Les pays engagés dans des négociations marathon à la conférence de l’ONU de Lima en vue de limiter le réchauffement climatique sont parvenus dimanche à dépasser un clivage Nord-Sud et à conclure in extremis à un accord.
À l’ouverture du sommet de l’ONU sur le climat à New York, Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies, a appelé mardi les dirigeants du monde à « changer de cap » et à « faire preuve de leadership » en s’engageant à conclure un « accord universel » sur le climat fin 2015 à Paris.
À l’occasion du sommet sur le climat organisé le 23 septembre à New York par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, « Jeune Afrique » publie sa carte des 15 lieux les plus menacés par le réchauffement global. Vivez-vous dans l’un d’entre eux ?
Ban Ki moon, le secrétaire général de l’ONU, a annoncé lundi la nomination de deux envoyés spéciaux sur le changement climatique : le Ghanéen John Kufuor et le Norvégien Jens Stoltenberg.
L’heure est grave. La crise climatique s’accélère, le réchauffement climatique affecte nos ressources agricoles, halieutiques, hydriques, freine notre développement et coûte de plus en plus cher à nos économies et nos populations.
Quels sont les pays les plus vulnérables au changement climatique ? C’est la question que s’est posée le cabinet britannique d’analyse des risques Maplecroft, qui a publié, mercredi, un rapport sur les conséquences des bouleversements en cours mais également sur la capacité des États et des sociétés à s’y adapter. Or l’Afrique, et notamment le Golfe de Guinée a, selon l’étude, de quoi s’inquiéter.
La ville de Durban, en Afrique du Sud, sera le théâtre pendant deux semaines des négociations climatiques entourant la 17ème conférence de l’ONU sur le sujet. Au cœur du débat, la lutte contre le réchauffement climatique, dont Desmond Tutu s’est fait le porte-parole improvisé.
Les moustiques s’aventurent de plus en plus sur les hauts plateaux d’Afrique de l’Est, et avec eux la menace du paludisme, une possible conséquence du réchauffement climatique, même si les scientifiques demeurent divisés sur la portée de ce phénomène.
L’accord conclu à Copenhague le 19 décembre est une déception : il se borne à aligner belles promesses et déclarations d’intention. Mais il comporte aussi un certain nombre d’éléments encourageants.
La conférence sur les changements climatiques réunie sous l’égide des Nations unies à Copenhague a débouché sur un consensus minimal sans engagements contraignants. Les prochains sommets sur le climat prévus en 2010 auront pour tâche d’applanir les difficultés non résolues.
Après avoir reçu le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi, le 15 décembre, le président français Nicolas Sarkozy recevait le lendemain cinq chefs d’Etat d’Afrique centrale. Au menu: crédits carbone, lutte contre la déforestation et… 10 milliards de dollars.
Les chefs d’État du monde entier se sont donné rendez-vous à Copenhague pour tenter d’inverser le cours du dérèglement climatique. Principale victime du réchauffement de la planète, l’Afrique saura-t-elle défendre ses intérêts ?
Hausse prévue des températures d’ici à 2100 : entre 3 et 6 °C. Cette élévation des températures augmentera la fréquence et l’intensité des événements météorologiques extrêmes. Présentation des dix régions du continent les plus exposées à des risques climatiques.
Deux mois avant le sommet crucial de Copenhague, l’Afrique, continent le plus vulnérable au réchauffement du climat, a placé la barre très haut en estimant vendredi à Ouagadougou avoir besoin de 65 milliards de dollars pour faire face aux nouveaux défis climatiques.
Très vulnérable au réchauffement climatique, l’Afrique se réunit de vendredi à dimanche à Ouagadougou pour affirmer sa position, avec probablement une demande de compensations financières, avant le sommet de Copenhague sur le climat en décembre.
Lorsqu’il était jeune, Wasamu Maate contemplait les neiges éternelles de la chaîne des Ruwenzori. « Le froid a disparu » se lamente le vieillard, et le réchauffement climatique a grignoté le manteau neigeux du pic Marguerite, le troisième sommet d’Afrique à 5510 m.
Les ministres africains de l’Environnement, réunis vendredi à Nairobi, se sont accordés sur une position commune dans la perspective du sommet mondial sur le climat à Copenhague en décembre.
Le Bangladesh a besoin d’urgence qu’on l’aide à se doter d’une agriculture résistante au climat si l’on veut que ses populations puissent survivre et prospérer à long terme, selon certains experts.