Portée par le phénomène ChatGPT, l’IA est désormais un concept connu de tous. Au Maghreb, de nombreuses initiatives ont été lancées pour ne pas rester à l’écart de cette nouvelle révolution technologique. Mais beaucoup reste à faire.
Si les applications de santé numérique explosent partout dans le monde, pour l’experte en santé numérique Laure Beyala, l’Afrique doit développer massivement des systèmes intégrant les techniques de l’intelligence artificielle pour améliorer de façon significative les soins, et apporter des réponses efficaces à certaines maladies difficiles et rares.
Les tentatives de reconstitution de la Carthage punique au moyen de l’intelligence artificielle se multiplient et sont très populaires, autant que contestables. Entre la probable réouverture du musée du Bardo et la réhabilitation du pôle muséographique de l’ancienne cité phénicienne, l’Antiquité est tendance.
Le milliardaire, né à Pretoria, crée sa propre start-up dans l’intelligence artificielle baptisée X.AI. Il envisage de recruter des ingénieurs et d’attirer des investisseurs pour développer un grand modèle linguistique.
Quelle vision de l’intelligence artificielle défendent Karim Beguir et Zohra Slim, les cofondateurs d’InstaDeep ? Pourquoi ont-ils accepté d’être rachetés par le leader de la biopharmacie, BioNTech ? Les deux Tunisiens répondent aux questions de JA.
La start-up tuniso-britannique de l’intelligence artificielle vient d’annoncer son rachat par le spécialiste allemand de la biotechnologie, son actionnaire et partenaire depuis 2020.
Les 28 et 29 novembre, à Lomé, l’Africa Financial Industry Summit sera l’occasion pour les grands acteurs du secteur de débattre des enjeux actuels et des futurs défis de la finance africaine.
« Les rois du business » (2/5). Avec Google, BioNTech ou encore le gouvernement émirati parmi ses clients, la start-up basée à Londres s’est offert en quelques années une place de choix dans le club restreint des entreprises de l’intelligence artificielle et du machine learning.
Déjà une réalité au Kenya, en Afrique du Sud et au Nigeria, l’évaluation du risque crédit via l’intelligence artificielle dispose d’un fort potentiel en Afrique de l’Ouest malgré les inquiétudes liées à la protection de la vie privée.
Côte d’Ivoire, Sénégal, Maroc, Rwanda… L’assurtech nigériane compte s’appuyer sur le réseau de clients comme AXA Mansard ou Old Mutual pour accélérer sur le continent.
Partenariat avec BioNtech, levée de fonds, rapprochement avec les Émirats… La start-up tunisienne, cofondée par Karim Beguir et Zohra Slim, séduit de plus en plus d’opérateurs et de pays.
Selon un rapport de l’Union africaine et de l’OCDE, un virage en faveur du digital est indispensable pour réussir le développement de l’Afrique de l’Ouest.
La science des données et ses algorithmes, outil indispensable de lutte contre la pandémie de Covid-19 ? Spécialisée en médecine du travail et maladies professionnelles, la Marocaine Rajae Ghanimi dresse un panorama des innovations en matière d’intelligence artificielle développées à travers le monde pour lutter contre le coronavirus.
L’édition 2020 du Consumer Electronic Show (CES) qui ouvre ses portes ce mardi 7 janvier aux États-Unis doit accueillir une importante délégation marocaine, des jeunes pousses sénégalaises et égyptiennes.
La Franco-Tunisienne Nozha Boujemaa, directrice scientifique du groupe d’imagerie médicale Median technologies, est devenue une figure de référence de l’Intelligence artificielle (IA),conseillant notamment la Commission européenne
L’adaptation au nouveau monde de l’économie de l’intelligence requiert une stratégie continentale, basée notamment sur la refonte des systèmes éducatifs nationaux, estime Fatim Cissé, qui commercialise des plateformes d’intelligence artificielle.
Pour réhabiliter le réseau de distribution de la municipalité de Keetmanshoop, en Namibie, la société française Altereo développe des systèmes innovants, en utilisant notamment l’intelligence artificielle.
L’américain SAS, spécialiste de l’analyse et de l’interprétation de données, compte se positionner dans le secteur de l’intelligence artificielle, et consacrera une grosse partie de ses investissements – un milliard de dollars (889 millions d’euros) au cours des trois années à venir – à l’Afrique, qu’il considère comme un marché d’avenir.
Le géant américain Google a choisi le Ghana pour accueillir son premier laboratoire de recherche spécialisé sur l’intelligence artificielle, assurant vouloir répondre aux problèmes socio-économiques, politiques ou environnementaux qui se posent sur le continent.
Sous son air flegmatique, ce Sénégalais de 33 ans est en fait un grand enthousiaste. Patient et très à l’écoute quand il s’agit de parler de sa discipline, l’intelligence artificielle (IA), il n’en reste pas moins extrêmement pressant lorsqu’il en appelle à un réveil panafricain de la recherche scientifique.
L’intelligence artificielle pose de nombreux défis aux acteurs du privé et aux institutions africaines. Promesse pour des lendemains meilleurs, elle pose surtout des questions d’éthique et de formation, dont l’Unesco a tenté de répondre lors d’un forum organisé au Maroc.
Si l’intelligence artificielle a pour but d’améliorer le niveau de vie et réduire les inégalités, il est nécessaire de développer une expertise au-delà des centres d’innovation actuels, selon Moustapha Cisse.
Si les Gafam se sont lancés dans une course aux données personnelles en Afrique, c’est d’abord pour contrôler la matière première indispensable à la création d’une intelligence artificielle (IA).
Enthousiaste quant à l’impact des technologies de l’information et de la communication sur l’activité économique, la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) estime toutefois qu’il faudra légiférer pour que les pays en voie de développement et les petites entreprises ne soient pas les laissés-pour-compte de ces avancées.
Tay a-t-elle été victime de sa naïveté ? « Plus vous me parlez, plus je deviens intelligente », indique son profil Twitter. Mais voilà, les internautes lui ont surtout appris à répéter des horreurs…