La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est définie comme l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes.
Si les sociétés camerounaises reconnaissent que la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) peut contribuer à améliorer leur performance économique et financière, très peu la mettent en pratique. Retour sur les résultats d’une enquête menée par l’Institut Afrique RSE, dirigé par Thierry Téné.
Grèves, accidents écologiques, trafics en tout genre… Conscients que leur image n’est pas toujours reluisante, les géants du secteur minier adoptent des politiques de responsabilité sociale des entreprises en faveur des populations en Afrique. Parmi leurs domaines d’action : la santé, l’emploi, la formation.
Cinq projets du programme BipBop du groupe français Schneider Electric ont été sélectionnés dans le cadre du « Forum Afrique – 100 innovations pour le développement durable », organisé à Paris le 5 décembre.
Au cours de l’Africa Oil Week, aucune société pétrolière ne manque de mettre en avant sa politique de responsabilité sociale. Une salle d’une centaine de places était réservée pour une session parallèle sur ce thème.
Ginette Leclerc et Lubomir Roglev (photo) sont associés chez Fasken Martineau, un cabinet d’avocats international d’origine canadienne spécialisé en droit des affaires et en litige.
Respecter l’environnement et prévenir les risques sociaux, tout en dopant ses bénéfices… Tous les décideurs en rêvent. Après les multinationales, la « responsabilité sociétale des entreprises » conquiert le coeur des groupes africains.
Depuis 2009, les récompenses pleuvent sur la société marocain Cosumar. La FAO, l’agence de notation extrafinancière Vigeo, le Rotary Club saluent les « initiatives citoyennes » du groupe sucrier.
Pour Thierry Téné, promoteur de la RSE sur le continent, les choses sont claires : il ne s’agit pas de philanthropie, mais d’un outil de performance et de compétitivité.
Le holding marocain Saham Group a reçu le 06 septembre 2013, le prix de la Francophonie économique, pour sa promotion des « meilleurs standards » de Responsabilité sociale des entreprises (RSE).
Dans la banlieue de Dakar, la nouvelle filiale du groupe français Société Général offre désormais des services financiers à des milliers de petits entrepreneurs sans compte bancaire.
Les considérations sociales et environnementales s’invitent de plus en plus à l’ordre du jour des patrons africains. Le défi ? Réussir à transformer une intention philanthropique en un geste générateur de business.
Soucieux de se mettre à l’abri du moindre incident, les grands groupes promeuvent la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) à travers leurs filiales locales. Le fait qu’ils soient particulièrement exposés à l’opinion publique n’y est pas étranger.
Depuis quatre ans, la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) délivre une certification spécifique aux sociétés engagées dans une démarche de responsabilité sociétale et environnementale (RSE). Explications avec le président de la commission « Label RSE ».