Le réalisateur américain de la vidéo sur le criminel de guerre ougandais Joseph Kony, qui fait sensation sur internet, a été arrêté et hospitalisé à San Diego, après avoir été retrouvé nu dans la rue en train de se masturber, a annoncé la police et l’ONG Invisible Children.
C’est une ascension aussi fulgurante qu’inattendue : en quelques jours, Joseph Kony est devenu une superstar du web. Affolant les compteurs sur Twitter ou encore sur YouTube avec un documentaire, Kony 2012, qui approche les 50 millions de spectateurs, le leader de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) ougandaise est au centre d’un buzz mondial. Bien malgré lui.
Les États-Unis ont décidé d’envoyer 100 soldats pour venir à bout des rebelles de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) et de leur chef, Joseph Kony.
Un ancien colonel de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) est jugé depuis lundi à Gulu, dans le nord de l’Ouganda, pour crimes de guerre. Le prévenu nie son implication dans les massacres de civils perpétrés pendant vingt ans par le mouvement rebelle de Joseph Kony.
Pour se protéger contre l’Armée de résistance du Seigneur, des villageois du Sud-Soudan forment des milices d’autodéfense. Une riposte courageuse mais futile.
Le président américain Barack Obama a promulgué une loi réclamant la mise en place d’une stratégie par son administration pour combattre l’Armée de résistance du seigneur (LRA). Cette rébellion ougandaise, qui opère également en Centrafrique, en RD Congo et au Soudan, est considérée comme l’une des plus violentes du monde.
Quatre jours d’atrocités, un massacre « planifié » : Human Rights watch détaille, dans un rapport alarmant, les exactions commises par les rebelles ougandais de la LRA en décembre 2009 dans le nord-est de la RDC.
Des hommes armés ont attaqué mardi la ville minière de Nzako. Des habitants ont été enlevés par ce groupe, reconnu comme des rebelles ougandais par la population.
Le conseil de sécurité de l’ONU a condamné hier les exactions continuelles commises les rebelles ougandais en République Démocratique du Congo, en République Centrafricaine et au Soudan.
Un homme présenté comme étant chargé de la sécurité du rebelle ougandais Joseph Kony a été arrêté en Centrafrique il y a deux semaines. Atyak Okot pourrait être rapatrié dans son pays ce jeudi et y être jugé pour un massacre perpétré à Atiak en 1995.
Plus de 865 civils ont été tués par la rébellion ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) entre Noël 2008 et mi-janvier 2009 dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), affirme l’ONG Human Rights Watch (HRW) dans un rapport publié lundi.
Des combattants de la rébellion ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) ne se sont pas présentés samedi à un rendez-vous fixé pour leur reddition, a indiqué un responsable de l’ONU au Soudan.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a condamné les dernières exactions perpétrées par la rébellion ougandaise Armée de Résistance du Seigneur (LRA) et l’a exhortée à déposer les armes.
Des dizaines de milliers de civils ont fui leurs villages dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC) à la suite d’attaques qui ont fait 189 morts et auraient été menées par l’Armée de résistance du Seigneur, un mouvement rebelle ougandais, selon le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA).
Au moins 35 civils ont été tués cette semaine par la rébellion ougandaise de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) en République démocratique du Congo et au Sud-Soudan, a accusé samedi l’armée ougandaise dans un nouveau bilan.
Le président ougandais Yoweri Museveni a affirmé lundi que les attaques contre la rébellion de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) étaient un succès, alors qu’un porte-parole de la LRA soulignait que sa direction était intacte et souhaitait reprendre les pourparlers de paix.
Le processus de paix en Ouganda semblait en lambeaux au lendemain d’une opération militaire régionale contre le principal camp de la rébellion de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) dans le nord de la République démocratique du Congo (RDC).