L’opération Barkhane a été lancée le 1er août 2014. Opération militaire dirigée par l’armée française au Sahel, elle a pour objectif la lutte contre les groupes armés djihadistes de la région. Elle fait suite aux opérations précédentes de même nature, Serval et Épervier.
Le président Ibrahim Boubacar Keïta a affirmé samedi que sa priorité restait la « sécurisation » du Mali à l’occasion du 58e anniversaire de l’indépendance du pays et du début de son second mandat.
L’Est du Burkina Faso est en proie à une recrudescence d’attaques depuis le début de l’année. Le gouvernement affirme avoir déployé des moyens supplémentaires face à une nébuleuse dont les motivations restent encore floues.
L’un des principaux responsables du groupe État islamique au Grand Sahara (EIGS), Mohamed Ag Almouner, et deux civils ont été tués dans une opération de l’armée française dimanche dans la région de Ménaka, a annoncé lundi l’état-major français.
Le président français et le secrétaire général des Nations unies ont été les premiers à contacter Ibrahim Boubacar Keïta pour le féliciter de sa réélection, quelques heures après la publication des résultats le donnant vainqueur de la présidentielle. Des résultats remis en cause par l’opposant Soumaïla Cissé et qui doivent encore être validés par la Cour constitutionnelle.
La ministre française des Armées, Florence Parly, a rencontré jeudi au Niger son homologue nigérien, Kalla Moutari et le président Mahamadou Issoufou, pour « renforcer la dynamique opérationnelle » de la force antijihadiste du G5 Sahel.
La stratégie qui privilégie une option militaire disproportionnée à la frontière entre le Niger et le Mali fait peser un risque sur la région : celui de créer un nouveau foyer d’insurrection. C’est le constat que dresse l’International Crisis Group, qui fait une série de recommandations.
Minusma, Barkhane, G5 Sahel… Malgré les multiples dispositifs mis en place depuis janvier 2013, la situation sécuritaire au Mali reste plus que préoccupante. Quelle sont les finalités des actions militaires menées au Mali ? Quelle est l’utilité de cette présence militaire étrangère ?
De violentes explosions ont retenti dimanche à Tombouctou, dans le nord du Mali, non loin de bases de casques bleus et de militaires français. Celles-ci avaient été prises pour cible le week-end dernier.
Sept soldats français ont été blessés dans l’attaque qui a visé samedi les camps de la Minusma et de la force française Barkhane à Tombouctou, dans le nord du Mali, au cours de laquelle « une quinzaine » d’assaillants ont été tués, a annoncé dimanche à l’AFP l’état-major français.
Six soldats maliens ont péri mercredi dans l’explosion de leur véhicule sur une mine artisanale, près de Dioura, à l’ouest de Mopti. L’information a été confirmée à JA par l’armée malienne.
Directement visés par la lente montée en puissance de la force du G5 Sahel aux confins du Mali, du Burkina Faso et du Niger, les groupes jihadistes tentent de la contrecarrer par des attaques de plus en plus meurtrières, selon des experts.
Malick Ag Wanasnat, ancien colonel de l’armée malienne présenté comme un proche d’Iyad Ag Ghaly, aurait été abattu ce mercredi 14 février dans un raid mené par l’armée française à Tinzawaten, près de la frontière entre le Mali et l’Algérie. Au moins dix jihadistes présumés ont été tués dans ce qui est présenté comme un bastion d’Ansar Eddine.
Les chefs d’État du G5 Sahel se sont réunis mardi à Niamey. Mahamadou Issoufou a été désigné nouveau président en exercice de l’organisation sahélienne, laquelle sera désormais gérée par un autre Nigérien, Maman Sidikou, nommé au poste de secrétaire permanent.
Le président Emmanuel Macron est attendu vendredi en fin de journée au Niger, pour réveillonner avant l’heure avec les soldats français déployés pour lutter contre les groupes jihadistes au Sahel.
Pour mieux combattre les jihadistes, les États-Unis et la France vont déployer au Niger des appareils armés, des drones, qui pourront frapper du lac Tchad au Sud libyen. Mais ces engins suscitent des critiques…
Quatre personnes ont été blessées jeudi dans le crash d’un hélicoptère sur un magasin d’un quartier populaire d’Abidjan, a indiqué un haut responsable de la police ivoirienne.
Le Conseil de sécurité a adopté vendredi à l’unanimité une résolution autorisant les Casques bleus de la force de l’ONU déployée au Mali à apporter un soutien logistique et opérationnel à la force antijihadiste naissante G5-Sahel.
L’enquête interne menée par le ministère français de la Défense après la mort d’un enfant de 10 ans tué dans une opération de la force Barkhane, il y a un an, dans le nord du Mali, « n’a relevé aucune faute individuelle ou collective dans l’usage de la force ».
Assassinat de Thomas Sankara, lutte contre le terrorisme, migration, éducation… pendant plus de deux heures, le président français Emmanuel Macron s’est adressé aux étudiants de l’Université de Ouagadougou, pour la première étape de sa tournée africaine. Retour sur les points clés de son intervention.
L’opération menée par Barkhane près d’Abeïbara, dans la nuit du 23 au 24 octobre dernier, n’aurait pas été au menu des discussions entre le président malien et la ministre française des Armées, lors du Forum de Dakar, mi-novembre. C’est ce qu’affirment leur entourage.
La ministre française des Armées était à Dakar au Forum international sur la paix et la sécurité en Afrique. Mise en place de la force conjointe du G5 Sahel, évolution de l’opération Barkhane, lutte contre le terrorisme… Florence Parly répond aux questions de Jeune Afrique.
Deux semaines après les faits, le Mali a finalement confirmé, dans un communiqué rendu public ce lundi, la mort de ses onze militaires détenus par un groupe terroriste et tués le 23 octobre dernier lors d’une opération anti-terroriste de l’armée française dans le cadre de l’opération Barkhane.
Onze militaires maliens prisonniers d’un groupe jihadiste au Mali auraient été tués dans la nuit du 23 au 24 octobre à Abeibara, dans la région de Kidal, dans le nord-est du pays, après un raid anti-terroriste de l’armée française.
Soutenue sur le terrain par la France, la nouvelle force anti-jihadiste G5 Sahel a lancé ce 31 octobre ses opérations aux confins du Mali, du Burkina Faso et du Niger, dans une zone très instable devenue un foyer pour les groupes extrémistes.
Quatre jour après le crash d’un avion dans la capitale économique ivoirienne, samedi, les causes exactes de l’accident restent floues. On en sait plus sur le plan de vol de l’avion et sur les passagers, parmi lesquels des hommes des forces spéciales françaises engagées dans l’opération Barkhane au Mali.
À quelques mois de la prochaine présidentielle, qui devrait se tenir en juin 2018, le Premier ministre malien Abdoulaye Idrissa Maïga défend le bilan du gouvernement et d’Ibrahim Boubacar Keïta. Vice-président du RPM (le parti présidentiel) et ex-directeur de campagne d’IBK en 2013, il souhaite aussi que le chef de l’État brigue un second mandat. Interview.
En moins d’une semaine, c’est déjà la troisième fois qu’ils manifestent contre la présence des soldats français dans le nord-est du Mali. Des habitants de Kidal sont de nouveau sortis dans les rues lundi 9 octobre pour réclamer le départ de Barkhane de leur ville, contrôlée par d’anciens rebelles touareg.
En visite dans le nord du pays, le président tchadien Idriss Déby Itno a limogé de hauts responsables politiques et militaires de cette région où les inquiétudes sécuritaires sont grandes.
De passage à Paris du 26 au 30 septembre, Soumaïla Cissé en a profité pour entretenir ses réseaux français à moins d’un an de la présidentielle au Mali, prévue pour juillet 2018.
Grosse frayeur pour l’armée française dans le ciel tchadien. Un aviateur français a été blessé jeudi 28 septembre en s’éjectant d’un Mirage 2000 qui s’est écrasé au décollage sur la base de N’Djamena, a annoncé l’armée de l’air.