L’international algérien, qui évolue à l’OGC Nice, a partagé sur Instagram la vidéo d’un prédicateur de Gaza. Il est maintenant visé par une enquête préliminaire pour « apologie du terrorisme ».
Le président de l’Autorité palestinienne a mis plusieurs jours à réagir au déclenchement d’une nouvelle guerre entre Israël et le Hamas. Mais est-il encore audible ?
Pour Mounir Houari, le directeur général du Centre régional d’investissement, la priorité accordée au développement de Dakhla et de ses environs est en train de porter ses fruits, même si des efforts restent à faire pour attirer des talents et densifier les liaisons aériennes.
Pour le chercheur et spécialiste français du Moyen-Orient David Rigoulet-Roze, difficile, même si les preuves manquent, de ne pas voir l’influence de l’Iran derrière l’opération du Hamas en Israël.
Alors que la riposte d’Israël à l’offensive du Hamas s’amplifie, Ghislain Shema Ndayisaba, ancien président d’une organisation d’aide aux rescapés du génocide des Tutsi du Rwanda, milite pour une solution à deux États, seule à même de garantir paix et sécurité.
S’il n’a été créé qu’à la fin des années 1980, le mouvement islamiste palestinien a rapidement su s’imposer à Gaza en s’inspirant des méthodes des Frères musulmans égyptiens, dont il est issu. À rebours des tentatives de paix et de la normalisation en cours, son objectif demeure la destruction d’Israël.
Si les relations avec Israël ont été normalisées et que la coopération entre Rabat et Tel-Aviv se développe rapidement, l’opinion publique marocaine reste très majoritairement acquise à la cause palestinienne.
Réunis au Caire, les ministres des Affaires étrangères arabes ont appelé à la « levée du siège de Gaza ». Et demandé l’autorisation de faire entrer de la nourriture et du carburant dans l’enclave soumise au blocus d’Israël.
Les suppliciés du kibboutz de Kfar Aza et les enterrés vivants de Gaza sont les victimes innocentes d’une tragique impasse politique dont nul ne connaît plus la voie de sortie.
Comment la préparation d’une attaque aussi massive que celle lancée le 7 octobre par le Hamas a-t-elle pu échapper aux nombreux services secrets actifs dans la région ? Plongée au cœur d’une guerre de l’ombre.
La présence des captifs à Gaza limite dangereusement la marge de manœuvre d’Israël. Le Qatar et l’Égypte pourraient jouer les médiateurs dans le cadre des négociations avec l’organisation palestinienne.
Bientôt quatre jours après le lancement de l’opération « Déluge d’Al-Aqsa » par le Hamas, les réactions internationales permettent déjà de dessiner certaines tendances et évolutions possibles. Entre les défenseurs inconditionnels d’Israël et ceux qui appellent à ne pas cesser d’aider les Palestiniens, la polarisation est à son comble.
Au troisième jour de la guerre entre le Hamas et l’État hébreu, Gaza est toujours sous blocus total et les bilans ne cessent d’être revus à la hausse, d’un côté comme de l’autre.
Ancien artificier, l’homme de 58 ans, aujourd’hui en fauteuil roulant, est le chef de la branche militaire du Hamas responsable de l’attaque lancée ce 7 octobre contre Israël.
Au Maghreb et au Moyen-Orient, les réactions face à l’offensive du Hamas contre Israël varient en fonction des liens entretenus avec Tel-Aviv. Mais les autorités doivent aussi composer avec une opinion publique totalement acquise à la cause palestinienne.
Depuis le déclenchement de l’offensive du Hamas contre Israël, les capitales africaines, comme le reste du monde, appellent à l’arrêt des violences et à un retour aux négociations. Si le soutien à la cause palestinienne est fort, le massacre de civils israéliens a provoqué des réactions indignées.
L’armée israélienne a annoncé ce 9 octobre avoir frappé « plus de 500 cibles » dans la nuit sur la bande de Gaza pour tenter de reprendre le contrôle face aux combattants du Hamas, au troisième jour d’affrontements qui ont fait, dans les deux camps, plus de 1 100 morts.
L’offensive, lancée depuis Gaza, territoire contrôlé par le Hamas, intervient 50 ans jour pour jour après le déclenchement de la guerre du Kippour, en 1973. Elle a déjà fait plus d’un millier de morts.
À la suite de l’attaque d’Israël par le Hamas dans la matinée du 7 octobre et de l’escalade du conflit, l’organisation panafricaine a demandé aux deux parties de « revenir, sans conditions préalables, à la table des négociations pour mettre en œuvre le principe de deux États vivant côte à côte ».
Dès les premières heures qui ont suivi le séisme meurtrier d’Al Haouz, les habitants de Dakhla, de Laâyoune et de leurs environs se sont mobilisés pour venir en aide à leurs compatriotes sinistrés. Un signe, un de plus, du nouveau statut des provinces du Sud, et de leurs ambitions.
Quand le président de l’Égypte succombe à une crise cardiaque, le 28 septembre 1970, chacun se demande ce que deviendra le tiers-monde sans l’un de ses principaux hérauts. BBY, qui avait bien connu le raïs, livrait alors cette analyse dans JA.
En perte de vitesse depuis quelques années, l’ancien chef du gouvernement tente de reconquérir la base traditionnelle de l’électorat islamiste en liant le tremblement de terre à la corruption des mœurs… et à des péchés politiques collectifs.
À Tripoli, l’annonce par Israël d’une brève rencontre entre le chef de la diplomatie et son homologue libyenne a provoqué des manifestations violentes et l’éviction de la ministre. Décryptage d’une réaction épidermique.
Le conseiller du roi du Maroc s’est rendu, ce 5 septembre, en Israël, sur invitation du président Herzog, qui l’a décoré de la médaille d’honneur de l’État hébreu. Un pas de plus dans la normalisation entre Rabat et Tel-Aviv.
Décarbonation, usines de batteries électriques, énergies renouvelables… Le ministre marocain de l’Industrie et du Commerce détaille la stratégie de son pays pour renforcer son tissu industriel et attirer les investisseurs.
Choisi par les Européens, le diplomate italien Nicola Orlando a vu ses lettres de créance refusées par les autorités libyennes. Qui semblent réagir ainsi à l’activisme de Rome en Méditerranée.
Depuis la normalisation des relations entre Rabat et Tel-Aviv, un nombre croissant d’entreprises israéliennes de cyberdéfense s’intéressent au marché marocain, dans le sillage de Check Point Software, déjà solidement implantée.
Pour sa première visite en Arabie saoudite depuis la réconciliation entre les deux pays, le ministre iranien des Affaires étrangères a appelé à l’unité des musulmans et tenté de contrecarrer les efforts américains visant à pousser les pays arabes à normaliser leurs relations avec Israël.
« Sérieux ». Le souverain marocain a utilisé ce terme à quatorze reprises lors du discours qu’il a prononcé, le 29 juillet, à l’occasion de la fête du Trône. Sans toutefois en donner une définition précise. Depuis, les interprétations vont bon train.