La montée des attaques au Burkina Faso est en grande partie imputable à l’affaiblissement de l’État, lui-même provoqué par un contexte politique très instable depuis le début de la décennie.
Fort de la confiance du roi Mohammed VI, le patron de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire est en première ligne sur tous les fronts sécuritaires du royaume. Portrait d’un serviteur de l’État aussi secret qu’incontournable.
Entre 1996 et 2016, seules 13 déchéances de nationalité ont été prononcées pour terrorisme, dont cinq en 2015, selon des chiffres du ministère de l’Intérieur.
Le chef présumé d’une cellule jihadiste a reconnu jeudi son rôle dans l’assassinat de deux touristes scandinaves décapitées au Maroc au nom de l’État islamique (EI).
Le procès des assassins présumés de deux jeunes touristes scandinaves, décapitées mi-décembre dans le sud du Maroc au nom du groupe État islamique (EI), a repris jeudi à Salé, près de Rabat, après deux renvois successifs.
Face au cycle de violences meurtrières dans le centre du Mali et sans perspective de solution militaire, le groupe de réflexion International Crisis Group (ICG) recommande dans un rapport publié mardi de tenter d’établir un dialogue avec les jihadistes et leurs partisans.
Quatre militaires tchadiens et un journaliste de la télévision nationale ont été tués samedi dans l’explosion de leur véhicule sur une mine dans l’est du Tchad, alors qu’ils se rendaient sur une position de l’armée attaquée par le groupe jihadiste nigérian Boko Haram, a-t-on appris dimanche de sources sécuritaires.
Le Quai d’Orsay déconseille encore aux voyageurs de se rendre dans toute la moitié est de la Mauritanie, mais aucun attentat n’y a été perpétré depuis dix ans, permettant à certaines régions de se rouvrir au tourisme. Au cours de la saison 2018-2019, l’Adrar a ainsi accueilli 4 000 touristes européens.
Destiné à réhabiliter des détenus condamnés pour terrorisme, le programme Moussalaha vient de boucler sa troisième édition. Et devrait aboutir à de nouvelles grâces royales.
Le ministre français de l’Intérieur se rendra à Abidjan puis à Dakar, lors d’une mini tournée en Afrique de l’Ouest du 19 au 21 mai. Objectif : renforcer la coopération bilatérale avec ces deux partenaires phares de la France dans la région.
Le président sénégalais a signé à Paris l’appel de Christchurch contre la diffusion des contenus terroristes en ligne. Le pays souhaite devenir l’un des leaders de la lutte contre la cybercriminalité, qui n’est pas sans risques de dérives.
Le procès des assassins présumés de deux touristes scandinaves, décapitées en décembre près d’Imlil, dans le massif du Mont Toubkal, reprend jeudi à Salé. Les principaux suspects, natifs de la région de Marrakech, risquent la peine de mort.
Une « attaque terroriste » contre la prison de haute sécurité de Koutoukalé, au nord de Niamey, a été repoussée lundi par la garde nationale nigérienne. Un membre des forces de sécurité a été tué dans d’« intenses combats » avec un groupe d’assaillants « lourdement armés ».
Avec « L’Éducation occidentale », le romancier français Boris Le Roy s’invite dans les pensées d’une enquêtrice dépêchée sur les lieux d’un attentat terroriste à Abuja.
Moins de dépenses, plus de recettes, budget maîtrisé… Le nouveau ministre des Finances burkinabè, Lassané Kaboré, est résolu à poursuivre les réformes.
Grâce à l’exploitation de douze sites industriels, la filière aurifère du Burkina Faso a vu sa production croître de plus de 15 % entre 2017 et 2018. Et devrait faire encore mieux cette année.
Depuis la proclamation, très médiatisée, de la défaite de l’État islamique en Syrie et en Irak, seul le retour des jihadistes étrangers dans leurs pays d’origine semblait occuper les débats. Revendiquées par le groupe extrémiste, deux récentes attaques terroristes nous rappellent que cette mouvance demeure vivace et prospère aux quatre coins de la planète, et qu’il faudra l’affronter pendant encore de longues décennies.
Éducation, santé, sécurité alimentaire, défense et sécurité… Depuis juin 2017, une plateforme citoyenne passe les engagements pris par le président burkinabè au crible de la réalité des mesures mises en oeuvre.
Trois hommes soupçonnés d’appartenir à un groupe jihadiste affilié à l’organisation État islamique (EI) ont été tués samedi en Tunisie, dans la région de Sidi Bouzid, par les forces de sécurité, a annoncé dimanche le ministère tunisien de l’Intérieur.
Le rapport d’avril 2019 de l’institut de recherche Egmont compare les stratégies mises en place par les autorités de Tunisie, d’Égypte et du Maroc pour faire face au retour des jihadistes partis à l’étranger. Si la réponse dans ce dernier pays est plus globale, celle des deux premiers est trop axée sur la sécurité, selon le coordinateur de l’étude.
Ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Remis Fulgance Dandjinou revient pour Jeune Afrique sur la main tendue de l’ancien président Blaise Compaoré pour soutenir la réconciliation inclusive, sur le report du référendum constitutionnel ou encore le procès des auteurs présumés du putsch avorté de 2015.
Le procès des assassins présumés de deux jeunes touristes scandinaves, décapitées mi-décembre dans les montagnes de l’Atlas au nom du groupe État islamique (EI), s’ouvre ce jeudi à Salé.
À dix-huit mois de la présidentielle, Roch Marc Christian Kaboré sait qu’il sera jugé en partie sur son bilan. Malgré les impératifs sécuritaires, il entend accélérer le rythme des réformes sur les plans économique et social.
Six personnes, dont cinq enseignants burkinabè, ont été tuées par des jihadistes vendredi soir à Maïtaougou, une localité située dans la province du Koulpélogo, dans la région du Centre-Est, a-t-on appris samedi de sources concordantes.
Le président togolais Faure Gnassingbé a salué vendredi le « professionnalisme » des forces de défense et de sécurité pour avoir démantelé ces derniers mois des « cellules terroristes » dans le pays.
Le Sri Lanka traquait lundi les responsables de la vague d’attentats suicides qui ont fait 290 morts la veille dans l’île d’Asie du Sud, dans un déchaînement de violence imputé par les autorités à un mouvement islamiste local.
La grande institution de l’islam sunnite Al-Azhar, basée au Caire, a condamné « l’attaque terroriste au Sri Lanka », où au moins 290 personnes ont été tuées dimanche dans une série d’explosions dans des hôtels et des églises où était célébrée la messe de Pâques.
Le groupe État islamique a revendiqué une attaque dans l’est de la RDC, à la frontière avec l’Ouganda. Deux messages de l’agence Amaq, organe de propagande du groupe terroriste, affirment que des « combattants de l’État islamique » ont participé à l’attaque d’une caserne de Bovata, près de Beni.
Les services de renseignements burkinabè, se basant sur des écoutes téléphoniques, ont alerté les pays voisins sur le fait que plusieurs jihadistes ont quitté l’Est du pays pour se réfugier au Bénin, au Togo et au Ghana.