Mis sous pression après la frappe qui a tué sept humanitaires à Gaza, Israël doit aussi faire face aux menaces de l’Iran à la suite de l’attaque meurtrière du consulat de Damas, en début de semaine. Le Premier ministre israélien a pour l’heure choisi la surenchère.
L’armée israélienne a reconnu le 3 avril une « grave erreur » après la frappe qui a tué sept collaborateurs de l’ONG humanitaire World Central Kitchen dans la bande de Gaza, un drame qui suscite la consternation internationale.
Un texte voté le 1er avril au Parlement israélien permet d’empêcher la diffusion de médias étrangers portant atteinte à la sécurité de l’État. L’Union européenne et les États-Unis ont fait part de leur préoccupation.
Onze personnes ont été tuées dans le raid israélien sur un bâtiment diplomatique iranien en Syrie. Tous étaient des combattants selon une ONG. Téhéran et ses alliés, dont la Russie, appellent à une réaction internationale.
La déclaration de la Cour internationale de justice, basée à La Haye, survient alors que Tel Aviv prépare une offensive terrestre d’ampleur sur Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, où sont réfugiés 1,5 million de Palestiniens.
En dépit de l’appel à un cessez-le-feu immédiat voté en début de semaine à l’ONU, le gouvernement de Benyamin Netanyahou est déterminé à lancer son invasion terrestre sur la ville du sud de la bande de Gaza, où sont réfugiés 1,5 million de Palestiniens.
En dépit de l’adoption lundi de la première résolution des Nations unies pour un « cessez-le-feu immédiat » dans le territoire palestinien, Israël poursuit son offensive meurtrière.
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a qualifié l’ONU d’« organisation anti-israélienne », après la visite en bordure de la bande de Gaza du secrétaire général António Guterres, qui a appelé à un « cessez-le-feu humanitaire immédiat ».
Antony Blinken s’est entretenu avec le prince héritier Mohammed Ben Salman pour évoquer le conflit à Gaza, mais aussi les relations bilatérales entre les États-Unis et le royaume.
Aucun vote n’est pour l’instant programmé sur ce texte lié à la libération des otages israéliens détenus par le Hamas. Depuis le début du conflit, le 7 octobre 2023, Washington a opposé son veto à plusieurs résolutions appelant à un tel cessez-le-feu.
L’armée israélienne a annoncé lundi 18 mars mener une opération contre l’hôpital Al-Shifa, le plus grand de la bande de Gaza, où se trouvent « des dizaines de milliers » de déplacés, selon le Hamas.
Le Hamas a accusé l’armée israélienne d’avoir mené des tirs à partir de « chars et d’hélicoptères » sur des personnes qui attendaient une distribution de farine à proximité de la ville de Gaza.
Au moins un employé de l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a été tué. Les États-Unis tentent toujours, avec le Qatar et l’Égypte, d’arracher un accord pour une trêve de plusieurs semaines entre Israël et le Hamas.
Rabat vient d’annoncer avoir obtenu le droit de ravitailler directement les Palestiniens de Gaza. Un accord exceptionnel, que le royaume attribue à ses bonnes relations avec Tel-Aviv.
La guerre menée par Israël à Gaza relève du « génocide », a jugé le président djiboutien lors de l’entretien qu’il a accordé à François Soudan. Le directeur de la rédaction de Jeune Afrique revient sur cette interview au micro de RFI.
C’est un phénomène qui prend de l’ampleur : de nombreux binationaux et Marocains résidant à l’étranger envisagent de venir s’établir au royaume. Si le climat politique délétère en Europe y est pour beaucoup, il y a aussi des raisons pragmatiques : les opportunités entrepreneuriales en Afrique.
Les négociations pour une trêve restent bloquées en raison de désaccords persistants entre le Hamas et Israël, notamment concernant le sort des otages et le retrait des troupes israéliennes du territoire palestinien enclavé.
L’armée israélienne a de nouveau bombardé Gaza dimanche 10 mars, faisant des dizaines de morts en pleine mobilisation internationale pour envoyer de l’aide à la population civile assiégée et menacée de famine.
Pékin a répété son soutien à une « pleine » adhésion d’un État palestinien à l’ONU, alors que la guerre entre Israël et le Hamas entre dans son sixième mois. À Gaza, la famine menace plus de 2 millions d’habitants.
Une trêve va-t-elle être scellée entre Israël et le Hamas avant le ramadan ? Alors que les négociations sont en cours, c’est la perspective d’une offensive sur Rafah qui fait craindre le pire. 150 jours après le début de cette guerre qui a fait plus de 30 000 morts, décryptage en infographies d’un drame humanitaire.
La vice-présidente américaine, Kamala Harris, s’est alarmée de la situation dans le territoire palestinien bombardé chaque jour par Israël, et où une famine menace, selon l’ONU.
Des négociations ont repris pour obtenir une trêve entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, où les bombardements israéliens meurtriers se poursuivent dans le territoire palestinien menacé de famine.
Tsahal a reconnu des « tirs limités », mais en faisant état d’une « bousculade » au cours de laquelle, selon le Hamas, plus de 110 personnes ont été tuées. La communauté internationale a demandé une enquête indépendante.
Un nouveau bilan de 30 000 morts dans la bande de Gaza a été annoncé ce 29 février par le ministre de la Santé du Hamas. Une trêve est toujours en discussion pour le début du ramadan.
Trois ans seulement après son adhésion, l’État hébreu est exclu de toute participation aux sommets de l’organisation panafricaine. Les conséquences de la guerre à Gaza ont pesé plus lourd dans la décision de la majorité des États membres que les efforts de lobbying des alliés historiques de Tel-Aviv.
Le soutien inconditionnel d’Emmanuel Macron à la guerre menée à Gaza par le Premier ministre israélien et son gouvernement d’extrême droite implique un tribut de plus en plus lourd à payer pour l’Hexagone, sur le plan de la politique intérieure comme à l’international.
Disparu des écrans radars depuis l’attaque du 7 octobre dernier, le chef du Hamas à Gaza reste introuvable. Son sort, qui demeure un mystère, fait l’objet de toutes les spéculations et de nombreuses fake news.
Alors que les bombardements israéliens sur Gaza continuent, le conseiller du président américain Joe Biden pour le Moyen-Orient est attendu en Israël après une étape en Égypte où se tiennent de nouveaux pourparlers en vue d’une trêve.
Après le rejet d’un projet de résolution de l’ONU appellant à un cessez-le-feu « humanitaire immédiat », les espoirs d’un arrêt des combats entre Israël et le Hamas apparaissent de plus en plus minces.