Le service de navigation virtuelle de Google est désormais opérationnel dans les principales villes du Sénégal. Celui-ci devient le premier pays francophone d’Afrique subsaharienne a être couvert par cette technologie.
La Cour suprême mauritanienne a annoncé ce mardi qu’un nouveau procès se tiendrait pour rejuger Cheikh Ould Mohamed Ould Mkheitir, un blogueur condamné à mort pour un billet jugé blasphématoire.
Le blogueur Merzoug Touati, qui anime le blog Al Hogra, est accusé d’ « intelligence avec une puissance étrangère », après avoir diffusé en ligne son entretien avec un prétendu diplomate israélien. Il encourt jusqu’à 25 ans de prison.
Internet ne cesse de s’étendre et l’Afrique est un marché majeur, bien que très inégal. Le continent compte désormais près de 281 millions d’internautes pour un taux d’accès moyen d’à peine 23%, selon les derniers chiffres de l’Internet Live Stats, membre du projet Real Time Statistic.
À l’occasion du lancement du magazine digital en temps réel « Be My Guest », Into the Chic, une publication de Jeune Afrique, revient sur le parcours de Konnie Touré, la première city guide de ce programme inédit en Afrique.
La grogne monte sur la Toile camerounaise. Pour protester contre les restrictions de l’accès à Internet et aux réseaux sociaux, des internautes camerounais se mobilisent autour du hashtag #BringBackOurInternet, et mettent la pression sur leur gouvernement, empêtré dans la crise anglophone.
D’abondantes chutes de neige sont tombées ce week-end dans le nord-ouest de la Tunisie, recouvrant certaines régions d’un épais manteau blanc. Des paysages enneigés que certains internautes tunisiens se sont empressés d’immortaliser et de partager sur les réseaux sociaux.
Avec 150 000 boîtes postales pour 24 millions d’habitants, la Côte d’Ivoire ne fait pas exception à une réalité qui concerne 4 milliards de personnes dans le monde. Pour réduire ces lacunes, la Poste ivoirienne propose une application depuis fin décembre, intégrant la technologie de géolocalisation développée par le britannique what3words.
Ce blogueur tchadien a été expulsé de deux pays d’Afrique. Réfugié en France, il continue à écrire et à lutter pour les droits dans son pays d’origine.
« Ne maquillez pas la violence. Dénoncez-là ! » est le message d’un nouveau tutoriel de maquillage diffusé par un site internet marocain depuis dimanche. Une façon de rebondir sur la bourde commise sur le sujet par la chaîne de télévision 2M fin novembre.
La start-up Efficient Protection a été créée en 2011 par Karim Ganame, un Burkinabé installé au Canada. Il développe un anti-virus basé sur l’analyse comportementale des réseaux infectés. Son produit commence à intéresser les gouvernements africains.
Ce mercredi à 19h GMT, le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré répondra aux questions des internautes sur Twitter. Une première au Burkina, qui coïncide avec l’anniversaire de son arrivée au pouvoir l’an dernier.
Utilisée par plusieurs journalistes et activistes et popularisée par Edward Snowden, qui avait révélé en 2013 l’ampleur de la surveillance exercée par les États-Unis sur les communications et sur Internet, l’application de messagerie cryptée Signal annonce avoir été censurée en Égypte.
Le quatrième sommet mondial du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert (OGP) s’est déroulé du 7 au 9 décembre à Paris. Retour sur les trois meilleures initiatives africaines en faveur de l’ouverture des données présentées à cette occasion.
Alors que 890 000 Gambiens sont appelés aux urnes ce jeudi pour élire leur Président, plusieurs médias sur place rapportent que les autorités gambiennes ont bloqué Internet et les communications téléphoniques à l’international.
Facebook vient de se lancer dans un projet de cartographie des régions du monde où l’accès à Internet demeure inexistant. L’Afrique du Sud, le Ghana et le Malawi sont les trois premiers pays du continent ciblés par cette initiative.
Cinq ans après ses débuts, le Partenariat pour un Gouvernement Ouvert (PGO), l’initiative internationale de promotion de la transparence de l’action publique et la gouvernance ouverte, notamment par le biais d’Internet et des technologies, n’a pas fait beaucoup d’adhérents en Afrique francophone : seules la Tunisie et la Côte d’Ivoire en font partie. Une situation que les organisateurs du quatrième sommet mondial du PGO, qui aura lieu du 7 au 9 décembre 2016 à Paris, entendent bien faire évoluer.
Le Conseil national de lutte contre le Sida (CNLS) s’apprête à lancer ce jeudi « Positive », une série diffusée sur internet et les réseaux sociaux pour sensibiliser les jeunes Sénégalais leur montrer à quoi ressemble une vie avec le VIH.
Critiqué parfois pour la qualité du réseau de fibre installé par ses équipes en Afrique subsaharienne, Huawei reste à l’offensive. Au Burkina Faso, l’équipementier chinois a lancé la construction d’une bretelle de 300 km de fibre et défend son expertise.
«On peut passer des appels via WhatsApp ! » fanfaronne tout sourire un lycéen venu réviser ses cours au quartier administratif, dans le sud-est du centre-ville.
L’Agence française de développement (AFD) et la Banque publique d’investissement française (Bpifrance) vont financer 10 start-up françaises et africaines à l’occasion d’un concours qui se conclura le 15 novembre prochain. Les 10 lauréats seront du voyage lors du 27ème Sommet Afrique-France qui se tiendra à Bamako les 13 et 14 janvier 2017.
L’École polytechnique fédérale de Lausanne dispose d’un gros catalogue de cours en ligne gratuits. Sur le continent, notamment en Côte d’Ivoire et en RD Congo, ses moocs sont un succès. Une quinzaine d’universités africaines se lancent à leur tour.
Sur instruction du gouvernement de Paul Kaba Thieba, la direction générale et le personnel de l’Onatel, opérateur historique de la téléphonie au Burkina et filiale de Maroc Télécom, ont repris lundi les négociations sur une revalorisation des salaires après une semaine d’arrêt de travail.
L’opérateur historique camerounais a entamé lundi une campagne de recouvrement des impayés auprès de ses clients, allant jusqu’à couper les lignes de téléphone et d’internet. Le montant cumulé des impayés se chiffre à 65 milliards de F CFA (100 millions d’euros). Dans le viseur en priorité : le passif des administrations publiques.
Lors de la dernière présidentielle, les autorités gabonaises ont coupé internet et les réseaux sociaux dans le pays, au motif qu’elles voulaient éviter les troubles. Une décision impopulaire que bon nombre d’États africains avaient prise auparavant avec un succès très relatif.