Le 15 juillet, le gouvernement ivoirien a introduit le R21/Matrix M dans son programme élargi de vaccination des enfants. Validé par l’OMS, ce sérum antipaludéen est critiqué par les « antivax ».
Une nouvelle étude scientifique envisage l’évolution du paludisme sur le continent sous l’effet du réchauffement climatique. Elle offre également, dès aujourd’hui, des outils pour mieux gérer la maladie infectieuse.
Le Cameroun a lancé ce 22 janvier la première campagne de vaccination systématique et à grande échelle au monde contre le paludisme. Une « étape historique », selon l’OMS.
L’épidémiologiste ougandais revient sur les avancées de la recherche contre le paludisme, alors que deux vaccins ont déjà été homologués par l’Organisation mondiale de la santé.
De nombreuses études font état d’une résistance partielle aux traitements contre le paludisme. Pourtant, le continent peut endiguer le phénomène. À condition de réagir vite, selon un trio d’experts de l’African Leadership for Act Resistance Mitigation*.
La reconnaissance d’un second vaccin antipaludique par l’OMS, en l’espace de trois ans, lève un espoir dans la lutte contre ce fléau. Comment agissent le R21/Matrix-M et le RTS,S/Mosquirix ? Qui les fabrique ? Décryptage.
En 2020, le président malgache Andry Rajoelina projetait de sauver le monde du Covid-19 avec sa tisane à l’artemisia. Trois ans plus tard, le buzz est retombé, mais pas le business autour de la précieuse plante anti-paludéenne.
Pris dans la guerre qui oppose Abdel Fattah al-Burhane à Hemetti, les habitants de Khartoum doivent faire face à un nouveau danger. Des milliers de corps se décomposent dans les rues de la capitale, exposant la population à un risque sanitaire majeur.
Célébrant ses scores sur les réseaux sociaux, la pasionaria du néopanafricanisme digital antifrançais a posté une vidéo où on la voit danser en s’éventant avec une liasse de billets. En sous-titre : « Pas d’argent, pas d’amis. »
Plus de 650 000 décès enregistrés en 2022… Le paludisme, dont c’était la journée internationale de lutte ce 25 avril, reste l’un des fléaux majeurs de la planète, et notamment du continent africain. Un ennemi commun que l’humanité ne pourra vaincre qu’en conjuguant les efforts du Nord au Sud.
Le patron du groupe Wagner mise sur sa présence sur le continent, où ses menées anti-françaises viennent appuyer la stratégie du Kremlin, pour marquer encore des points auprès de Vladimir Poutine.
Renversé le 5 septembre 2021 et désormais en exil en Turquie, l’ancien président guinéen est poursuivi par la justice de son pays. Pour ses avocats, les accusations dont il fait l’objet sont scandaleuses.
L’Organisation mondiale de la santé estime à 627 000 le nombre de décès dus au paludisme en 2020. Pourtant, des initiatives permettraient de contrer ce fléau : persuader les entreprises du secteur privé de se mobiliser, multiplier les partenariats et diversifier les actions.
« Game changers » (1/7). Antipaludéen, traitement contre Ebola, étude des génomes africains… Ces scientifiques acharnés et visionnaires ont réussi quand personne n’osait y croire.
Alors que la malaria tue davantage que le coronavirus sur le continent africain, le vaccin pour l’éradiquer continue ses essais prometteurs, mais n’a toujours pas obtenu l’approbation de l’Organisation mondiale de la santé.
À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, Olivia Ngou, directrice exécutive de l’ONG Impact Santé Afrique, appelle les dirigeants africains à investir plus massivement dans les systèmes de santé.
« Ces Africaines qui bousculent la science » (4/5). Face à la résistance des parasites responsables du paludisme aux traitements à base d’artémisinine, la jeune scientifique congolaise met en avant la pharmacopée traditionnelle.
« Ces Africaines qui bousculent la science » (1/5). Spécialisée dans l’utilisation des plantes endémiques, cette doctorante camerounaise rêve de développer une alternative aux insecticides chimiques.
Selon l’OMS, le paludisme pourrait faire 46 000 morts supplémentaires en 2020, en raison des perturbations engendrées sur les systèmes de santé par la prise en charge de la pandémie de coronavirus.
Selon l’OMS, le nombre de décès dus au paludisme, maladie parasitaire responsable de près d’un demi-million de morts chaque année, pourrait doubler en 2020 à cause du coronavirus.
La sixième conférence de reconstitution du Fonds mondial contre le VIH, la tuberculose et le paludisme s’ouvre ce mercredi 9 octobre à Lyon. Objectif : collecter au moins 14 milliards de dollars pour venir à bout de ces épidémies qui touchent notamment le continent africain.
Le chercheur congolais Jérôme Munyangi affirme avoir été « persécuté » en RDC pour avoir fait la promotion de l’artemisia comme traitement contre le paludisme. Au-delà des déboires du jeune homme dans son pays, c’est la violence de la controverse autour de cette plante qui resurgit à nouveau.
Face aux alertes de double épidémie de paludisme et de choléra, des responsables burundais dégainent le sempiternel discours politicien. Et les adeptes des théories conspirationnistes s’en donnent à cœur joie…
Le Burundi est confronté à une flambée de paludisme atteignant des « proportions épidémiques ». Plus 1 800 personnes sont mortes des suites de la maladie depuis le début de l’année, selon l’ONU, soit autant que le nombre de victimes d’Ebola en un an, en RDC voisine.
On me dit qu’il se trouve encore des hommes et des femmes pour penser que, le XIXe siècle ayant été européen et le XXe américain, le XXIe siècle sera russe. S’ils existent, ils sont russes et subjectifs. Ils se trompent en tout cas. Mais ce XXIe siècle, qui en est déjà à sa dix-neuvième année, a-t-il encore une chance d’être africain ? C’est, hélas, peu probable.
Pour venir à bout du paludisme, les partisans de l’artemisia, une plante qui guérirait de la maladie, tentent depuis plusieurs années de faire reconnaître ses propriétés. À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre la malaria, Jeune Afrique revient sur le débat qui fait rage entre les adeptes et les adversaires de la plante.
L’Organisation mondiale de la santé a publié son rapport annuel sur le paludisme le 19 novembre. Si le nombre de cas à l’échelle semble stagner par rapport à 2017 et même diminuer sur certains continent, l’Afrique reste en première ligne face au fléau.
Des moustiques génétiquement modifiés pour lutter contre le paludisme : le projet Target Malaria envisage d’effectuer dans les « prochains mois » un lâcher expérimental, mais le procédé est décrié par des organisations de la société civile qui craignent une « catastrophe ».
Bismark Owusu a retiré toute la vaisselle et la nourriture dans cette minuscule maison d’une seule pièce dans le centre du Ghana. Il a recouvert les habits et les meubles d’une grande bâche en plastique: l’opération de pulvérisation d’un insecticide de 3ème génération peut commencer.