Pour financer son développement de façon autonome, le continent doit revoir ses politiques de prélèvements. Particuliers, entreprises et multinationales sont dans le collimateur pour remplir les caisses des États.
Jacques Attali s’est défendu au procès de l’Angolagate, d’avoir usé de son influence pour permettre à la société de Pierre Falcone et Arcadi Gaydamak d’échapper en 1999 à un redressement d’impôts de plus de deux milliards de FF, « le plus gros de l’histoire fiscale française ».
Dans Jeune Afrique n°2454, Ecofinance s’est fait l’écho du rapport 2008 du Conseil des investisseurs français en Afrique (Cian), qui classe la Côte d’Ivoire parmi les pays où les entreprises subissent jusqu’à quatre contrôles fiscaux par an. Cet article a
En dépit des procès et des opérations coup de poing, les entreprises – et l’État – souffrent de plus en plus du commerce illicite de produits fabriqués en Chine et au Nigeria.