C’est l’histoire d’un pays, indépendant depuis tout juste quarante ans. C’est également l’histoire d’un homme, José Eduardo dos Santos, au pouvoir depuis presque aussi longtemps, mais auquel la communauté internationale se garde bien de faire des remontrances.
Batista, immigré angolais, dit être né en 1996. Arrivé en France en 2012, il a bénéficié, en tant que mineur et durant deux ans, de l’aide sociale à l’enfance. Avant que l’administration ne change d’avis, sur la base de tests osseux à la fiabilité controversée, et bouleverse sa vie. Témoignage.
Jeudi 17 octobre, les Angolais détenaient toujours 57 militaires congolais après un malentendu consécutif à une opération de bornage de la frontière dans la région de Niari, dans le sud du Congo. Ceux-ci devraient être libérés vendredi. Explications.
Les rebelles du Flec ont proposé une trêve et l’ouverture de pourparlers de paix, début avril, mais n’ont reçu aucune réponse des autorités angolaises.
Le 9 juillet, le Sud-Soudan accédait à l’indépendance et devenait le 193ème État indépendant de la planète. Sa sécession pourrait faire jurisprudence. Quel pourrait-être son successeur ? L’Afrique a ses prétendants.
L’attaque meurtrière du bus des Éperviers du Togo lors de la CAN 2010 a fait l’objet d’une nouvelle décision de la justice française. Au détriment de Rodrigues Mingas du Flec/MP qui vient d’être mise en examen dans cette affaire.
L’exclusion du Togo des deux prochaines CAN a été prononcée par la Confédération africaine de football, le 30 janvier. Interview du ministre togolais des Sports, lequel fait part de son « indignation totale » envers cette décision très décriée.
La compétition tant attendue a débuté dans le sang et les larmes : deux morts, un blessé grave, et des joueurs togolais traumatisés. J.A. répond aux questions soulevées par cet attentat et évalue les responsabilités.
Ce vendredi 15 janvier à Lomé, le Togo a rendu un hommage solennel à Abalo Amélété et Stanislas Ocloo, les deux membres de la délégation togolaise tués une semaine auparavant en Angola dans l’attaque du bus de l’équipe nationale du Togo par le FLEC (Front de libération de l’enclave de Cabinda).
Le capitaine de l’équipe togolaise de football est très remonté contre la Confédération africaine de football (CAF). L’attaquant de Manchester City accuse l’instance de laxisme et de « manque de respect » envers les Eperviers après la fusillade meurtrière du vendredi 8 janvier au Cabinda, province angolaise où le Onze devait disputer un match pour la CAN.
Les autorités angolaises ont arrêté deux personnes suspectées d’avoir participé à la fusillade du vendredi 8 janvier, au Nord de l’Angola, contre l’équipe nationale de football togolaise. Le gardien de but Kodjovi Obilalé, l’un des neuf blessés, a été opéré samedi à Johannesburg (Afrique du Sud) et poursuit sa convalescence normalement.
Le président angolais José Eduardo Dos Santos a ouvert dimanche soir à Luanda la Coupe d’Afrique des nations de football (CAN-2010), en dépit de menaces de nouvelles actions des séparatistes de l’enclave de Cabinda après une attaque meurtrière contre l’équipe du Togo.
C’est officiel: le Togo a officiellement quitté la Coupe d’Afrique des nations (CAN) après que le car de l’équipe nationale a été mitraillé dans le Nord de l’Angola, le vendredi 8 janvier. Le drame n’a cependant pas affecté le déroulement de la compétition qui a commencé ce dimanche 10 janvier par le match Angola-Mali (4-4). Retour sur un week-end traumatisant pour les Eperviers.
Volte-face des footballeurs togolais. Ils décident de participer à la Coupe d’Afrique des nations qui s’ouvre ce dimanche en Angola, après avoir déclaré forfait suite au mitraillage de leur équipe par les rebelles de l’enclave du Cabinda. Alors que Lomé insiste pour le retour de ses joueurs, les indépendantistes du Flec menacent de mener de nouvelles attaques.
L’organisation pour les droits de l’Homme Human Rights Watch a demandé instamment aux autorités militaires du Cabinda, une enclave angolaise, de stopper leurs actes de torture et de d’emprisonnement abusif sur des présumés responsables de mouvements séparatistes.
Quatre ans après son élection, le pape a choisi le Cameroun et l’Angola pour son premier voyage sur le continent, du 17 au 23 mars. Mais il aura bien du mal à faire oublier son prédécesseur, Jean-Paul II, auprès des fidèles. Qui, non sans raison, s’estiment laissés-pour-compte par le Vatican.
Vendredi 22 février 2002. Depuis l’aube, la 20e brigade de l’armée angolaise, conduite par le général Simão Carlitos Wala, traque trois colonnes de combattants de l’Union pour l’indépendance totale de l’Angola (Unita), le mouvement rebelle de Jonas Savimbi.
Cette enclave de 300 000 habitants qui produit près du tiers du pétrole angolais vit depuis trente ans tiraillée entre forces gouvernementales et maquisards indépendantistes. Loin des regards de la communauté internationale.