Emmanuel Adebayor a réglé mardi soir ses comptes avec plusieurs membres de sa famille, sur Facebook. Un déballage 2.0 destiné à « servir de leçon » aux familles africaines, avance l’international togolais. Florilège.
Depuis mardi, plusieurs réseaux sociaux, dont WhatsApp et Twitter, ont été coupés sur les téléphones portables à Bujumbura, théâtre depuis dimanche de manifestations contre un troisième mandat du président Pierre Nkurunziza.
Que deviendra votre profil Facebook lorsque vous serez mort ? Il est désormais temps de vous poser la question. Plusieurs options vont bientôt s’offrir à vous.
Dans un continent encore peu connecté, le réseau social mondial multiplie les initiatives : accès gratuit, applications adaptées, drones… Jusqu’où ira Mark Zuckerberg pour y imprimer sa marque ?
Chaque mois, quelque 100 millions d’utilisateurs se connectent à Facebook, selon les derniers chiffres publiés par la firme lundi. Et si le continent est encore loin derrière l’Asie, l’Europe et l’Amérique du Nord, il est porteur d’avenir en ce qui concerne la technologie mobile, qui représentent plus de 80% des connexions mensuelles.
Facebook a lancé jeudi l’application mobile Internet.org destinée à offrir un accès gratuit à quelques services de base sur internet. Pour l’instant, elle n’est accessible qu’en Zambie.
Pour la énième fois, la ministre de la Justice française, Christiane Taubira, a été comparée à un singe. Non par une adolescente écervelée mais par une élue municipale UMP de la ville de La Grande-Motte, près de Montpellier.
Selon un site internet spécialisé en nouvelles technologies, Facebook est sur le point d’investir dans la technologie des drones. Son objectif : étendre la connexion internet aux populations n’y ayant pas encore accès.
L’Afrique est un formidable relais de croissance pour Facebook. Mais le géant américain des réseaux sociaux doit s’ adapter à la demande d’accès à internet via les téléphones mobiles et faire face à la concurrence de plus en plus forte de nouvelles plateformes locales.
Facebook fête ses dix ans d’existence le 4 février avec un bilan flatteur de 1,12 milliard d’utilisateurs dans le monde. Mais alors que sa formidable croissance semble sur le point de ralentir, l’entreprise de Mark Zuckerberg cherche des relais en Afrique, qui reste l’un de ses marchés les plus prometteurs.
Les autorités africaines ont-elles les yeux rivés sur Facebook ? À en croire le réseau social, qui a publié, mardi 27 août, le nombre de demandes d’informations faites par les gouvernements au premier semestre 2013, elles n’ont pas encore jugé prioritaires de tenter de récupérer les données personnelles de leurs utilisateurs. Seuls cinq pays du continent en ont fait la requête. Et aucun n’a obtenu gain de cause.
Utiliser Facebook pour faire la promotion de l’Afrique ? Si le continent n’en est encore qu’à ses débuts sur le réseau social, il pourrait y trouver rapidement un intérêt considérable, notamment pour le tourisme. De l’Algérie à l’Afrique du Sud, en passant par la Côte d’Ivoire et l’Érythrée, « Jeune Afrique » fait le point en dévoilant le palmarès des 65 villes africaines les plus « likées » à ce jour.
Les rebelles du M23 ont bien compris qu’en 2012 toute bataille sur le terrain se menait également sur la Toile. Possédant déjà un site internet, les hommes de Sultani Makenga ont désormais investi le réseau social Facebook pour communiquer. Alors que le nombre de leurs abonnés a presque triplé depuis la prise de Goma, dans le camp adverse des voix s’élèvent pour demander à l’équipe de Mark Zuckerberg de supprimer la page du M23.
Dans la ville de Goma, un nouveau réseau social se déploie. Kongo Connect est un site communautaire construit avec les moyens du bord par un jeune Congolais de 25 ans, Zacharie Kambale Mayani. Avec pour modèle l’incontournable Facebook.
Les relations entre internautes maghrébins sont au beau fixe. C’est en tout cas ce que révèle une carte interactive développée par Mia Newman, chercheuse diplômée de l’Université américaine de Stanford, qui met en exergue les cinq nations « meilleures amies » de chaque pays sur Facebook.
Parmi les quelque 800 millions d’utilisateurs du réseau social Facebook se cachent aussi nombre d’escrocs du web. Actifs – entre autres – sur les sites de rencontre en ligne, les « brouteurs » ont trouvé un terrain de chasse mondial, car mal contrôlé. Notamment en Afrique.
Armes redoutables de la révolution tunisienne, les réseaux sociaux et Facebook en particulier se sont démocratisés et transformés progressivement en outil de diffamation, selon de nombreux cyberactivistes de la première heure. La fiabilité de l’information est désormais un enjeu démocratique majeur pour des Tunisiens toujours méfiants envers les médias traditionnels.
C’est un symbole important : l’arabe devrait prochainement devenir la langue la plus utilisée à l’échelle mondiale sur Facebook, le célèbre réseau social américain. L’effet d’une actualité printanière propice au développement de l’internet 2.0.
Sans se voir ni se rencontrer, des Palestiniens et des Israéliens commencent à échanger sur le net via Facebook. Créée il y a un peu plus d’un mois, et portée au grand jour par un article du « New-York Times » daté du 9 juillet, la page « Yala-Young Leaders » ambitionne de devenir un espace de travail et d’échanges qui obligerait les politiques à choisir la voie de la paix.
Pour déjouer la surveillance policière, les jeunes internautes arabes communiquent parfois au moyen d’un langage codé composé d’une suite de lettres latines et de chiffres. Ingénieux.
Plusieurs appels à manifester pour la journée de jeudi 17 février contre le « Guide » libyen Mouammar Kadhafi ont été lancés sur Facebook. Inquiet, cerné par deux révolutions – l’une en Tunisie et l’autre en Égypte -, le régime tente de discréditer la mobilisation en maniant la carotte et le bâton.
Le responsable de la sécurité de Facebook, Joe Sullivan, a détaillé le combat que ses équipes ont mené contre la tentative des autorités tunisiennes de récupérer l’ensemble des mots de passe des utilisateurs du réseau social en Tunisie, dans les jours qui ont précédé la chute de Ben Ali. Explications.
Excédée par le suicide de deux jeunes diplômés au chômage à Sidi Bouzid, la jeunesse se déploie sur les réseaux sociaux pour faire entendre son mécontentement. Au grand dam des autorités tunisiennes.
Lancé en 2005, le réseau social Mxit a trouvé son public : 28 millions d’abonnés reliés grâce au téléphone portable. Encore dépendante de la publicité, la start-up veut diversifier ses revenus et s’ouvrir à de nouveaux marchés.
Avec plus d’un Tunisien sur dix connecté à Facebook, le réseau social américain connaît un succès sans équivalent sur le continent. Le site, qui tire parti des spécificités de la Toile tunisienne, a créé un espace de liberté plébiscité par la jeunesse.