Après Genève II, viendra Genève III… C’est la conclusion des pourparlers tenus jeudi et vendredi sous l’égide de l’ONU au sujet de la question du Sahara. Une rencontre durant laquelle quelques avancées ont tout de même pu être enregistrées.
Annoncée il y a un an et reportée à quatre reprises, la visite de Felipe VI dans le royaume chérifien aura finalement lieu ce 13 février. L’occasion pour Mohammed VI et son homologue espagnol d’écrire un nouveau chapitre dans la longue histoire des deux maisons royales.
Le Parlement européen a validé mardi 12 février le nouvel accord de pêche entre l’Union européenne (UE) et le Maroc, renégocié après le rejet du précédent par la justice européenne, au motif qu’il ne prenait pas en compte le Sahara occidental.
Le 32e sommet de l’Union africaine s’est achevé lundi 11 février, à Addis-Abeba, sous la présidence de l’Égyptien Abdel Fattah al-Sissi. Retour sur ses principales conclusions.
Dans son discours commémorant la Marche verte, mardi 6 novembre 2018, le roi du Maroc engage l’idée d’une normalisation des relations de son pays avec l’Algérie. S’il s’agit d’un mécanisme dont les contours et les contenus doivent être définis ensemble, une telle initiative s’inscrit dans une conviction en un destin commun.
Après six années de blocage, la reprise des pourparlers sur la question du Sahara occidental, les 5 et 6 décembre à Genève, s’est déroulée « dans un climat consensuel », selon un participant à la table ronde.
Après leurs premières discussions en six ans, le Maroc et le Front Polisario ont prévu de se revoir début 2019 pour parler du statut du Sahara occidental sous les auspices de l’ONU, qui espère pouvoir relancer des négociations difficiles.
À quelques jours d’une réunion à Genève sur le Sahara occidental, Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation algérien, a réitéré le soutien « constant » de son pays au Polisario, lors d’un entretien avec le chef du Front Brahim Ghali.
Le ministère marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a reçu l’ambassadeur d’Algérie, lundi 26 novembre à Rabat. Il demande une réponse officielle de l’Algérie à la « main tendue » par Mohammed VI sur le dossier du Sahara occidental.
Ordre du jour, taille de chaque délégation… Ce que contient la lettre d’invitation de l’envoyé spécial onusien pour le Sahara occidental, Horst Köhler, adressée aux quatre parties qui participeront à la table ronde de Genève, les 5 et 6 décembre.
Le ministère des Affaires étrangères algérien a déclaré jeudi 22 novembre vouloir tenir au plus vite une réunion du Conseil des ministres de l’UMA. Tout en éludant la question du Sahara Occidental, à deux semaines d’un rendez-vous de l’ONU sur le sujet à Genève.
Trois ans après son lancement, le « Nouveau Modèle de développement des provinces du Sud » prend forme. Un programme sur lequel Rabat entend s’appuyer pour faire prévaloir son approche de la question sahraouie.
Trois mois après l’élection présidentielle au Mali, l’ancien Premier ministre – qui entretient toujours de fortes ambitions -, s’alarme de la situation politique « explosive » dans son pays et appelle à la formation d’un gouvernement d’union nationale.
Dans son discours commémorant le 43e anniversaire de la Marche verte, le roi Mohammed VI a proposé « la création d’un mécanisme politique conjoint de dialogue et de concertation » avec l’Algérie. Un geste fort, qui survient à quelques semaines de la reprise de pourparlers inclusifs sur le Sahara occidental.
L’Algérie et la Mauritanie ont récemment accepté l’invitation de l’envoyé spécial onusien, Horst Köhler, à venir discuter les 5 et 6 décembre à Genève de l’avenir du Sahara occidental avec le Maroc et le Front Polisario, selon l’Organisation des Nations unies.
L’administration américaine ne veut plus se contenter de « gérer » la crise sur le Sahara occidental. Elle affiche ainsi deux priorités : secouer la Minurso et trouver une solution au conflit.
Dans « Confessions à propos du Sahara », le cofondateur de l’UNFP et acteur spécialiste de la question du Sahara occidental, Mohamed El Yazghi, dénonce les « erreurs » du roi Hassan II et livre sa vision sur un sujet encore très sensible au Maroc.
Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, a demandé mercredi au Conseil de sécurité « de prolonger d’un an le mandat » de la force de paix Minurso au Sahara Occidental, afin de soutenir la reprise de négociations politiques début décembre à Genève.
Le Front Polisario, qui lutte pour l’indépendance du Sahara occidental, a salué dimanche l’invitation à des discussions, lancée par l’émissaire de l’ONU Horst Koehler, pour tenter de relancer un processus de paix moribond.
Youssef Amrani a été nommé le 20 août ambassadeur du Maroc à Pretoria. Le dernier ambassadeur marocain dans le pays avait été rappelé en 2006, après la reconnaissance par l’Afrique du Sud de la République arabe sahraouie démocratique (RASD).
Deux hommes, deux lignes, deux styles. D’un côté, Nasser Bourita, ministre marocain des Affaires étrangères. De l’autre, Abdelkader Messahel, ministre algérien des Affaires maghrébines et africaines. Entre les deux, Horst Köhler, envoyé spécial de l’ONU pour le Sahara occidental.
L’envoyé spécial onusien pour le Sahara occidental doit passer ce mercredi devant les membres du Conseil de sécurité à New York. Entre sa dernière tournée et les discussions autour du prolongement du mandat de la Minurso, Horst Köhler doit surtout faire face à la lassitude des diplomates.
La Rasd ne sera pas conviée au Forum d’affaires Turquie-Afrique, le Burkina et la Côte d’Ivoire enverront une mission conjointe au Mont Péko… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
L’Union européenne et le Maroc ont paraphé ce mardi un nouvel accord de pêche valable pour les quatre prochaines années, qui inclut explicitement les eaux adjacentes au Sahara occidental.
Lors de sa récente tournée sur le terrain, Horst Köhler, l’envoyé spécial onusien pour le Sahara occidental, a pu mesurer le chemin qu’il reste à parcourir avant de ramener les différentes parties à la table des pourparlers, désertée depuis 2012. Mission impossible ?
Nasser Bourita, le ministre marocain des Affaires étrangères, fait le bilan des travaux du 31e sommet de l’UA à Nouakchott. Notamment sur la question du Sahara occidental.
Les chefs d’État de l’Union africaine (UA) réunis à huis clos lors du sommet de Nouakchott, ont désigné un « quartet » de trois présidents ainsi que le président de la Commission, Moussa Faki Mahamat, pour tenter de résoudre le conflit entre le Maroc et la République arabe sahraouie démocratique (RASD).
Le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a remis ce dimanche à Nouakchott un rapport très attendu sur le conflit entre le Maroc et la République arabe sahraouie démocratique (RASD). Il préconise de mettre en place un mécanisme africain qui, cependant, ne se substituerait pas aux efforts des Nations unies.
Alors que la coopération est indispensable en matière de sécurité, il semblerait que le dialogue entre les services de renseignements algériens et marocains soit rompu.