Le recours aux intrants chimiques est-il le seul moyen d’atteindre la souveraineté alimentaire ? À quelques jours de la COP28, et alors que l’agriculture doit s’adapter à marche forcée au dérèglement climatique, analyse en infographies des dégâts provoqués par ces pesticides.
Les feux de forêts qui ont ravagé l’Algérie ces dernières années ont pris des proportions si dramatiques que la Banque mondiale a décidé de publier un rapport sur le sujet. Tout en reconnaissant les efforts constants d’Alger en la matière, l’institution suggère des pistes d’amélioration.
Au nom d’une « transition juste » et du droit des Africains à profiter des richesses de leur sous-sol, nombre d’États ont lancé des projets pétroliers ou gaziers. Mais cette stratégie entraînera-t-elle un développement économique à même de répondre aux besoins des populations locales ? Réponse en infographies.
Agenda chargé pour Azali Assoumani en janvier et février 2024. Il remettra son mandat en jeu dans son pays et, dans le même temps, cèdera sa place à la tête de l’Union africaine, après une année d’exercice jugée globalement réussie par les différents observateurs.
Sanctions, pacte de convergence, monnaie commune… Le patron de la Commission de l’Uemoa explique la stratégie de l’Union, à l’heure où trois des huit pays membres sont dirigés par des régimes militaires.
Derrière les récents coups d’État et la colère contre les gouvernements défaillants se cache la fragilité causée par le réchauffement climatique. Des voix de plus en plus fortes s’élèvent sur le droit du continent à s’industrialiser et sur son besoin de financement pour s’adapter.
La pollution au plastique, détectée dans le corps humain comme au fond des océans, doit faire l’objet d’âpres négociations à Nairobi pour parvenir à un traité international contraignant.
Le gouvernement kényan vient d’annoncer que le 13 novembre prochain serait férié et que les citoyens devront utiliser cette journée pour planter des arbres.
Alors que la déforestation s’accélère et que le dérèglement climatique fait chaque jour plus de dégâts, le second Sommet des trois bassins forestiers a tenté de fédérer l’Afrique, l’Amazonie et l’Asie du Sud pour organiser leur survie. Décryptage des menaces qui pèsent sur la forêt du bassin du Congo en infographies.
Présent à Brazzaville lors du Sommet des trois bassins, Félix Tshisekedi avait soigneusement préparé sa venue afin d’éviter Paul Kagame, qui a finalement renoncé à venir. Et son discours pour le moins pugnace a agacé certains de ses pairs.
Pays du Nord et du Sud peinent toujours à se mettre d’accord sur les modalités d’établissement d’un fonds pour les « pertes et dommages » climatiques. À quelques semaine de la COP28, son président a estimé ce 27 octobre qu’une absence de progrès sur cette question ne serait « pas acceptable ».
Les participants au sommet de Brazzaville consacré aux trois grands bassins forestiers tropicaux mondiaux ont constaté le besoin d’une plus grande collaboration internationale pour protéger la forêt, essentielle à la régulation du climat.
Derrière la multiplication des sinistres environnementaux qui endeuillent les capitales africaines se cache parfois le laisser-faire pragmatique des États face aux pratiques condamnables des marchés fonciers informels.
Selon nos informations, Paris a souhaité discuter avec les émissaires des nouvelles autorités gabonaises des grands dossiers du moment. Il s’agit de la première réunion entre membres des gouvernements des deux pays.
Aux assemblées générales des institutions de Bretton Woods à Marrakech, le président de la BM, Ajay Banga, a appelé à endiguer ce qu’il considère comme « un recul des progrès » dans le combat contre la pauvreté.
Crise de la dette, réchauffement climatique, réduction trop lente de la pauvreté… Pour le rassemblement annuel des deux institutions internationales, le continent sera au cœur de nombreuses conversations.
En amont des assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale, du 9 au 15 octobre à Marrakech, Ousmane Diagana, vice-président Afrique de l’Ouest et Afrique centrale de la Banque mondiale, livre son diagnostic sur les sujets brûlants de l’actualité.
Le rejet par le président tunisien Kaïs Saïed de l’accord proposé par l’UE a mis en lumière les malentendus et les sujets de désaccord, notamment sur la question migratoire, dans les partenariats Europe-Afrique. Pour l’ancien député tunisien Hatem Mliki, l’Union africaine doit avoir voix au chapitre.
Pour l’ex-président du Nigeria, une exploitation raisonnée des ressources naturelles du continent permettrait d’accélérer son développement économique sans freiner ses objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre.
Au Maroc comme en Libye, les récentes catastrophes naturelles sont venues rappeler que l’Afrique du Nord a toujours été une zone sujette aux cataclysmes de toutes sortes. Rappel historique.
Tandis que les équipes de secours internationales continuent à arriver dans le pays, de nouveaux corps de victimes sont découverts chaque jour et les recherches sont compliquées par le boue et les difficultés logistiques.
Le Congo a réussi son dernier examen de passage auprès du FMI, son économie redécolle, et, à deux ans et demi de la présidentielle, le chef de l’État a les mains libres – et du temps – pour se consacrer aux dossiers internationaux.
Depuis 1998, les deux édifices qui ont rompu à Derna, provoquant des inondations meurtrières dans cette ville de l’est de la Libye, présentaient des fissures qui n’ont jamais été réparées.
Six jours après les inondations catastrophiques qui ont frappé l’est de la Libye, faisant des milliers de morts et de disparus, des organisations humanitaires ont mis en garde contre le risque croissant de propagation de maladies.
Pour l’ancien président français, la surpopulation – africaine notamment – est la première cause de dérèglement climatique. Une affirmation qui, en plus d’être inexacte, s’appuie sur des théories climatosceptiques maintes fois battues en brèche par les experts. Mise au point en infographies.
L’état du pays après des années de conflit et l’inefficacité des autorités sont pointés du doigt par les habitants et la communauté internationale pour expliquer l’ampleur du désastre.