Détenu depuis 18 mois, Kamel Eddine Fekhar, militant des droits de l’Homme et opposant au régime algérien, dénonce un « acharnement ». Il se dit prêt à mener sa grève de la faim jusqu’au bout.
Le gouvernement algérien a chargé, mercredi, l’armée et la justice de mettre fin aux violences entre Arabes et Berbères dans la région de Ghardaïa, dans le sud de l’Algérie. Le Premier ministre s’y est rendu hier.
De nouvelles violences enflamment le Mzab depuis dimanche. Les affrontements entre communautés ont fait 19 morts dans la matinée du 8 juillet, dans la localité de Guerrara.
Pour les militaires français, qui le traquent depuis deux ans, il est l’homme à abattre. Pleins feux sur le doyen – et le plus insaisissable – des jihadistes algériens.
Des centaines de policiers ont organisé mardi 14 octobre une marche le long de l’autoroute menant du quartier de Bab-Ezzouar, à Alger centre, après un mouvement similaire de leurs collègues la veille à Ghardaïa, dans le Sud. La mobilisation se poursuivait mercredi matin.
One, two, three ! Ce sont les principaux artisans de la qualification historique de l’Algérie pour les huitièmes de finale du Mondial 2014 au Brésil. Avec Islam Slimani, Yacine Brahimi et Sofiane Feghouli, les Verts dispose d’une des meilleures attaques du continent. Les Allemands sont prévenus.
La justice algérienne a condamné mardi à deux ans de prison ferme un homme accusé d’avoir filmé et diffusé la vidéo de policiers en train de voler lors des récents heurts communautaires à Ghardaïa (sud).
La moindre dispute dégénère en affrontements intercommunautaires. Une blague sur les Chaouis provoque un tollé. À l’évidence, la cohésion nationale ne traverse pas une bonne passe en Algérie, à la veille de la présidentielle.
Depuis décembre 2013, dans la grande cité du Mzab, Ghardaïa, les heurts sanglants se multiplient entre Berbères et Arabes. Voyage dans la vallée de la peur.
Les heurts entre jeunes arabes et berbères ont repris depuis samedi soir à Ghardaïa, dans le sud algérien. En deux jours, trente-cinq personnes, dont dix-sept policiers, ont été blessées.
Depuis plusieurs jours, de violents heurts ont lieu à Ghardaïa entre jeunes arabes et berbères. 10 000 gendarmes ont été dépêchés mercredi dans les principales artères de cette cité de 400 000 habitants située à 600 km au sud d’Alger.
Le Premier ministre algérien par intérim, Youcef Yousfi, tout juste nommé, s’est rendu dimanche dans la ville de Ghardaïa, à 600km au sud d’Alger, après des heurts communautaires qui ont fait trois morts et plus d’une centaine de blessés.
Partisans et adversaires d’un 4e mandat du président Bouteflika se sont rassemblés en nombre samedi en Algérie, où des affrontements intercommunautaires faisant de nombreux blessés se poursuivent dans le sud.
Ghardaïa, situé à 600 km au sud d’Alger, a été le théâtre de nouveaux affrontements mercredi soir entre des jeunes chaâmbis (arabes) et ceux de la minorité mozabite (Berbères).
Après les affrontements intercommunautaires ayant fait plusieurs dizaines de blessés la semaine dernière dans la région de Ghardaïa (Sud), le président algérien Abdelaziz Bouteflika a appelé, lundi, à faire prévaloir les valeurs de tolérance et de dialogue.
L’émir d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) Necib Tayeb, un des proches d’Abdelmalek Droukdel – le chef du mouvement djihadiste au Maghreb -, a été intercepté dans le sud de l’Algérie, le 15 août, alors qu’il se dirigeait vers le Sahel pour une mission de première importance.
Quelques jours avant les élections législatives, durant la campagne électorale, les habitants du Sud de l’Algérie ont surtout exprimé leurs frustrations vis-à-vis du pouvoir central. Un mal de vivre indolent, presque discret, mais ce calme est trompeur. Reportage.
Le quartier de Diar Echems, dans les faubourgs de la capitale, a connu une poussée de fièvre similaire à celles qui sévissent sporadiquement à travers le pays. À l’origine de ces explosions de violence : misère et frustration.
Depuis plus d’un an, la vallée du Mzab est régulièrement le théâtre d’affrontements intercommunautaires entre berbérophones et arabophones. Une rivalité aux multiples facettes qui plonge ses racines dans l’histoire lointaine.