Djamel Hanneb, un proche du chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, Abdelmalek Droukdel, a été tué jeudi par l’armée algérienne. Depuis un an, cette dernière multiplie les assauts contre les terroristes aux quatre coins du pays.
Un camp de réfugiés a été attaqué jeudi au Niger, à Tazalit, à 180 kilomètres de la frontière avec le Mali, par une quarantaine d’assaillants. Une information confirmée par le Haut commissariat aux réfugiés, qui a indiqué que 22 personnes chargées de sécuriser les lieux avaient été tuées.
Les autorités kényanes ont annoncé ce jeudi 6 octobre la mort de six personnes, tuées dans une attaque revendiquée par les islamistes somaliens Shebab contre un complexe résidentiel de la ville de Mandera, dans le nord-est du pays.
Dix femmes, qui avaient fait allégeance à l’organisation État islamique (EI) et qui voulaient commettre des attentats-suicides dans plusieurs villes du Maroc, ont été arrêtées lundi par la police.
Il ne se passe plus de quinzaine sans que les agents du Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ) procèdent au démantèlement de cellules pro-Daesh au Maroc.
Le Mali déplore deux nouvelles victimes de jihadistes présumés lundi. Un garde national et son cousin ont été tués dimanche à Tombouctou par « de présumés terroristes » dans une « attaque ciblée », selon un officier de l’armée malienne.
Annoncé mort ou grièvement blessé, le chef de Boko Haram Abubakar Shekau a fait une réapparition dans une vidéo dimanche. Dans la foulée, l’armée nigériane l’a qualifié de « fou » et de « malade mental », répliquant à ses provocations en annonçant la mort de 22 jihadistes de Boko Haram dans un raid lancé dimanche.
Quatre soldats tchadiens ont été tués samedi soir près de la frontière avec le Niger dans une attaque attribuée au groupe jihadiste nigérian Boko Haram, a indiqué dimanche à l’AFP une source sécuritaire dans la capitale tchadienne N’Djamena.
Le chef du groupe jihadiste nigérian Boko Haram, Abubakar Shekau, a diffusé dans la nuit de samedi à dimanche une nouvelle vidéo dans laquelle il dit aller parfaitement bien, fustigeant des déclarations de l’armée nigériane qui avait annoncé l’avoir grièvement blessé le mois dernier.
Le bastion de l’État islamique en Libye agonise sous les assauts des troupes fidèles au gouvernement de Tripoli. Le risque : qu’une fois la ville libérée, les jihadistes s’éparpillent dans les pays voisins…
L’Office fédéral suisse de la Justice (OFJ) a annoncé jeudi que l’ex-membre du Groupe islamique armé (GIA) algérien Merouane Benahmed a été arrêté en Suisse après y avoir déposé une demande d’asile. L’homme de 43 ans était recherché depuis le 8 septembre par les autorités françaises.
Neuf soldats progouvernementaux et dix jihadistes ont été tués jeudi dans des combats à Syrte, le bastion du groupe État islamique (EI) en Libye, que tente de reprendre depuis quatre mois le gouvernement d’union nationale (GNA), selon des sources médicales et militaires.
Pour Akram Kharief, journaliste spécialisé dans les questions de défense, le pays peut être la cible de terroristes infiltrés, mais la vigilance de l’armée rendra difficile toute attaque d’envergure.
Le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique nigérien a accordé un entretien à Jeune Afrique, à l’occasion duquel il s’est montré confiant dans la capacité de l’armée à mettre à bas la secte islamiste.
La communauté somalienne du Minnesota exprimait sa crainte de représailles après l’attaque au couteau sur neuf personnes samedi dans un centre commercial très fréquenté. Cet acte a été revendiqué dans la foulée par le groupe État islamique, qui a déclaré que l’individu de 22 ans, d’origine somalienne, était l’un de ses « soldats ».
La police fédérale américaine (FBI) a déclaré dimanche enquêter sur une attaque à l’arme blanche samedi dans un centre commercial du Minnesota, qu’elle considère comme « un potentiel acte de terrorisme », un journal local identifiant l’assaillant comme un Américain d’origine somalienne. L’EI a pour sa part revendiqué la paternité des faits.
Les combats contre les jihadistes du groupe État islamique (EI) retranchés à Syrte ont repris dimanche après deux semaines d’accalmie, ont annoncé les forces du gouvernement libyen d’union qui tentent depuis quatre mois de reprendre cette ville. De son côté, l’Italie a prévu d’envoyer 300 militaires dans la ville de Misrata.
Le groupe État islamique a revendiqué pour la première fois une attaque sur le sol kényan après l’attentat dans le commissariat de Mombasa survenu dimanche.
Sept soldats nigériens ont été tués et huit blessés entre le jeudi 8 septembre et le lundi 12 par le groupe islamiste Boko Haram dans la région de Diffa, au sud-est du Niger, frontalière du Nigeria, a indiqué mardi soir l’armée nigérienne.
Les États-Unis ont confirmé lundi avoir tué dans un bombardement aérien en Syrie le numéro deux du groupe jihadiste État islamique, Abou Mohammed al-Adnani. Une élimination qui avait été également revendiquée par la Russie.
Il y a quinze ans, le 11 septembre 2001, Al-Qaïda frappait le monde occidental en même temps que les tours du World Trade Center. Un épisode sanglant resté dans les mémoires comme l’acte terroriste le plus marquant de l’Histoire. Mais a-t-il eu autant d’impact ? Éléments de réponse en infographie.
À l’issue d’une rencontre avec le président Ibrahim Boubacar Keïta, le chef de file de l’opposition malienne, Soumaïla Cissé, s’est dit favorable à un report des élections municipales du 20 novembre, en raison de l’instabilité dans le centre et le nord du pays.
Trois femmes ont été interpellées jeudi 8 septembre après la découverte d’une voiture contenant des bonbonnes de gaz en plein Paris le week-end dernier. La principale suspecte avait prêté allégeance à l’État islamique.
Les autorités marocaines ont annoncé mercredi avoir démantelé une cellule terroriste liée au groupe État islamique (EI) qui préparait des attentats dans le nord du pays.
Des affrontements violents ont eu lieu au sein du mouvement jihadiste depuis l’éviction de l’ancien chef Abubakar Shekau, remplacé par Abou Mosab Al Barnaoui, identifié par les experts comme le fils du fondateur historique de Boko Haram, Mohamed Yusuf.
Farhat Horchani, le ministre tunisien de la Défense, a estimé mardi qu’un millier de Tunisiens combattaient au côté du groupe État islamiste (EI) en Libye et qu’ils constituaient une « menace » pour la Tunisie.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a mis en garde ce lundi 5 septembre contre un risque d’éparpillement des jihadistes du groupe État islamique (EI) vers la Tunisie ou l’Egypte, une fois qu’ils seront chassés de leurs places fortes en Libye.
Le ministre malien de la Sécurité, le général Salif Traoré, a promis lundi un renforcement de la protection militaire dans le centre du pays, frappé par une série d’attaques au cours desquelles trois militaires ont été tués et une localité brièvement contrôlée par des assaillants.
Le fils du fondateur d’Al-Qaïda revient sur le devant de la scène en appelant les Saoudiens à renverser la monarchie. Mais le « prince héritier de la terreur » saura-t‑il prendre la tête de l’organisation terroriste ?