Des centaines de personnes ont manifesté dimanche devant l’ambassade d’Arabie saoudite à Téhéran alors que le guide suprême iranien exigeait de Ryad des excuses pour le drame de la Mecque qui a fait plus de 150 morts iraniens.
Le mouvement de foule meurtrier a provoqué la mort jeudi de 717 personnes, faisant également plus de 850 blessés. Parmi ces victimes, des pèlerins africains dont on ignore encore le nombre exact.
Au lendemain du mouvement de foule particulièrement meurtrier, qui a provoqué la mort de plus de 700 personnes jeudi, les États des ressortissants victimes de la bousculade ont émis de vives critiques envers la sécurisation des pèlerins, jugée insuffisante.
Au premier jour de la fête de l’Adha, le rituel de la lapidation de Satan a souvent été le théâtre de bousculades particulièrement meurtrières. Retour sur les drames des trente dernières années.
Réunis à La Mecque pour accomplir le hajj, l’un des cinq piliers de l’islam, au moins 717 pèlerins ont trouvé la mort jeudi matin dans une bousculade, ont annoncé les services saoudiens de la défense civile. Au moins 863 autres personnes blessées ont été transportées vers différents hôpitaux, selon le dernier bilan.
Les quelque deux millions de pèlerins réunis à La Mecque pour accomplir le hajj, l’un des cinq piliers de l’islam, refluaient mercredi soir sur la plaine de Mouzdalifa pour marquer jeudi la fête du Sacrifice, célébrée par 1,5 milliard de musulmans à travers le monde.
Pour le grand pèlerinage annuel, qui commence le 22 septembre à La Mecque, les autorités saoudiennes s’attendent à recevoir 2 millions de fidèles originaires de 183 pays.
Étonnante coïncidence… C’est un 11 septembre qu’une gigantesque grue appartenant au Saudi BinLadin Group (SBG) s’est effondrée sur la Grande Mosquée de La Mecque, sous le coup de fortes rafales de vent, faisant 111 morts et quelque 400 blessés.
Au moins 65 personnes ont été tuées et 80 autres personnes ont été blessées vendredi après l’effondrement d’une grue sur la Grande mosquée de La Mecque, quelques jours avant le début du pèlerinage, a indiqué la défense civile.
Environ deux millions de musulmans s’apprêtent à se rendre à la Mecque pour effectuer le pèlerinage (le hajj) et y fêter le jour de l’Aïd el Kébir. Alors que les premiers départs pour l’Arabie saoudite sont prévus fin août, une logistique hors norme se met en place pour accueillir les fidèles durant une trentaine de jours. Derrière le devoir religieux, se cachent des chiffres astronomiques.
La folie des « selfies » a saisi cette année les pèlerins à La Mecque, qui se prennent en photo devant les sites les plus sacrés de l’islam, au risque d’irriter les religieux tenants de la tradition.
Avec « Hajj, le pèlerinage à La Mecque », l’Institut du monde arabe, à Paris, concilie ses traditionnelles missions diplomatiques avec sa vocation à présenter de jeunes artistes contemporains.
Des centaines de milliers de fidèles musulmans effectuaient mercredi, pour la deuxième journée consécutive, le rituel de lapidation de Satan à Mina, près de La Mecque. Il s’agit d’une des dernières étapes du Hadj, qui a réuni cette année près de 2 millions de pèlerins du monde entier.
Au total, 1,38 million de pèlerins sont arrivés de l’étranger et 117 000 fidèles de l’intérieur du royaume ont été autorisés à participer au Hajj 2013, a annoncé, dimanche, le gouverneur de la Mecque.
Près de deux millions de pèlerins musulmans se rassemblaient dimanche à Mina, près de la ville sainte de La Mecque, au début du Hajj annuel, épargné jusqu’ici par le coronavirus MERS selon les autorités saoudiennes.
Climat, cadre de vie, industrie touristique rodée et bien connectée… La ville sud-africaine attire les plus grandes conférences panafricaines. Avec la crise en Europe, elle cible désormais les décideurs ouest-africains.
Quelque 2,5 millions de fidèles en pèlerinage à La Mecque ont entamé vendredi le rituel de lapidation de Satan, au premier jour de l’Aïd Al-Adha, la fête du sacrifice célébrée par les musulmans dans le monde entier.
Le gouvernement saoudien a décidé d’interdire aux musulmans vivant en République démocratique du Congo (RDC) de participer cette année au pèlerinage de La Mecque. La mesure viserait à éviter aux pèlerins tout risque de contamination par le virus Ebola et par le choléra, des fléaux qui touchent actuellement quelques provinces congolaises. Nécessité de prévention ou décision excessive ?
Parties faire le hadj à La Mecque, un millier de croyantes se sont retrouvées parquées dans un centre de rétention. Motif : elles n’étaient pas accompagnées par un homme.
Accusé de corruption, l’ancien candidat à la présidentielle égyptienne Ahmed Chafiq s’est envolé du Caire quelques heures après l’ouverture d’une enquête à son encontre. Destination : La Mecque, pour y effectuer le petit pèlerinage ou Omra.
Le pays veut devenir la destination phare des vacanciers soucieux de l’environnement. Pour que son trésor chlorophyllien et sa biodiversité fassent recette, encore faut-il que les opérateurs soient au rendez-vous.
Le pèlerinage à La Mecque est entré dans sa dernière phase mercredi pour les quelque 2,8 millions de fidèles venus du monde entier participer à ce rassemblement spirituel unique.
Le pèlerinage annuel à La Mecque, un des cinq piliers de l’islam, a débuté en Arabie Saoudite, alors que le royaume sunnite redoute des débordements ou une attaque terroriste.
Elle a une réputation de cité joyeuse, vibrante, insolente, fêtarde et sans tabous. Mais la deuxième ville du pays change, se modernise. Au risque de perdre son âme ?
Bravant la pandémie de grippe H1N1 et de possibles manifestations de pèlerins iraniens, plus de 2,5 millions de musulmans s’apprêtent à accomplir le pèlerinage (Hajj) dans les villes saintes saoudiennes de La Mecque et Médine.
Américains, Tchèques, Japonais… Chaque année, des centaines d’étudiants étrangers convergent vers la capitale syrienne pour s’initier à la langue du Coran.
Barack Obama ferait-il des émules jusqu’en Arabie saoudite ? Pour la première fois, un Noir, fils d’immigrants pauvres, a été nommé imam de la Grande Mosquée de La Mecque, au centre de laquelle se trouve la Sainte Kaaba. Pour Cheikh Adil Kalbani, c’est un immense honneur… mais pas tout à fait une surprise.