Un missile israélien s’est abattu le 18 décembre à moins de 40 mètres du lieu des funérailles d’un combattant du Hezbollah qui se tenaient dans un village frontalier, sans faire de victime.
La communauté internationale s’alarme du bilan humain de plus en plus lourd dans la guerre que livre Israël au Hamas. Depuis le début du conflit, plusieurs hôpitaux ont été bombardés ou attaqués.
Bien que le Maroc et les Émirats arabes unis aient une politique étrangère et des priorités différentes, leurs relations se traduisent par un soutien mutuel sur divers fronts. Comme l’a confirmé la toute récente visite de Mohammed VI à Abou Dhabi.
Activiste de gauche, en tête de toutes les manifestations depuis le début de la guerre à Gaza, Sion Assidon a toujours refusé l’étiquette de « juif marocain ». Et plaide contre le rétablissement des relations entre Rabat et Tel-Aviv.
Cette figure emblématique de la chaîne qatarie, très appréciée dans le monde arabe, couvre la guerre Israël-Hamas depuis l’enclave palestinienne. Il a appris en direct la mort de sa famille, décimée par un bombardement israélien.
L’armée israélienne continue d’avancer dans le sud de la bande de Gaza, où elle « reprend [l]es derniers bastions » de l’organisation palestinienne. Près de 85 % de la population locale a été déplacée à la suite des affrontements et des bombardements israéliens.
Du 10 au 12 décembre, les Égyptiens votent pour élire leur futur président. Outre Abdel Fattah al-Sissi, assuré d’être réélu, trois candidats sont en lice, dont le patron du Wafd, un parti centenaire à l’origine du nationalisme égyptien, puis du panarabisme. Flashback.
Alors que le Hamas a répété, le 10 décembre, qu’aucun otage ne quitterait Gaza autrement que dans le cadre d’échanges de prisonniers, les combats ont repris ce lundi matin. Dans la nuit, l’aviation israélienne a frappé des quartiers de Damas, affirmant qu’ils abritaient des bases du Hezbollah.
À l’heure où l’armée israélienne poursuit son avancée dans le sud du territoire palestinien contrôlé par le Hamas, une résolution doit être votée au conseil de sécurité des Nations unies afin d’assurer la sécurité des civils et de permettre leur prise en charge médicale.
Après avoir détruit le nord de Gaza, l’armée israélienne frappe désormais le Sud, vers lequel Tsahal avait conseillé aux Palestiniens de se déplacer pour ne pas être tués dans les bombardements.
Les soldats israéliens sont engagés dans une offensive terrestre depuis le 27 octobre dans le nord de Gaza, ciblant les « bastions du Hamas ». Depuis l’expiration de la trêve, l’armée s’était principalement concentrée sur des raids aériens.
« Si le Hamas ne libère pas les otages dans les délais impartis, Israël doit exécuter les principaux leaders du mouvement détenus dans ses prisons. » Les déclarations récentes de l’ancien agent du Shin Bet, fils du cheikh Hassan Youssef, l’un de ces responsables incarcérés, ont parachevé son statut de célébrité controversée.
Multipliant les visites impromptues et les initiatives inattendues, le président tunisien déconcerte souvent ses concitoyens, qui attendent de lui qu’il tranche sur les dossiers prioritaires. À un an de la présidentielle, le chef de l’État continue à ne jamais être là où on l’attend.
La pause humanitaire décidée par le gouvernement de Benyamin Netanyahou et le Hamas dans le cadre d’un accord d’échange d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens durera deux jours de plus.
La pause humanitaire de quatre jours se termine théoriquement ce 27 novembre. Après plusieurs échanges d’otages et de prisonniers, les discussions sont en cours pour éviter une reprise des combats.
En vigueur depuis ce 24 novembre au matin, cette première pause humanitaire doit être suivi dans l’après-midi de la libération de treize otages israéliens.
À Tunis, le 22 novembre, la soirée d’ouverture des Journées du film européen a viré au fiasco. Une illustration des tensions géopolitiques actuelles et, surtout, un nouveau rendez-vous manqué entre Bruxelles et les Tunisiens.
Le président tunisien adopte une position particulièrement intransigeante à l’égard d’Israël tout en s’opposant, chez lui, à une loi qui criminalise la moindre normalisation des relations avec l’État hébreu. Un grand écart qui ne fait qu’accentuer son isolement.
À l’heure où Israël poursuit ses bombardements sur Gaza dévasté, les négociations avec le Hamas pour obtenir la libération des otages capturés lors de l’attaque du 7 octobre se poursuivent. Les détails doivent être annoncés prochainement.
Alors que Berlin accueille ce 20 novembre le quatrième sommet de l’initiative G20 Compact with Africa (CwA), lancée en 2017, le chancelier Olaf Scholz revient sur la politique allemande en direction du continent.
La communauté internationale doit « agir d’urgence » pour mettre fin à la « catastrophe humanitaire » à Gaza, a déclaré lundi 20 novembre le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, à des diplomates de pays arabes et à majorité musulmane.
Alors que Tsahal « étend » ses opérations contre le Hamas dans de nouveaux quartiers du territoire palestinien, il ne resterait que des « obstacles mineurs » avant un accord concernant le sort des otages, selon le Qatar, en charge de la médiation.
La conclusion d’un accord sur la libération des otages enlevés par le Hamas lors de son attaque le 7 octobre contre Israël repose désormais sur des questions pratiques « mineures », a affirmé le 19 novembre le Premier ministre qatari, sans toutefois fournir de calendrier.
Au 43e jour des confrontations entre Israël et le Hamas, qui ont déjà fait quelque 12 000 morts, l’État hébreu resserre un peu plus l’étau sur Gaza. Pour Skander Ounaies, il est encore temps d’éviter le désastre annoncé, et de contrer la rupture définitive qui se profile entre le monde arabe et l’Occident.
Si plusieurs procédures sont en cours devant la Cour pénale internationale, l’Algérie est l’un des premiers pays à avoir annoncé son intention de porter plainte contre Israël, sans essayer de s’inscrire dans une démarche collective. Portraits des avocats de renom qui portent cette action.
Plusieurs centaines d’avocats issus du monde entier ont déposé une plainte devant la Cour pénale internationale. Si cette instance a déjà ouvert une enquête depuis plusieurs années, celle-ci est restée au point mort. Les détails.
Ces fenêtres de « quatre heures sans opérations militaires », selon les États-Unis, permettront aux civils de fuir cette partie de la bande de Gaza, où les combats et les bombardements se concentrent, pour rejoindre le sud du territoire contrôlé par le Hamas.