En Égypte, premier pollueur en plastique du Moyen-Orient et d’Afrique, de jeunes entrepreneurs tentent de transformer les millions de tonnes de déchets qui inondent le Nil, la Méditerranée et les décharges à ciel ouvert.
Le gouvernement congolais a publié dans la soirée du 18 janvier les noms des sociétés sélectionnées pour exploiter trois blocs gaziers dans l’est du pays.
Les conflits liés à l’eau potable ont explosé ces dix dernières années, 30 % de la population mondiale n’y ayant toujours pas accès. En cause, plus que des raisons techniques : la raréfaction de la ressource naturelle, le changement climatique, les financements et les choix politiques.
Avec « Walangan, le delta du fleuve Sénégal en résistance », Yves Barou et Djibril Majigeen prennent le pouls d’un environnement vital pour le pays et menacé par le dérèglement climatique.
Béjaïa, en basse Kabylie, est le fief de l’oléiculture en Algérie. Entre conséquences du réchauffement climatique et concurrence internationale, les producteurs sont confrontés à de nombreux défis.
Du bassin du Congo aux rues de Porto-Novo ou Cotonou, ces deux militantes de la défense de l’environnement ont fait de la lutte contre la pollution ou la déforestation leur cheval de bataille.
Chacun des deux pays compte profiter de l’explosion de la demande européenne en gaz pour faire avancer son propre projet de gazoduc entre le Nigeria et l’Europe. Quelles sont les forces et les faiblesses des deux tracés ? Décryptage en vidéo.
La 15e conférence des Nations unies sur la biodiversité a accouché d’un accord que la majorité des pays du monde encense. Des pays africains sont moins satisfaits.
Depuis les États-Unis, le président de la RDC a déploré le manque d’aide des Occidentaux face aux changements climatiques. Un fléau dont son pays vient d’être à nouveau victime.
Climat, terrorisme, crise économique, FMI, Zlecaf et banques africaines… Invité de Jeune Afrique et RFI lors de l’AFIS, le ministre togolais de l’Économie et des Finances livre son analyse des dossiers chauds du moment.
L’Afrique doit-elle se réjouir de la grand-messe de Charm El-Cheikh ? La conférence mondiale sur le climat s’est conclue dimanche, entre accord historique sur l’aide aux pays pauvres et surplace quant à la lutte globale contre le réchauffement climatique.
Le dessinateur Cédric Kenfack Tiogo et l’entrepreneur Noël Delamar Edzang mettent la dernière main à Caravan for Green. Objectif de ce projet itinérant qui doit démarrer à la fin de l’année : sensibiliser les jeunes vivant dans les zones forestières aux espèces animales menacées.
La COP27 s’est terminée le 20 novembre à l’aube, après avoir adopté un texte très disputé sur l’aide aux pays pauvres affectés par le changement climatique, mais sans nouvelles ambitions pour la baisse des gaz à effet de serre.
De nouveaux mécanismes de financement et de développement de projets sont désormais à la portée des municipalités du continent, invitées à s’inspirer du modèle nordique de transition verte.
Il est indispensable que les nations développées changent de discours lors de la conférence des Nations unies sur le climat qui se tient actuellement à Charm el-Cheikh. Mais rien ne prouve qu’elles le feront.
Las d’attendre des promesses financières qui ne viennent pas de la part des pays industrialisés et alors qu’ils subissent de plein fouet les conséquences du dérèglement climatique, les Africains sont décidés à se faire entendre.
La conférence mondiale de l’ONU sur le climat s’est ouverte dimanche à Charm el-Cheikh, en Égypte, pour tenter de donner un nouveau souffle à la lutte contre le réchauffement climatique et ses impacts, pour lesquels les pays du Sud réclament des dédommagements financiers.
Premiers concernés par le changement climatique, les pays africains doivent être mieux armés financièrement et techniquement pour y faire face, estime la directrice générale du Centre de compétences changement climatique du Maroc.
À quelques jours du lancement du Réseau francophone international en conseil scientifique, un collectif de personnalités (Rémi Quirion, Lassina Zerbo, Damien Cesselin… *) appelle à investir dans la recherche et développement afin que le continent puisse lui-même établir ses priorités.
Londres accueille, les 19 et 20 octobre, les pays francophones du continent pour un Forum sur le commerce et l’investissement. Selon Antoine Huss, de l’Institut Tony Blair, des entreprises britanniques œuvrant dans les secteurs de l’énergie, de la finance, de l’agriculture et des infrastructures manifestent déjà un vif intérêt.
Simon Coulibaly Guillard présente son premier long-métrage, l’histoire d’une jeune fille qui vit son passage à l’âge adulte à Lahou, un village ivoirien peu à peu englouti en raison de la montée des eaux.
L’attribution de la compétition de sports sur glace à un royaume plus connu pour son désert que pour ses neiges éternelles suscite l’indignation des militants des droits humains comme des écologistes.
Très vulnérable au changement climatique, l’Afrique a besoin du soutien financier des pays riches, c’est un fait. Mais elle dispose aussi de nombreux atouts, qui lui permettent de se présenter comme une région riche en opportunités.
À l’approche de la Conférence des Nations unies sur le climat, prévue du 6 au 18 novembre prochain à Charm el-Cheikh, en Égypte, son président, le ministre égyptien des Affaires étrangères, exhorte les dirigeants des pays riches à tenir leurs promesses de financement afin de réparer les injustices subies par les pays du Sud.
Alors que se tient à Dakar, jusqu’au 16 septembre, la Conférence ministérielle africaine sur l’environnement (AMCEN), quatre anciens chefs d’État* plaident pour la mise en place urgente de mesures de conservation de la biodiversité sur le continent, afin d’enrayer le désastre environnemental auquel il est confronté.
Le lancement d’appels d’offres pour l’exploitation de blocs pétroliers et gaziers sur le territoire congolais suscite les critiques des ONG. Félix Tshisekedi se veut au contraire rassurant.
Alors que la communauté internationale peut soutenir les investissements sur le continent, priorité absolue doit être donnée aux infrastructures énergétiques africaines afin de soutenir la demande intérieure.
Alors que des déluges ont endeuillé le nord du pays – plus de 100 000 sinistrés en juin – , le Niger provoque désormais des précipitations dans des zones touchées par la sécheresse et la crise alimentaire. Des avions « ensemenceurs de nuages » s’activent…