La coalition militaire menée par les États-Unis pour combattre le groupe État islamique a tué le 26 novembre un cadre de l’organisation jihadiste, Boubaker El Hakim, dans un bombardement aérien mené à Raqa, en Syrie, a indiqué le Pentagone samedi 10 décembre.
Les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK), un groupe radical proche du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ont revendiqué dimanche le double attentat qui a fait au moins 44 morts, dont 36 policiers, et plus de 155 blessés à Istanbul samedi soir.
Selon un premier bilan du porte-parole de l’armée nigériane, trente personnes ont péri vendredi matin dans un attentat mené par deux femmes kamikazes, présumées appartenir au groupe terroriste Boko Haram.
Suite aux récentes déclarations à la presse du président Béji Caïd Essebsi sur le retour des Tunisiens combattant en Syrie, la présidence a tenu ce mercredi à apporter des précisions. Mais que dit la loi sur les ressortissants, « auteurs de crimes terroristes », et qui veulent rentrer au pays ?
266 cadavres de combattants du groupe État Islamique ont été retrouvés dans les rues et bâtiments de Syrte après la reprise de la ville lundi par les forces loyales au gouvernement d’union nationale (GNA).
Plusieurs dizaines de détenus ont pu s’évader de la prison de Niono (centre du pays) après qu’elle a été attaquée dans la nuit de lundi à mardi par des hommes armés.Plusieurs sources estiment qu’ils appartiennent à un mouvement armé allié au groupe djihadiste Ansar Eddine.
Facebook, Microsoft, Twitter et YouTube ont annoncé un partenariat à l’échelle mondiale afin d’identifier et bloquer la diffusion de contenus terroristes sur le web.
La réforme de l’armée et une meilleure coordination avec celles de la région ont fait reculer le groupe islamiste Boko Haram. Mais son éradication est loin d’être acquise.
L’aéroport de Gao est impraticable après l’attentat jihadiste qui l’a visé mardi soir. L’attaque a provoqué d’ « importants dégâts », a souligné ce jeudi la Mission de l’ONU au Mali (Minusma).
Un homme soupçonné d’être un jihadiste a été arrêté mercredi 30 novembre, après avoir tiré sur des policiers tchadiens postés en faction devant l’ambassade des États-Unis à N’Djamena, a-t-on appris de source policière. Le tireur n’a pas fait de blessé.
Une tentative d’attentat suicide visant mardi soir l’aéroport de Gao, dans le nord du Mali, s’est soldée par la mort de son auteur sans autre victime, a-t-on appris de sources sécuritaires. Le groupe Al-Mourabitoune, du jihadiste Belmokhtar, a revendiqué cette attaque dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi.
Interrogé mardi sur la coopération sécuritaire entre la Tunisie et les États-Unis, le président Béji Caïd Essebsi a reconnu – pour la première fois – que des drones américains ont été autorisés à survoler le territoire tunisien. Une déclaration qui relance la polémique, en Tunisie et chez ses voisins, autour des agissements de l’armée américaine dans la région.
Le numéro deux d’une faction du groupe jihadiste malien Ansar Eddine a été arrêté ce jeudi à Gao, selon des sources militaire et de sécurité maliennes.
Huit soldats égyptiens ont été tués jeudi 24 novembre dans l’attaque à la voiture piégée d’un poste de contrôle dans le Sinaï, où la branche locale du groupe État islamique mène une insurrection, a annoncé l’armée.
Cinq soldats maliens ont trouvé la mort dans une embuscade ce dimanche près de Douentza, alors qu’ils avaient été déployés pour sécuriser le vote lors des élections municipales, première consultation depuis l’élection du président Ibrahim Boubacar Keïta en 2013.
Le juge en charge de l’enquête sur l’attaque du musée de Tunis en mars 2015 a clos le dossier vendredi 18 novembre. Une étape importante avant l’ouverture du procès, qui pourrait se tenir dans la première moitié de 2017 selon plusieurs sources.
La campagne pour les élections municipales de dimanche au Mali s’achevait sans grand enthousiasme vendredi. Il faut dire que le climat politique est alourdi par les critiques de l’opposition, les appels au boycott de l’ex-rébellion du Nord et les menaces jihadistes.
Vendredi matin, la ville de Maiduguri, capitale de l’État de Borno où sévit Boko Haram depuis sept ans, a été le théâtre de trois attentats suicides successifs. Les forces de sécurité nigérianes font état de six morts, dont quatre du côté des kamikazes, et s’inquiètent de la situation sécuritaire de cette ville stratégique du Nigeria.
Le gouvernement français, via son ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a convié les ministres de la Sécurité intérieure des pays membres du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad) ainsi que six de leurs homologues d’Afrique de l’Ouest et centrale (Guinée, Sénégal, Côte d’Ivoire, Bénin, Togo et Cameroun) à Paris, le 22 novembre.
Le terrorisme a fait 10% de morts en moins l’an dernier, notamment en raison du recul du groupe État islamique et de Boko Haram en Irak et au Nigeria, selon l’index du terrorisme mondial. Mais 2015 reste tout de même la deuxième année la plus meurtrière.
Boko Haram fait partie du quotidien des Camerounais, dont l’armée est en guerre contre les jihadistes, dans le nord du pays. Le groupe terroriste a-t-il durablement changé le pays, son économie, son potentiel éducatif ou encore sa capacité militaire ? Éléments de réponse en infographie.
La police allemande a procédé mardi à une intervention sans précédent. 200 perquisitions simultanées dans tout le pays, destinées à démanteler un mouvement salafiste soupçonné d’avoir poussé et aidé 140 personnes à rejoindre les rangs de l’organisation État islamique.
Quatre caches d’armes ont été découvertes depuis samedi dans une région tunisienne frontalière de la Libye, et des dizaines de fusils ainsi que d’importantes quantités de munitions ont été saisies.
Il a beau être contesté au sein de l’organisation terroriste, le chef de Boko Haram Abubakar Shekau continue de s’exprimer. Dimanche soir, il a assuré dans un message audio que l’élection de Donald Trump à la présidence américaine ne changeait rien à l’attitude de Boko Haram, qui poursuivrait sa guerre de la même façon.
L’ONG Save The Children dévoile un chiffre glaçant ce lundi. Selon ses estimations, jusqu’à 200 enfants de moins de 5 ans risquent de mourir de faim chaque jour dans le nord-est du Nigeria. Principale cause de ce drame humanitaire : les exactions perpétrées par Boko Haram dans la région.
Les forces irakiennes ont annoncé dimanche avoir repris le site antique de Nimrod, un joyau de l’Antiquité, sur leur route vers Mossoul, où les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) opposent une forte résistance.
Un an, jour pour jour, après les attaques du 13 novembre, François Hollande a ouvert dimanche les commémorations des attentats les plus meurtriers qu’ait connus le pays en dévoilant une première plaque au Stade de France, à Saint-Denis.
Des Syriennes ayant vécu sous la coupe du groupe État islamique (EI) racontent comment des couples ont été brisés dans leur village, où les jihadistes ont notamment empêché des maris travaillant à l’étranger de rentrer chez eux.
Ils ne contrôlent plus qu’un petit quartier mais les jihadistes résistent toujours à Syrte, six mois après le lancement de l’offensive de reconquête de la seule ville contrôlée par le groupe État islamique (EI) en Libye.
Le ministère tunisien de la Défense, Farhat Horchani, a annoncé mercredi que l’armée avait abattu Talal Saïdi, le chef du groupe terroriste Jund al-Khilafa. Ce groupuscule est notamment lié à l’organisation État islamique (EI), et est responsable entre autres de l’assassinat d’un militaire à son domicile le 5 novembre dans une région montagneuse du centre-ouest du pays.