D’où viennent les pèlerins qui se rendent à La Mecque ? Combien doivent-ils débourser pour accéder aux lieux saints de l’islam ? Comment l’afflux est-il géré par les autorités saoudiennes ? Réponses en infographies.
Dès 1830, le hajj, l’un des cinq piliers de l’islam, donne du fil à retordre aux Français. Considéré comme un facteur de déstabilisation, il sera d’abord très encadré. Mais ces règles s’assoupliront avec le temps.
Ce 10 novembre se tenait, à Riyad, le premier sommet Arabie saoudite-Afrique. Au menu (officiel) un thème économique, et, en filigrane, des sujets politiques.
Fin des restrictions, extension des visas touristiques, baisse des prix, autorisation des pèlerinages sans mahram pour les musulmanes… Après la pandémie, le royaume saoudien mise sur 2023 pour relancer le pèlerinage à La Mecque, qui reste pour lui une manne financière.
Mosquées fermées, pèlerinages annulés, rassemblements suspendus… Face à la propagation du Covid-19 et en dépit de certaines réticences, les responsables religieux musulmans sont forcés de s’adapter.
Alors que plus de 10 000 fidèles s’apprêtent à se rendre à La Mecque et à Médine en août, retour sur un aspect bien peu spirituel de ce voyage religieux d’une vie : son coût exorbitant.
Encore un pèlerinage sous haute tension. Cette fois-ci, c’est la crise du Golfe qui s’invite dans la plus importante célébration musulmane. Mais pas seulement…
Les autorités saoudiennes ont annoncé avoir déjoué un attentat d’envergure contre la Grande mosquée de La Mecque, qui aurait pu causer de nombreuses pertes humaines.
Quatre jours après sa victoire face à l’Ajax d’Amsterdam en finale de l’Europa League avec son club de Manchester United, Paul Pogba s’est rendu à la Mecque pour le début du ramadan.
Les relations entre l’Iran et l’Arabie saoudite seraient-elles en train de se réchauffer ? Téhéran a confirmé ce lundi avoir reçu une invitation de Riyad afin de discuter du retour de ses fidèles au pèlerinage de La Mecque. Ils étaient absents l’année dernière, pour cause de grave crise entre les deux pays.
Il y a un an, le 24 septembre 2015, le hajj a été le théâtre d’une énorme bousculade, particulièrement meurtrière : 717 morts, selon un bilan des autorités saoudiennes qui n’a jamais été actualisé, 2 300 selon les décomptes des gouvernements étrangers. Jeune Afrique revient sur les mesures de sécurité prises cette année.
Plus de 1,8 million de pèlerins musulmans célèbrent ce lundi l’Aïd al-Adha, la fête du Sacrifice, et se consacrent au rituel de la lapidation de Satan à Mina, l’étape la plus importante du grand pèlerinage de La Mecque.
Avant le début des rites samedi 10 septembre, près d’un million et demi de fidèles sont déjà arrivés en Arabie Saoudite. Ils se pressaient jeudi par milliers autour de la Kabaa, la construction cubique vers laquelle se tournent les musulmans pour prier.
Le président iranien Hassan Rohani a appelé mercredi les pays musulmans à s’unir pour punir l’Arabie saoudite pour ses « crimes », en référence aux conflits en Syrie et au Yémen, mais aussi à la bousculade du 24 septembre 2015 qui s’était soldée par la mort de 2300 pèlerins, dont 464 Iraniens.
Thierno Amadou Omar Hass Diallo, ministre malien des Affaires religieuses et du Culte, revient sur l’organisation du Hajj 2016 et la gestion du drame de Mina lors du pèlerinage à La Mecque en 2015. Interview.
Les premiers pèlerins tunisiens ont embarqué lundi pour l’Arabie Saoudite pour y effectuer les rituels du hajj 2016, un des plus grands rassemblements au monde. Jeune Afrique a suivi ce grand départ.
Alors que les premiers des 80 000 pèlerins musulmans ont commencé à s’envoler vers la Mecque lundi soir, une polémique enflait mardi au Nigeria sur les subventions que leur accorde l’État, en pleine crise économique.
Suite à la bousculade meurtrière de septembre 2015 qui a fait plus de 2297 morts, l’Arabie saoudite mettra à la disposition des pèlerins des bracelets électroniques pour pouvoir les identifier. Outre leurs données personnelles, ces appareils seront dotés d’un GPS.
L’Iran a annoncé dimanche qu’il n’enverrait pas cette année de pèlerins au hajj à La Mecque en Arabie saoudite, en accusant les autorités saoudiennes d’entraves, dernière crise en date entre les deux grands rivaux régionaux.
La tragique bousculade de la Mecque qui a causé la mort de plus de 2 100 personnes, selon des chiffres officiels fournis le 22 octobre par 34 pays, fait partie d’une série d’accidents meurtriers survenus ces dernières années au moment du pèlerinage.
Plus de 2 100 personnes sont mortes dans la bousculade au pèlerinage de La Mecque le 24 septembre, selon des chiffres officiels donnés par 34 pays. Il s’agit désormais de la catastrophe la plus meurtrière de l’histoire moderne du hajj.
Le bilan de la bousculade au pèlerinage de La Mecque s’est encore alourdi mardi, atteignant au moins 1 958 morts, selon des chiffres officiels donnés par 34 pays.
Le bilan de la bousculade de La Mecque, la plus meurtrière de l’histoire du pèlerinage, s’est encore alourdi vendredi 16 octobre. Le bilan, encore provisoire, fait désormais état de de 1 753 morts, selon des chiffres donnés par 31 pays. Parmi eux, de nombreuses victimes africaines.
Le bilan de la bousculade survenue le 24 septembre à La Mecque en Arabie Saoudite s’élève désormais à près de 1600 morts, faisant de ce drame la catastrophe la plus meurtrière du hajj.
Il s’agit désormais de la catastrophe la plus meurtrière qu’ait connu à ce jour le pèlerinage de La Mecque. Selon les chiffres donnés par 30 pays, le bilan de la bousculade du 24 septembre s’est encore alourdi, lundi, à au moins 1 587 morts,
Au vu des statistiques provisoires actuellement disponibles – au moins 70 morts -, le Mali semble avoir payé l’un des plus lourds tributs à la bousculade meurtrière de Mina parmi les pays africains. Dédia Samaké est toujours à la recherche de sa sœur disparue. Témoignage.
Si les autorités saoudiennes n’ont pas encore fourni de bilan par nationalité des victimes de la bousculade qui a fait 769 morts, le 24 septembre, lors du pèlerinage de La Mecque, plusieurs pays ont de leur côté confirmé leur nombre de morts respectifs dans la tragédie. L’Afrique paye un lourd tribut.