Avec sa novella « La Lecture », l’écrivain sud-africain Ivan Vladislavić s’interroge sur notre capacité à faire preuve d’empathie à l’égard des victimes de groupes armés tels que la LRA en Ouganda. Et, aussi, sur la puissance de la littérature.
C’est l’homme le plus recherché d’Afrique. Le fondateur de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), un groupe rebelle qui a semé la terreur pendant plus de trente ans en Ouganda, est traqué depuis 2005 par la justice internationale pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
La Cour pénale internationale a rendu son verdict, le 6 mai. Reconnu coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, l’Ougandais purgera une peine de vingt-cinq ans de prison.
Près de 200 personnes ont été enlevées entre janvier et septembre dans une zone du nord-est de la République démocratique du Congo frontalière de la République centrafricaine et du Soudan du Sud, indique lundi le bulletin du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha).
L’ancien diplomate français, qui a consacré l’essentiel de sa carrière à l’Afrique subsaharienne, a publié en novembre 2018 « Le Grand Livre de l’Afrique », dans lequel il dresse un panorama, à rebours des idées reçues, de l’actualité africaine. Aide internationale, groupes terroristes, causes du sous-développement du continent… Nicolas Normand tord le cou aux clichés sur l’Afrique subsaharienne.
L’optimisme n’est pas au rendez-vous à la veille de la cinquième réunion du Comité de suivi du plan DDRR, qui doit avoir lieu à Bangui jeudi et vendredi. Pourtant, un « réel pas vers l’avenir et vers la paix » doit y être franchi, avec pour la première fois la participation d’un représentant d’Abdoulaye Miskine, du Front démocratique du peuple centrafricain.
L’ONG Human Rights Watch (HRW) a dénoncé, dans un rapport publié lundi, des abus sexuels commis selon elle entre 2009 et 2017 sur plusieurs femmes par des militaires ougandais déployés dans l’est de la Centrafrique.
Dans son premier documentaire, « Wrong Elements », le Franco-Américain suit l’impossible retour à la vie normale des jeunes recrues de l’Armée de résistance du Seigneur.
Le commandant de la Brigade de Sinia de l’Armée de résistance du seigneur (LRA) comparaît devant la Cour pénale internationale à l’occasion de son procès, qui a repris lundi.
Le 6 décembre s’est ouvert, à la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye le procès de Dominic Ongwen, l’un des principaux lieutenants de l’Armée de résistance du seigneur (LRA), groupe rebelle apparu dans le maquis ougandais il y a plus de trente ans et dirigé d’une main de fer par l’un des hommes les plus recherchés d’Afrique, Joseph Kony.
Washington a annoncé mercredi 24 août avoir pris des sanctions économiques à l’encontre des deux fils de Joseph Kony, le leader de la guérilla ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA).
Dominic Ongwen, l’un des chefs les plus redoutés de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA), la sanglante rébellion ougandaise, comparaîtra devant la Cour pénale internationale à partir du 6 décembre pour crimes contre l’humanité, a annoncé la CPI lundi.
Les Nations unies ont indiqué lundi qu’un Casque bleu marocain de la Minusca a été tué lors d’une attaque la veille menée par des membres présumés de l’Armée de résistance du seigneur dirigée par Joseph Kony.
Les juges de la Cour pénale internationale (CPI) ont confirmé mercredi l’ensemble des 70 chefs d’accusation de crimes de guerre et crimes contre l’humanité présentés contre Dominic Ongwen, figure importante du commandement militaire de la rébellion ougandaise l’Armée de résistance du seigneur (LRA), ouvrant la voie à un procès.
L’Armée de résistance du Seigneur (LRA) de Joseph Kony a enlevé plus de 200 personnes, dont une cinquantaine d’enfants, depuis le début de l’année dans l’est de la Centrafrique, selon des ONG américaines. Soit deux fois plus qu’en 2015.
Un des chefs de l’Armée de résistance du seigneur (LRA) a été capturé lundi en Centrafrique. Il s’agit de Okot Odek, un des principaux commandants de la sanguinaire rébellion ougandaise, a indiqué mercredi une source au sein de la gendarmerie centrafricaine.
Dès jeudi s’ouvrira une nouvelle phase de la procédure dans l’affaire Dominic Ongwen de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), au sein de la Cour pénale internationale (CPI). La procureure Fatou Bensouda a jusqu’au 27 janvier pour convaincre les juges que le dossier est suffisamment solide pour mener à bien le procès.
La Cour pénale internationale a dévoilé jeudi 60 nouvelles accusations de crimes contre l’humanité et crimes de guerre à l’encontre de Dominic Ongwen, un des principaux artisans de la sanguinaire rébellion de la LRA.
Dominic Ongwen, l’ex-adjoint du leader de la LRA, Joseph Kony, s’est rendu au forces spéciales américaines avec des informations de première main sur son ancien mentor.
Les rebelles ougandais ne sont plus qu’une poignée, éparpillés aux confins de la Centrafrique et de la RD Congo. Et avant tout préoccupés par leur propre survie.
Dominic Ongwen, figure majeure de la LRA de Joseph Kony, est arrivé mercredi matin au centre de détention de la Cour pénale internationale à La Haye, aux Pays-Bas. Il avait été remis la veille par les autorités ougandaises à Kampala.
Comme promis, les autorités ougandaises ont remis mardi Dominic Ongwen à la Cour pénale internationale (CPI). Cette figure importante du commandement militaire de la rébellion de la LRA de Joseph Kony est en route vers La Haye.
Dominic Ongwen, l’un des principaux chefs de la sanguinaire rébellion ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), a été remis à la Centrafrique en vue de son transfert à la Cour pénale internationale de La Haye, a déclaré samedi l’armée ougandaise.
L’armée ougandaise a annoncé mardi que Dominic Ongwen, l’un des principaux chefs de l’Armée de résistance du seigneur (LRA) qui s’était rendu aux forces spéciales américaines en Centrafrique le 6 janvier, sera livré pour être jugé à la Cour pénale internationale (CPI).
Sans attendre la confirmation de Washington, l’armée ougandaise a annoncé mercredi que Dominic Ongwen, l’un des principaux chefs de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) de Joseph Kony, s’est rendu aux forces spéciales américaines en Centrafrique.
La guérilla ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) continue de semer la terreur dans le sud-est de la Centrafrique, notamment grâce à certains éléments de l’ex-rébellion Séléka qui apporteraient ponctuellement de l’aide à ses membres, selon des experts du dossier.
Le président américain, Barack Obama, a autorisé l’envoi de 150 hommes des forces spéciales, appuyés par quatre avions de transport CV-22 Ospreys et des avions ravitailleurs. Ces renforts seront déployés entre la Centrafrique, l’Ouganda et la RDC pour traquer le chef de la LRA, Joseph Kony.
L’Ouganda et les États-Unis ont fait état vendredi du possible décès du numéro 2 de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), la sinistre et sanguinaire rébellion ougandaise, Okot Odhiambo, recherché par la Cour pénale internationale (CPI).
Alors que « Kony 2012 », le film réalisé par l’ONG Invisible children, continue de défrayer la chronique médiatique, l’Union africaine a décidé de lancer ses forces à la poursuite du chef de l’Armée de résistance du seigneur (LRA), recherché depuis 2005 par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Pourquoi si tard ? Avec quels moyens ? Le directeur Paix et sécurité de l’UA, El Ghassim Wane, répond aux questions de Jeune Afrique.