Des victimes, notamment marocaines, de l’attentat du 31 décembre en Turquie, font l’objet de remarques outrageantes sur les réseaux sociaux. Quel serait leur crime ? Avoir fréquenté une boîte de nuit…
Le ministre de l’Intérieur Bazoum Mohamed a annoncé mercredi la reddition d’une vingtaine de combattants nigériens du groupe jihadiste Boko Haram, dans la région de Diffa (sud-est du pays).
Une cellule terroriste de 13 membres qui tenait des « réunions secrètes dans une mosquée » et enrôlait des jeunes au profit de groupes jihadistes a été démantelée mardi près de Sousse, a indiqué mercredi le ministère tunisien de l’Intérieur.
Près de trois jours après l’attentat d’Istanbul ayant tué 39 personnes dans l’une des plus célèbres boîtes de nuit de la métropole turque, le profil de l’auteur présumé se précise.
Cinq membres de la jeunesses du Parti justice et développement (islamiste, au pouvoir) comparaissent ce mardi devant le juge d’instruction du tribunal de Salé pour avoir applaudi l’assassinat de l’ambassadeur russe en Turquie sur les réseaux sociaux.
Au moins neuf personnes ont été blessées ce lundi dans deux attaques-suicides. La première s’est produite à l’entrée de l’aéroport de Mogadiscio, la seconde devant un hôtel proche de l’aéroport. Les Shebab, affiliés à Al-Qaïda, ont rapidement revendiqué les attaques.
39 personnes ont péri dans l’attentat contre une boîte de nuit d’Istanbul dans la nuit du Nouvel An, selon le dernier bilan provisoire. Parmi elles figurent au moins cinq ressortissants de pays africains.
Au moins deux soldats ont été tués dans la nuit de samedi à dimanche lors d’une attaque du groupe Boko Haram contre l’armée nigérienne dans le sud-est du pays, a-t-on appris ce lundi. Cette attaque intervient une semaine après la reddition d’une trentaine de combattants islamistes.
Le groupe terroriste État islamique (EI) a revendiqué ce lundi l’attentat qui a fait 39 morts dans une boîte de nuit d’Istanbul la nuit du nouvel an. Parmi eux, plusieurs victimes africaines. L’assaillant est toujours en fuite.
Une fillette de 10 ans s’est tuée samedi soir dans une attentat suicide qui a fait plusieurs blessés, dont un grave, à Maiduguri, le berceau du groupe islamiste Boko Haram, dans le nord-est du Nigeria, selon des témoins.
Le 23 décembre, le président nigérian Muhammadu Buhari a annoncé que son armée avait repris le contrôle de la forêt de Sambissa, bastion historique de Boko Haram. Mais cela signifie-t-il pour autant la fin du groupe islamiste ? Jeune Afrique fait le point.
Une cellule terroriste à Sousse et une autre à la Manouba ont été démantelées cette semaine par des membres de la Garde nationale, a annoncé le ministère de l’Intérieur.
En déplacement à N’Djamena, Bernard Cazeneuve, le Premier ministre français, a averti jeudi qu’il fallait se « préparer à une guerre longue » contre le terrorisme au Sahel et assuré le Tchad du soutien financier de la France.
Youssef Chahed, chef du gouvernement tunisien, a affiché ce jeudi sa fermeté sur la question du retour des jihadistes dans leur pays, affirmant qu’ils seraient « immédiatement arrêtés » et jugés selon la loi antiterroriste.
Le leader historique de Boko Haram, Abubakar Shekau, a fait circuler jeudi une nouvelle vidéo dans laquelle il conteste les affirmations du gouvernement nigérian selon lesquelles son groupe a été chassé de la forêt de Sambisa.
Les dissensions sur le traitement des djihadistes de retour en Tunisie illustrent bien les turbulences et les divisions qui agitent le pays. Rym Mourali, co-fondatrice du Parti de l’indépendance tunisienne (PIT), en fait une lecture sans concessions.
La police nigériane a annoncé ce mercredi avoir déjoué un attentat à la bombe contre un des principaux ponts de Lagos début novembre. Celui-ci aurait été préparé par un groupe séparatiste biafrais, dont le leader a été arrêté.
Une trentaine de combattants de Boko Haram de la région de Diffa, dans le sud du Niger, ont déposé les armes, a annoncé mardi Mohamed Bazoum, le ministre nigérien de l’Intérieur.
Selon le ministre algérien de la Justice, Tayeb Louh, au moins 54 000 personnes seraient poursuivies pour terrorisme. Un bilan qui englobe les combattants ayant bénéficié de l’amnistie présidentielle de 2000.
L’exploitation des images de vidéosurveillance confirme qu’Anis Amri, l’auteur présumé de l’attentat de Berlin abattu vendredi à Milan, a transité par la gare de Lyon-Part-Dieu, a indiqué lundi une source proche de l’enquête.
D’après un témoin qui a assisté à la scène samedi 24 décembre, la Française Sophie Pétronin aurait été enlevée par deux hommes devant le local de l’association qu’elle dirige à Gao. Les recherches se poursuivent pour retrouver cette travailleuse humanitaire de 66 ans.
Dans un entretien à l’agence de presse marocaine MAP, le patron de la police d’élite marocaine, Abdelhak Khiame, a dressé le bilan de ses troupes concernant la lutte contre le terrorisme. Il a également appelé l’Algérie à collaborer avec le Maroc.
Les autorités françaises confirment l’enlèvement samedi à Gao, dans le nord du Mali, d’une Française, Sophie Pétronin, dirigeant une ONG d’aide à l’enfance, a indiqué dimanche le ministère français des Affaires étrangères.
En 2016, c’est tout un continent qui a définitivement pris conscience du danger que fait peser sur lui la radicalisation de sa jeunesse. De quelle manière l’Afrique a-t-elle entrepris de protéger ses enfants de l’extrémisme ? Enquête.
Les ministères de l’Intérieur et de la Justice ont ouvert une enquête pour « apologie du terrorisme » à l’encontre de Marocains qui ont applaudi sur les réseaux sociaux l’assassinat de l’ambassadeur de Russie en Turquie le 19 décembre à Ankara. Une façon pour le Maroc de ménager son partenaire russe depuis le rapprochement des deux pays en mars dernier.
La Maison Blanche a annoncé jeudi dans un communiqué du Département de sécurité intérieure le retrait d’un programme de surveillance renforçant les contrôles à l’entrée sur le territoire américain de citoyens d’une liste de 25 pays majoritairement musulmans.
Le Tunisien de 24 ans, auteur présumé de l’attentat au camion-bélier de Berlin, a été abattu lors d’un contrôle de police dans la nuit de jeudi à vendredi à Milan, a annoncé le ministère italien de l’Intérieur. Via son agence de propagande, l’État islamique (EI) a confirmé que l’homme abattu à Milan était bien l’assaillant de Berlin.
Le ministre allemand de l’Intérieur a annoncé ce jeudi que les empreintes digitales du Tunisien Anis Amri ont été retrouvées dans le poids lourd qui a foncé sur la foule dans un marché de Noël berlinois lundi dernier, et tué 12 personnes. Le suspect est toujours en fuite.