Directeur général d’Orange Afrique et Moyen-Orient depuis juillet 2022, Jérôme Hénique détaille en exclusivité pour Jeune Afrique les nouvelles ambitions du groupe de télécommunications présent dans 18 pays du continent.
ChatGPT, identité numérique, cryptomonnaie, Centrafrique, ressources naturelles, leadership et responsabilités des élites… Le fondateur d’Ubuntu Tribe défend un droit à innover au bénéfice des Africains. Et voit dans la technologie le véritable levier pour l’émancipation du continent.
Parmi les dix plus importants tours de table réalisés en 2022 par les jeunes pousses du continent, sept ont atteint ou dépassé les 100 millions de dollars. Une première.
Bénéficier d’un réseau de distributeurs automatiques de billets grâce à KaliSpot, investir en actions ou en cryptomonnaies avec Ejara… Ces entrepreneurs inventent les outils indispensables aux usagers du mobile money.
La libéralisation du secteur bancaire éthiopien aiguise l’appétit des géants africains de la finance. Leur entrée sur le marché s’annonce pourtant délicate.
La start-up américaine reprochait à l’opérateur d’empêcher l’achat de crédit Orange via sa plateforme. Elle avait saisi le régulateur des télécoms sénégalais.
Mastercard revient dans un livre blanc sur les records de croissance du secteur depuis cinq ans, et analyse comment les régulateurs se sont saisis du sujet pour favoriser son développement.
Au moment où le deuxième opérateur du pays fête ses trois ans d’existence, l’implication des équipes du milliardaire français apparaît plus que jamais indispensable à la mise en place de sa feuille de route.
Quelques heures après le lancement officiel de ses services à Addis-Abeba, l’opérateur de télécommunications d’origine kényane a annoncé avoir obtenu une licence pour des services de transfert d’argent par téléphone.
Le PDG de SmartCash, la nouvelle plateforme de mobile money d’Airtel au Nigeria, estime que ce service peut booster l’inclusion financière sans déborder sur les prérogatives des banques traditionnelles.
Le patronat des télécoms pointe la responsabilité de Wave dans la déstabilisation du marché du mobile money après une semaine de grève menée par les propriétaires de points de vente. Ces derniers appliquent désormais des frais supplémentaires lors des transactions.
Depuis Atlanta où il réside, l’entrepreneur sénégalais développe un réseau de guichets automatiques de banque innovants. Il espère convaincre les agents du mobile money de participer à son développement, tout en leur offrant une nouvelle source de revenus.
Tout juste 24 heures après avoir confirmé des suppressions de postes au Mali, au Burkina Faso et en Ouganda, la start-up a annoncé avoir réuni 90 millions d’euros pour son développement en Afrique de l’Ouest.
L’adoption de la cryptomonnaie, qui repose sur la technologie blockchain, menace une partie des transactions en mobile money. Peuvent-elles coexister ?
L’opérateur a nettement revu à la baisse les commissions des points de vente, qui ont lancé une grève de trois jours en réponse. Leurs protestations valent aussi pour Orange, MTN et Moov. Explications.
Peu de Burundais ont un compte en banque, mais ils sont de plus en plus nombreux à disposer d’un abonnement téléphonique. Une aubaine pour les acteurs du mobile banking.
L’ACTU VUE PAR. Chaque samedi, Jeune Afrique invite une personnalité à décrypter des sujets d’actualité. Enjeux environnementaux, concurrence entre banques et opérateurs télécoms, cryptomonnaie et changement de leadership à la tête de son groupe… Alain Nkontchou, président du conseil d’administration d’Ecobank, est le grand invité de l’économie JA-RFI.
Ingénieure formée en France, la directrice régionale de la start-up américaine pour la zone Uemoa incarne la réussite du Sénégal sur la scène tech panafricaine.
« Les 50 champions de la tech 2022 » (1/3). Ils dirigent Chipper Cash, OPay, Wave, TradeDepot, Andela mais aussi MTN, Vodacom, Orange, Google, Amazon, Terraco et Huawei : retrouvez dans ce classement exclusif les trente patrons les plus importants de la tech africaine.
La digitalisation et la mobilisation de capitaux commencent à alimenter la croissance du secteur de la mode de luxe en Afrique, impulsée par une jeunesse africaine fière de sa culture.
Les trois opérateurs ont choisi de séparer leur activité mobile money pour attirer des investisseurs extérieurs. Mais selon certains spécialistes, le modèle low-cost de Wave pourrait mettre à mal leurs objectifs de valorisation.
Pour le patron Afrique de l’opérateur français, l’offensive tarifaire déclenchée par la start-up américaine est destructrice de valeur. La directrice de cette dernière pour la zone Uemoa voit, au contraire, cette baisse de prix comme salutaire.
Grand invité de l’économie RFI/Jeune Afrique, le patron d’Orange en Afrique et au Moyen-Orient commente l’arrivée de la fintech américaine en Afrique de l’Ouest, répond aux critiques sur le prix de l’Internet et salue le rôle positif de l’équipementier chinois Huawei sur le continent.
Dans une récente analyse de l’économie du pays, les experts de l’institution pointent les effets délétères et non anticipés qu’une telle imposition peut avoir. Explications.
L’entrée en vigueur d’une taxe de 0,2 % sur les transactions électroniques met en émoi les usagers camerounais sur les réseaux sociaux. Face à cette mesure du gouvernement Biya, les opérateurs ripostent en ordre dispersé.
Pour Cheikh Tidiane Sarr, DG d’Orange Finances Mobiles au Sénégal, l’arrivée de la start-up américaine a bousculé l’équilibre de l’écosystème construit par Sonatel depuis douze ans. Selon lui, tout le monde est perdant dans cette course aux prix bas.
Après des débuts agités à Dakar, le dirigeant sénégalais, décrit par tous comme un « gros bosseur » et un « chic type », est parvenu à s’épanouir dans l’un des plus grands groupes du continent. Jusqu’à en devenir l’une des pièces maîtresses.
Désormais populaire, la start-up américano-sénégalaise qui défraie la chronique depuis une levée de fonds record de 200 millions de dollars n’a pas surgi de nulle part. Voici son histoire.
Tandis que MTN, Airtel et Vodacom s’engagent sur de nouveaux terrains, le groupe français poursuit une stratégie basée sur les télécoms traditionnelles. Un choix dangereux ?