L’Égypte et l’Afrique du Sud sont les pays africains qui ont le plus tweeté lors du dernier trimestre 2014. C’est ce qui ressort de l’étude « Comment l’Afrique tweete », une étude de l’agence de communication Portland, publié mercredi. L’Afrique francophone est à la traine mais présente.
Enfin un lieu d’expression libre ! Grâce à un groupe Facebook, portant le nom d’un quartier frondeur de Libreville et fondé par le mystérieux AK, les Gabonais se lâchent sur la Toile.
À la fin de l’année 2013, seulement six chefs d’État africains possèdent des comptes personnels certifiés sur le réseau Twitter. Une situation qui contraste avec la présence croissante des dirigeants du continent sur le site de micro-blogging.
Malgré la surveillance tous azimuts d’internet par les autorités soudanaises, le mouvement de protestation en cours dans le pays continue à se déployer sur la Toile. Hashtags dédiés, crowdsourcing autour d’une carte, sites internet, tout est mis en place pour relayer ce qui se passe sur le terrain.
Alors que Dakar souffre toujours de pénuries d’eau depuis plus de deux semaines, le président sénégalais, Macky Sall, a réagi, jeudi 26 septembre depuis New York, où il s’était rendu pour l’Assemblée générale des Nations unies. Le chef de l’État a lancé un appel au calme alors que des manifestations ont été organisées dans la capitale sénégalaise et que la colère gronde, notamment sur les réseaux sociaux Twitter et Facebook où les Dakarois organisent la solidarité.
On le connaissait sur Twitter, sur Facebook, ou encore à travers son site Internet. Certains le suivent même via ses applications Androïd et Blackberry, disponibles depuis août 2012. Mais Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne, ne s’arrête là : il vient de créer son compte Instagram. Une façon de rester le poids lourd de la politique ivoirienne sur la Toile.
Elles s’y sont (presque) toutes mises. Mais les personnalités politiques africaines ne sont pas toutes égales face à Twitter. Héritage culturel, facilité linguistique, frilosité… Sur le réseau social américain, les francophones perdent pied face aux anglophones. Explications.
Twitter est devenu un élément incontournable de la communication politique en Afrique. Néanmoins, les personnalités politiques francophones sont encore à la traîne par rapport à leurs homologues de langue anglaise. Explications avec Catherine Dernis, directrice conseil de l’agence de communication Hopscotch Système Africa, qui collabore avec des dirigeants africains.
La communication de l’armée israélienne peut-elle se retourner contre elle ? Tsahal, qui fut l’une des premières à utiliser les réseaux sociaux afin de modeler son image, tente aujourd’hui d’éviter le retour de bâton. En cause : la publication sur Facebook de photos dénudées de certaines de ses combattantes. Un strip-tease embarrassant alors que Tel-Aviv tente de contraindre les Juifs ultra-orthodoxes au service militaire.
À un mois du scrutin présidentiel au Mali, les candidats déclarés se déploient petit à petit sur les réseaux sociaux. Si Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) est le plus suivi sur Twitter, c’est son adversaire Soumaïla Cissé qui l’emporte largement sur Facebook. Mais la bataille électorale 2.0 ne fait que commencer…
Twitter n’en finit plus de conquérir l’Afrique. Tiré par l’Afrique du Sud et le Kenya, le réseau social n’épargne pas les capitales francophones, qui se lancent doucement, sans concurrencer, pour le moment, les anglophones, à l’exception d’Abidjan. Découvrez la cartographie, ville par ville, de la twittosphère africaine. Votre quartier est, peut-être, un repaire de « twittos ».
Dans la ville de Goma, un nouveau réseau social se déploie. Kongo Connect est un site communautaire construit avec les moyens du bord par un jeune Congolais de 25 ans, Zacharie Kambale Mayani. Avec pour modèle l’incontournable Facebook.
Les relations entre internautes maghrébins sont au beau fixe. C’est en tout cas ce que révèle une carte interactive développée par Mia Newman, chercheuse diplômée de l’Université américaine de Stanford, qui met en exergue les cinq nations « meilleures amies » de chaque pays sur Facebook.
Un an après avoir pris la tête du réseau social Mxit, qui connaît un immense succès sur le continent, l’entrepreneur sud-africain Alan Knott-Craig Jr détaille ses perspectives d’expansion et sa stratégie de développement d’applications.
Écrivains, musiciens, dramaturges… Les artistes africains sont de plus en plus nombreux à compter sur les réseaux sociaux pour promouvoir leurs créations.
Finis les grands discours. Place à Twitter et aux messages de 140 caractères. Les dirigeants africains sont de plus en plus nombreux à s’essayer à l’exercice, avec plus ou moins d’assiduité et de réussite. Zoom sur les poids lourds de la twittosphère politique africaine.
L’avenir des réseaux sociaux s’écrira-t-il en arabe ? Facebook et Twitter ont révolutionné les paysages médiatiques du Maghreb mais également ceux de la péninsule arabique. En Arabie Saoudite, au Bahreïn ou au Qatar, le web 2.0 a le vent en poupe.
Le Pakistan a bloqué dimanche le réseau social Twitter sur son territoire en raison d’un « concours de caricatures de Mahomet », un contenu jugé « blasphématoire, selon le ministère de la Technologie de l’information. L’islam interdit toute représentation d’un prophète, quel qu’il soit.
C’est un gage de mobilité et de meilleure lisibilité des diplômes à l’international. Le système licence-master-doctorat a fini par s’imposer dans les universités marocaines, tunisiennes et algériennes.
L’un, en partie payant, se veut « global » et compte 2 millions d’inscrits en Afrique. L’autre, totalement gratuit, revendique une spécificité continentale et a conquis 250 000 membres. Double-clic sur Viadeo et LinkedAfrica.
Mark Zuckerberg fait des émules. Après l’homologue musulman de Facebook, IkhwanBook, lancé il y a un an, c’est la version juive orthodoxe qui vient de faire son apparition sur la Toile. FaceGlat compte quelques deux milliers d’inscrits, loin derrière un autre réseau social quant à lui dédié aux Mormons. C’est un fait : la religion, ou plutôt ses adeptes, passe au 2.0.
Pour la deuxième journée consécutive, la population égyptienne est descendue dans la rue pour protester contre le pouvoir. Twitter et Facebook, par lesquels transitaient les appels au rassemblement, ont été bloqués dans le pays.