En déviation du calendrier, S&P vient de publier un rapport sur la note souveraine du Burkina. Selon l’agence américaine, la récente tentative de coup d’État n’a pas eu d’effet notable sur les perspectives du pays.
Fitch a abaissé la notation à long terme de l’Angola à « B+ », en raison de l’impact du recul du cours du pétrole sur l’économie. L’agence américaine a maintenu la note du Nigeria à « BB-« , avec des perspectives « négatives ».
L’agence de notation à passer de « stables » à « négatives » les perspectives de la note de l’Angola, maintenue à « B+ ». En cause : les déficits du budget et des comptes extérieurs entraînés par le recul des cours du pétrole.
L’agence de notation a abaissé les perspectives de la note souveraine du Gabon de stables à négatives en raison du retard mis par Libreville à assurer le service de certains emprunts.
Fitch maintient la notation de la Côte d’Ivoire, pariant sur un maintien de la croissance enregistrée au cours des dernières années. L’agence rappelle toutefois l’impact que pourrait avoir l’instabilité politique sur la performance économique du pays ouest-africain.
L’attaque terroriste de Sousse, durant laquelle 38 touristes ont perdu la vie, devrait entraîner un net ralentissement de la croissance économique en Tunisie. L’agence de notation Fitch Ratings a abaissé de près d’un point ses prévisions de croissance du PIB du pays en 2015.
L’agence de notation Fitch tire les conséquences de résultats financiers exceptionnellement moins bons que prévu pour le groupe avicole marocain et d’un niveau d’endettement élevé.
Après Standard & Poor’s, c’est au tour de Fitch Ratings d’abaisser d’un cran la notation souveraine du Gabon, en raison des conséquences de la chute des prix du baril sur les comptes publics.
Après avoir abaissé celle du Congo-Brazzaville, l’agence Standard & Poor’s vient de dégrader d’un cran, de « BB- » à « B+ », les notes souveraines de l’Angola et du Gabon. Celle du Nigeria a été placée sous surveillance négative. En cause : la chute des cours du pétrole.
L’agence de notation Bloomfield Investment a accordé la note « BB+ » au district d’Abidjan. La capitale économique de la Côte d’Ivoire obtient une notation inférieure à celles de la ville de Dakar et de la commune du Plateau, son centre des affaires. Explications.
West Africa Rating Agency (WARA) a levé la surveillance négative sous laquelle elle avait placé les notes des entreprises burkinabè Coris Bank International et Onatel. L’agence régionale salue la volonté du Burkina Faso de sortir rapidement de la « phase de transition politique ».
L’agence de notation Fitch a maintenu la note « B » attribuée aux émissions souveraines de la Côte d’Ivoire, avec des perspectives favorables. Et cela en dépit d’une croissance économique en 2014 légèrement inférieure aux prévisions des autorités.
L’agence de notation Moody’s vient d’attribuer une première note de crédit aux émissions souveraines du Gabon : « Ba3 » à long terme, avec des perspectives « stables ». Un diagnostic plus optimiste que celui dressé par son homologue Fitch qui a abaissé les perspectives du pays de « stables » à « négatives ». Décryptage.
L’agence Bloomfield Investment a été désignée par le groupe Bank of Africa pour noter six de ses filiales au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Bénin, au Mali, au Niger et au Burkina Faso.
Suite aux événements ayant mené à la dissolution du gouvernement burkinabè le 30 octobre, l’agence de notation WARA a mis sous surveillance négative l’opérateur télécoms Onatel et Coris Bank International. Elle dispose de 90 jours pour abaisser ou maintenir leurs notes.
Bloomfield attribue pour la première fois la note « BBB » avec une perspective positive à long terme et « A3 » sur le court terme à Camtel. Si l’agence de notation reconnaît une amélioration de la gouvernance, la fragilité de la structure financière de l’opérateur historique des télécoms camerounais l’inquiètent.
Bloomfield Investment a maintenu la note « BBB+ » attribuée à la commune de Dakar. L’agence de notation financière a toutefois abaissé ses perspectives de « positives » à « stables ». En cause : l’incertitude entourant la réforme des collectivités territoriales.
L’agence de notation Standard & Poor’s a confirmé la note « B+ » attribuées aux émissions souveraines de longue maturité de la République du Congo et de la Zambie, avec des perspectives stables pour Brazzaville, mais négatives pour Lusaka. Le pays d’Afrique australe paie le prix de la dégradation de ses comptes publics et extérieurs.
Pour Standard & Poor’s, l’épidémie d’Ebola, qui a entraîné plus de 1400 décès en Afrique subsaharienne depuis décembre 2013, n’a aucun « impact immédiat » sur la notation des 20 pays africains couverts par l’agence de notation, notamment le Nigeria et la RD Congo où des cas d’infections ont été détectés.
Stanislas Zézé, PDG de Bloomfield Investment, et Jean-Paul Tonga, directeur des opérations de l’agence de notation basée à Abidjan, reviennent pour « Jeune Afrique » sur l’impact du succès de l’eurobond de la Côte d’Ivoire, première économie de la zone UEMOA – sur les entreprises de la région et leur rapport au processus de notation.
Standard & Poor’s maintient les notes attribuées à l’Angola à BB-/B pour les émissions de long et de court terme, en devises étrangères et en monnaie locale, avec des perspectives stables. Selon l’agence américaine, la faillite de Banco Espirito Santo n’aura que très peu d’impact sur l’économie angolaise.
L’agence de notation Fitch Ratings a mis à jour les notes attribuées aux banques marocaines. Globalement inchangées, ces évaluations réflètent la confirmation de la notation souveraine du Maroc : un « BBB- » assorti d’une perspective stable attribué en avril dernier.
Le Rwanda a été noté B+ par l’agence Fitch Ratings. Comment expliquer que ce pays, avec un PIB de 7,5 milliards de dollars, soit mieux noté que le Ghana (48 milliards de dollars) ou l’Égypte (272 milliards de dollars) ? « Jeune Afrique » propose un décryptage des facteurs qui influencent l’évaluation du risque souverain en Afrique.
L’agence de notation Fitch vient d’attribuer, pour la première fois, une note souveraine à la Côte d’Ivoire : B, comme le Ghana et l’Éthiopie, avec des perspectives positives. Cette note est toutefois inférieure d’un cran à celle (B1) accordée au pays par Moody’s.
L’agence de notation Moody’s vient d’attribuer, pour la première fois, une note souveraine à la Côte d’Ivoire : B1, comme le Sénégal, le Ghana, la Zambie, le Mozambique et le Kenya. L’agence de notation a attribué la même note à l’émission obligataire de 500 millions de dollars que va lancer le gouvernement ivoirien en juillet.
L’agence de notation internationale Standard & Poor’s a révisé la perspective de la note marocaine de négative à stable, en raison de la réduction des déficits jumeaux et de la réforme des subventions.