défis techniques et financiers.
Le capital-investisseur Actis et le groupe d’énergies renouvelables Mainstream lancent Lekela Power, une plateforme dédiée au solaire et à l’éolien en Afrique.
La troisième session de la Conférence ministérielle africaine sur la météorologie (Amcomet) s’est achevée samedi 14 février à Praia, au Cap-Vert. L’occasion de revenir sur la nécessité, pour les États africains, d’investir dans la recherche pour anticiper des phénomènes ayant de grands impacts sur les peuples et les économies du continent.
Makhtar Diop est le vice-président de la Banque mondiale pour la Région Afrique. Dans cette tribune, l’économiste sénégalais rappelle l’urgence d’investir dans le développement des énergies renouvelables et dans le potentiel du continent africain en matière d’énergie. Puissent les leaders africains et internationaux réunis à Washington pour le sommet US-Africa entendre son appel.
La Société financière internationale (IFC), organisme de la Banque mondiale dédié au secteur privé, va investir 100 millions de dollars dans la société ACWA Power, qui développe des projets d’énergie solaire et thermique au Maghreb et au Moyen-Orient.
Le groupe chinois Hanergy a annoncé un projet d’investissement de 500 millions de dollars pour l’implantation d’une centrale de production d’énergie solaire et d’une usine de production de panneaux photovoltaïques à Abidjan. Ce serait la première implantation du producteur d’électricité chinois en Afrique.
L’institution américaine de développement Overseas Private Investment Corporation (Opic), qui a injecté un milliard de dollars en 2012 en Afrique, se concentre sur les infrastructures, en particulier dans le secteur électrique. Entretien avec sa PDG, Elizabeth Littlefield.
Au premier semestre 2012, la Banque africaine de développement (BAD) a prêté quelques 800 millions de dollars au Maroc pour aider le pays à mener à bien son ambitieux plan d’investissement dans les énergies renouvelables.
Réuni à Tunis le 16 mai, le directoire de la Banque africaine de développement a débloqué près de 250 millions d’euros pour le financement de la centrale solaire de Ouarzazate.
Nécessaires l’économie comme à la lutte contre le réchauffement climatique, les énergies renouvelables ont un avenir en Afrique, mais leur développement coûte cher. C’est pourquoi la Banque africaine de développement (BAD) en appelle à la création d’un fonds de financement spécifique au continent. Explications avec Hela Cheikhrouhou, Directrice du département Énergie, environnement et changement climatique de la BAD.
Près de 3 000 emplois liés à l’environnement devraient être créés chaque année d’ici à 2020. Face à ce nouveau marché, les grandes écoles et les universités développent leur offre.
Surnommé « Monsieur Énergies renouvelables », Saïd Mouline est le président de la commission développement durable de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM).
Le siège de l’Irena, la première organisation mondiale dédiée aux énergies renouvelables, sera situé à Abou Dhabi, aux Emirats Arabes Unis. C’est la française Hélène Pelosse qui dirigera cet Institut, voué à faire prévaloir les nouvelles énergies sur les énergies fossiles.
Les petites et moyennes entreprises françaises, déjà très présentes en Algérie, se lancent maintenant dans le secteur des énergies renouvelables qu’elles jugent prometteur.