Un prêtre a été égorgé mardi lors d’une prise d’otages dans son église, à Saint-Etienne-du-Rouvray, dans l’agglomération de Rouen. Une autre victime serait entre la vie et la mort dans cette nouvelle attaque revendiquée par l’État islamique (EI).
Au moins treize personnes sont mortes, mardi matin, dans un double attentat-suicide à la voiture piégée à proximité de l’aéroport de Mogadiscio. De source policière, l’attaque a été revendiquée par les islamistes Shebab.
« Les statistiques récemment publiées par le ministère libyen de l’Éducation donnent une image alarmante de l’accès au système éducatif », a indiqué le Bureau de coordination des Affaires humanitaires (BCAH) de l’ONU dans un rapport publié lundi.
Le présumé terroriste avait prêté allégeance au groupe jihadiste État islamique (EI), a affirmé lundi le ministre bavarois de l’Intérieur, au lendemain de l’attentat-suicide qui a fait une quinzaine de blessés dans le sud de l’Allemagne. Plus tôt, l’EI a déclaré qu’il était un de ses « soldats ».
Trois ans et demi après l’attaque terroriste de janvier 2013 qui a fait 40 morts, le complexe d’In Amenas devrait à nouveau fonctionner à plein régime avant la fin de l’année 2016, selon la direction du site gazier algérien.
Cinq jours après la mort de trois militaires français dans le Nord à proximité de Benghazi, qui avait forcé Paris à reconnaître que des troupes évoluaient dans le pays, le chef du groupe jihadiste Al-Mourabitoune a dénoncé dans un communiqué, relayé lundi 25 juillet par le site Al-Akhbar, la présence des « renseignements français » dans le Sud.
La police allemande tentait dimanche de lever les zones d’ombre sur les motivations de l’auteur de la fusillade de Munich, un jeune psychologiquement fragile, fasciné par les tueries de masse, qui, selon des informations de presse, aurait voulu se venger d’un harcèlement à l’école.
La fusillade ayant ensanglanté Munich vendredi soir a été perpétrée par un jeune forcené souffrant de problèmes psychiatriques, sans rapport avec le jihadisme, qui a voulu « faire un lien » avec le massacre commis il y a cinq ans en Norvège par Anders Behring Breivik.
Neuf personnes ont été tuées et 16 autres blessées vendredi soir lors de la fusillade survenue dans un centre commercial de Munich (sud de l’Allemagne), selon un bilan encore provisoire, auquel s’ajoute le décès de l’auteur de la tuerie. Rien n’a filtré sur ses motivations.
Le match amical entre l’ES Sahel et l’OGC Nice prévu vendredi soir à Sousse revêt désormais une tout autre dimension, quelques jours seulement après l’attentat terroriste qui a frappé la Promenade des Anglais le 14 juillet.
Cinq suspects ont été mis en examen jeudi soir dans le cadre de l’enquête sur l’attentat de Nice. Inconnus des services de renseignement, ils étaient en contact avec l’auteur du massacre.
Le pays a rendu hommage jeudi à ses 17 soldats tués dans une attaque terroriste à Nampala, dans le centre du pays, et annoncé l’ouverture d’une enquête sur ce meurtre.
Le Tunisien Mohamed Lahouaiej Bouhlel, auteur de l’attentat de Nice le 14 juillet, a bénéficié de soutiens et de complicités, et semble avoir projeté son acte il y a plusieurs mois, a annoncé, jeudi 21 juillet, le procureur chargé de l’enquête, François Molins.
Aba Brahima Ba, le maire de Nampala, a répondu aux questions de Jeune Afrique après l’attaque meurtrière d’un groupe d’hommes armés qui a coûté la vie à 17 soldats maliens dans sa ville, le 19 juillet. Il affirme notamment que les assaillants sont revenus à deux reprises à Nampala et qu’aucun militaire n’est présent sur place malgré l’annonce de renforts par les autorités.
Le procès d’Ahmad Al-Mahdi, accusé de destruction de mausolées à Tombouctou pendant l’occupation jihadiste de 2012, reprend devant la CPI le 22 août. Mais en ce qui concerne les crimes les plus graves commis dans le nord du Mali – meurtres, viols, amputations, mariages forcés – l’impunité reste générale.
Mercredi, la mort de trois sous-officiers français en mission en Libye a forcé Paris à communiquer sur sa présence militaire dans le pays. Bien que les puissances étrangères se gardent de communiquer sur le sujet, des forces spéciales de tous horizons évoluent sur le terrain.
Dans un rapport publié mercredi, Human Rights Watch accuse les forces de sécurité kényanes d’exactions et d’enlèvement dans le nord-est du Kenya dans le cadre de la lutte contre les Shebab.
Les proches des Hongkongais victimes de l’attentat à la hache survenu le 18 juillet dernier en Allemagne, le premier revendiqué par l’EI dans ce pays, ont raconté le déroulé de l’attaque dans la presse locale.
Les dépouilles de trois des quatre Tunisiens tués le 14 juillet dans l’attentat de Nice ont été rapatriées mardi soir à Tunis et accueillies dans la douleur et la tristesse par des proches et des responsables gouvernementaux.
L’État islamique (EI) a diffusé, mardi 19 juillet, une vidéo dans laquelle l’auteur de l’attaque annonce ses intentions et profère des menaces contre les pays « infidèles ». Il est parvenu a blesser quatre voyageurs dans le train assurant la liaison entre deux villes bavaroises.
Cinq jours après la tuerie perpétrée par Mohamed Lahouaiej Bouhlel dans la soirée du 14 juillet, l’identité des victimes se précise. Parmi les 84 personnes ayant trouvé la mort, on compte au moins treize Maghrébins, dont trois enfants.
Boubacar Sawadogo, un des cadres d’Ansar Eddine sud qui avait pour mission d’implanter une filiale au Burkina, a été arrêté au Mali. Détenu à Bamako, il pourrait être prochainement extradé vers Ouagadougou.
Un jeune réfugié afghan de 17 ans a blessé quatre personnes lundi soir en les attaquant à la hache et au couteau dans un train régional allemand. L’organisation terroriste État islamique a indiqué qu’il s’agissait d’un de ses combattants.
Au fur et à mesure que l’enquête progresse, la personnalité complexe du tueur de Nice se précise. Les premiers éléments mettent en évidence « un intérêt certain mais récent pour la mouvance islamiste ».
Quatre jours après l’attaque terroriste qui a fait 84 morts dans la soirée du 14 juillet, les investigations se poursuivent sur le tueur de Nice, dont le profil demeure flou.
Que faire face à l’horreur qui frappe chaque jour ? Notre monde a définitivement basculé, s’il fallait s’en convaincre, dans une nouvelle ère : celle de la terreur qui peut surgir, partout, à n’importe quel moment, emportant dans son sillage indistinctement policiers, militaires, citoyens lambda, femmes et enfants, nationaux ou étrangers.
Le feu d’artifice du 14-Juillet à Nice vient de se terminer. Un appel radio signale qu’un camion a percuté des passants. La foule court « dans tous les sens », des corps gisent au sol. Voici l’intervention des forces de l’ordre racontée par un des trois policiers de la Brigade spécialisée de terrain, qui ont abattu le tueur.
Des familles en vacances, des touristes étrangers, un commissaire de police, mais aussi dix enfants et adolescents: voici des éléments collectés par l’AFP sur les vies fauchées par l’attentat qui a fait 84 morts jeudi soir à Nice.
Le groupe État islamique (EI) a revendiqué la tuerie ayant fait 84 morts lors des célébrations de la fête nationale le 14 juillet dans la ville française de Nice, rapporte samedi l’agence Amaq liée au groupe jihadiste.