Après des débuts agités à Dakar, le dirigeant sénégalais, décrit par tous comme un « gros bosseur » et un « chic type », est parvenu à s’épanouir dans l’un des plus grands groupes du continent. Jusqu’à en devenir l’une des pièces maîtresses.
Désormais populaire, la start-up américano-sénégalaise qui défraie la chronique depuis une levée de fonds record de 200 millions de dollars n’a pas surgi de nulle part. Voici son histoire.
Tandis que MTN, Airtel et Vodacom s’engagent sur de nouveaux terrains, le groupe français poursuit une stratégie basée sur les télécoms traditionnelles. Un choix dangereux ?
Un projet de loi visant à réduire les taux d’intérêts exorbitants pratiqués par certaines plateformes de prêts sur internet va être déposé au Parlement. Et si Nairobi était l’exemple à suivre ?
Créée par deux Américains pour baisser les frais des transactions en mobile money, la start-up est sous le feu des projecteurs depuis qu’Orange tente de freiner son développement au Sénégal.
Huit mois après son arrivée à la tête du géant des télécoms, le Zimbabwéen dévoile en exclusivité pour JA les détails de la stratégie qu’il souhaite mettre en œuvre jusqu’en 2025.
Devenu le principal canal de l’aide financière contre les effets de la pandémie, le mobile money a consolidé son modèle en 2020 et obtenu des progrès réglementaires substantiels.
Sentant le vent tourner en faveur de la multiplication des échanges, le spécialiste américain du paiement tente d’intensifier le virage numérique des banques africaines.
Le conglomérat malgache et la banque panafricaine s’allient pour lancer un service de banque mobile affranchi des atouts des télécoms. Un pari que peu ont réussi jusqu’ici.
Mis en cause pour les « dysfonctionnements » de son service de mobile money, Togo Cellulaire risque une sanction de 2 % de son chiffre d’affaires. L’opérateur défend pourtant son offre commerciale et son déploiement rapide de la 5G.
Dans les cinq prochaines années, la sécurité, la qualité du réseau et la réglementation seront les clés d’un déploiement du mobile money qui pourrait profiter à des centaines de millions d’Africains, estime la directrice financière de Huawei Northern Africa.
La fintech sénégalaise InTouch table sur plus d’un milliard d’euros de transactions en 2020, portée par les nouvelles opportunités créées par le Covid-19.
Dans un contexte de pandémie de Covid-19, voilà un secteur qui ne connaît pas la crise. Si le paiement dématérialisé accélère fortement, le marocain HPS n’est pas en reste.
Si la plateforme de services financiers a accumulé les erreurs à l’international, son hégémonie domestique lui offre la latitude de repenser sa stratégie en vue de succès durables hors de ses bases.
Suppression des commissions et des frais sur les transactions… Les mesures adoptées pour répondre à la pandémie représentent un « sacrifice » de plusieurs milliards de dollars.
À l’origine de la diversification des services de l’application de paiement par mobile, ce Kényan de 43 ans a été choisi par Vodacom et Safaricom pour diriger la nouvelle coentreprise chargée de faire de M-Pesa une entité à part entière.
Avec 50 millions de nouveaux comptes créés sur le continent en 2019 et une croissance des inscriptions de 12 %, l’Afrique est de loin le premier continent en matière de mobile money. Mais ce développement reste inégal selon les régions.
Malgré sa percée remarquable au Kenya, le modèle de monnaie électronique n’a pas connu une croissance véritablement comparable ailleurs sur le continent. Comment l’expliquer ?
L’unification et la simplification des systèmes de paiement mobile ne concernent plus seulement les opérateurs de télécoms, mais aussi les banques et les commerçants du continent.
L’opérateur kényan a été récompensé fin février par l’association GSMA, à la fois pour la « contribution remarquable à l’industrie du mobile » que constitue la création du paiement mobile et pour DigiFarm, son application destinée aux agriculteurs.
Ce 18 février, la cour d’appel de Paris a reconnu la compétence des juridictions parisiennes dans une partie de l’affaire qui oppose la société E-Doley Finance à BGFIBank.
Verser les salaires des fonctionnaires ou percevoir les impôts par téléphone : telle est depuis le début du mois de janvier la nouvelle stratégie de la Centrafrique pour lutter contre la corruption et le brigandage. Mais cette numérisation des flux financiers n’en est encore qu’à ses prémices.
Plusieurs start-up nigérianes viennent de lever près de 400 millions de dollars. Les entreprises du secteur veulent faire du pays un tremplin continental.
Les applications offrant des services en ligne grignotent du terrain sur les institutions traditionnelles, avec des pratiques parfois peu scrupuleuses. Mais des mesures sont prises pour les encadrer.
Le géant américain du paiement fait irruption sur le secteur des transferts d’argent vers le continent avec sa filiale Xoom. Sa stratégie reste cependant encore incertaine.