Ce touareg est l’un des plus hauts cadres du principal groupe terroriste qui sévit dans le nord du Mali. Il s’est, au fil des années, imposé comme l’un des proches d’Iyad Ag Ghaly. Pourrait-il un jour lui succéder ?
Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans a revendiqué l’attaque d’un checkpoint militaire à moins de dix kilomètres au sud de la capitale nigérienne.
Sept marchés à bétail bamakois doivent fermer leurs portes sur ordre du gouvernorat. Un coup porté à la communauté peule, principale concernée, qui pourrait avoir d’importantes conséquences pour la population de la capitale malienne.
L’attaque de Manni survient au lendemain d’une longue prise de parole du capitaine Ibrahim Traoré qui a répondu aux questions d’auditeurs sur la radio publique. Il a notamment annoncé qu’une enquête était en cours sur l’attaque de Barsalogho, qui a endeuillé le pays fin août.
Après des déconvenues sur le continent en matière de communication et la perte de combattants de l’Africa Corps au Mali, c’est par un don de vivres et de médicaments que Moscou manifeste son soutien à la lutte contre les jihadistes sahéliens.
La double attaque à Bamako, menée par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, ou JNIM), vient confirmer de manière aussi meurtrière que spectaculaire l’extension de la zone d’action du groupe jihadiste dans l’ensemble du Sahel. Décryptage en infographies.
La capitale malienne a été la cible de deux attaques simultanées, le 17 septembre. Retour en vidéo sur ce double attentat d’une ampleur inédite, revendiqué par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans.
La capitale malienne s’est réveillée au son des coups de feu ce mardi matin. Au moins deux attaques, revendiquées par le JNIM, branche locale d’Al-Qaïda, ont ciblé des points stratégiques. Récit d’une journée qui a ébranlé l’appareil sécuritaire malien.
À seulement 41 ans, l’ancien journaliste est devenu l’une des figures civiles du régime. Propulsé à la tête du ministère de la Communication après le coup d’État d’Ibrahim Traoré, il multiplie depuis près de deux ans les décisions jugées liberticides pour la presse.
Ce samedi 24 août, près de 300 personnes ont été tuées alors qu’elles étaient en train de creuser une tranchée censée protéger la ville. Retour sur le déroulé de cette attaque jihadiste dont le bilan continue d’évoluer mais qui s’annonce d’ores et déjà comme la plus sanglante jamais perpétrée au Burkina Faso.
La défaite de Wagner à la bataille de Tinzawaten a mis en évidence la promiscuité entre les indépendantistes touaregs et les jihadistes du JNIM liés à Al-Qaïda. Ces groupes entretiennent une relation tumultueuse et concurrentielle.
Un convoi de véhicules militaires qui ravitaillait Diapaga, dans l’est du pays, a été attaqué le 8 août. Si le gouvernement n’a pas communiqué à ce sujet, les pertes dépasseraient la centaine de morts.
Les membres du CSP-DPA affirment avoir anéanti des colonnes des Forces armées maliennes (Fama) et de leurs alliés russes à Tinzaouatene. Le bilan reste incertain.
Les affrontements opposant l’armée malienne et ses alliés russes à des groupes rebelles ont repris ce 27 juillet dans la région de Kidal, près de la frontière avec l’Algérie.
Pris en étau entre les attaques terroristes contre ses installations et la fermeture de son pipeline par le Bénin, puis le Niger, le groupe chinois ferme son site « jusqu’à ce que la situation s’améliore ».
Selon des sources concordantes, l’attaque du détachement militaire de cette petite localité du nord-est du pays, le 11 juin, a coûté la vie à une centaine de soldats.
Nommé chef d’état-major des Forces armées togolaises (FAT), le général Dimini Allahare aura pour mission de contenir la menace jihadiste dans le nord du pays et de poursuivre la modernisation de l’appareil militaire.
Les rumeurs de rapprochement entre les séparatistes du Nord et le groupe jihadiste d’Iyad Ag Ghali ont été relancées, mi-mai, à la suite d’un enregistrement faisant état de « discussions » entre les deux groupes.
Entre le président de la transition malienne et le chef d’État mauritanien, les tensions n’ont jamais été aussi fortes. Peuvent-ils éviter que la situation ne s’envenime davantage ?
Défaits militairement, chassés de leur fief historique de Kidal, les cadres de la rébellion touarègue assurent n’avoir opéré qu’un repli stratégique et être toujours prêts à en découdre avec les forces armées maliennes.
La vague de « fulanophobie » qui balaie le Sahel, où les populations peules représentent plus de la moitié des civils tués par l’armée et les milices au Niger et au Burkina Faso, risque-t-elle de s’étendre ? L’analyse de François Soudan, au micro de RFI.
En une semaine, au moins quatre assauts jihadistes ont visé des détachements militaires. Dans son discours de fin d’année, le président de transition Ibrahim Traoré a annoncé la création d’une « brigade spéciale d’intervention rapide ».
Près de deux ans et demi après sa dernière prise de parole, le chef jihadiste le plus recherché du Sahel annonce une « nouvelle étape » dans son combat contre les autorités locales.
Confronté à la menace venue du Burkina Faso, le président togolais tente de verrouiller sa frontière nord. Avec pour le moment un succès relatif, en dépit des pertes récemment annoncées, et dans la plus grande discrétion.
Le JNIM a lancé dimanche un assaut massif contre le camp militaire de Djibo. Bien que les autorités n’aient fourni aucun bilan, au moins 22 soldats, une cinquantaine de jihadistes et de nombreux civils ont été tués.
Des femmes et des enfants font partie des victimes de ce massacre perpétré dans ce village du Centre-Nord. L’identité de ses auteurs reste, pour le moment, encore floue.
L’armée malienne a accusé la mission des Nations unies pour la stabilisation du pays d’avoir compromis la sécurité dans la localité d’Aguelhok en quittant de manière « précipitée » son camp sans attendre de le transférer aux autorités.
Acteur central de la rébellion indépendantiste de 2012, le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) fait partie des groupes armés qui ont repris les armes contre Bamako. Jeune Afrique a rencontré son chef, Bilal Ag Acherif.